Votre club envisage-t-il une reprise de l'activité la semaine prochaine?

connaissant bien mon partenaire , il sera surement le premier à le mettre

Petite précision, il reste la solution de rester suffisamment éloigné de celui qui fait pipi afin de rester hors de portée. Mais sinon …

C’est aussi mon point de vue et ravi que d’autres le partagent.

Pas l’idéal, mais bonne initiative je trouve, c’est aussi ce que je tenterai de faire à l’entraînement quand je ne bénéficierai plus de l’ouverture sur l’extérieur comme actuellement.
Il me semble qu’avec un rythme modéré, en respirant aussi par la bouche, ça peut le faire; ce qui m’inquiète le plus, c’est l’évacuation du CO2 (avis d’un médecin du forum?).
Quoiqu’on en dise, d’après ce que j’ai lu, ça protège aussi correctement le porteur (réaction chimique/physique de la matière du masque qui contrarie l’entrée du virus).

Dans notre club ,la moitié des departementaux a répondu pour l instant: 4 sur 20 ne repartent pas .

J’en ai parlé au médecin en faisant la visite pour le certif.
Sa réponse avec un petit sourire narquois "renseignez vous sur la taille d’une molècule de CO2 … ou d’O2 "
Le sentiment d’inconfort est simplement dû à la chaleur + humidité qui va rester près de ton nez et de ta bouche. Mais aucun risque de mourir d’une intoxication au CO2…

C’est encourageant, néanmoins quand une personne spasmophile est en crise, on lui fait respirer son CO2 dans un sac, ce qui peut poser question sur l’effet obtenu… :face_with_monocle:
Mais je veux rester optimiste, merci pour ton intervention… :slightly_smiling_face:

Bonjour aujourd’hui on reprend comme avant les entrainements, on a droit à plus de 10 personnes mais on est rarement plus de 10, petite salle oblige. Masque qu’en on arrive puis on le quitte. J’ai jouer 2 fois depuis le confinement mais j’ai une table chez moi donc j’ai jouer presque tous les jours chez moi.

Le problème est la peur la peur diminue l’immunité si on est confiant en soit on ne pas pas trop attraper de chose. De plus prendre des minéraux et boire pas mal de l’eau aide le corps, on peut aussi prendre de plantes qui booste l’immunité. Voilà. Après tout les zones ne sont pas aux même niveaux de contaminations mais bon sa évolue vers une grosse contagiosité mais peut de complication à moins qu’il re-mute encore.

3 « J'aime »

Pas le lancer…s’il te plaît!!!..pas lui donner du grain à moudre !!!

malheureusement, les news anxiogènes ont un effet de boost de ce type de croyances

(étude faite par moi-même, avec collecte de données de mon expérience personnelle sur un forum de ping)

1 « J'aime »

Top :+1:

Sérieux,zorro…tu te fous de la gueule du monde!!! J’en arrive à penser que tu es vraiment ignoble! Tu réponds ironiquement à une personne incapable de saisir ton 2eme degré…

Oui et bien justement, ça n’a rien à voir : un sac plastique est étanche. Alors qu’un masque est poreux.
A l’échelle d’une molécule de CO2, le maillage du masque est presque inexistant.
Si la molécule de CO2 était une bille, chaque pore de ton masque serait plus grand qu’une cage de foot. Donc tu vois ça va pas trop les gêner…
En revanche, un postillon ou microgouttelette aurait la taille d’un terrain de foot, donc là le filtrage du masque fonctionne.

Le virus lui-même est bien plus petit que les mailles d’un masque (ce qui fait dire à certains que c’est inutile mais c’est de la très mauvaise foi et de la désinformation car d’après un quasi concensus, il ne se balade pas tout seul dans l’air. Et même si par malheur vous inhalez qq particules virales en suspension, peu de chance qu’elles contaminent (charge virale trop faible).

3 « J'aime »

Qu a t il dit encore mdr. Bon mon entrainement était top j ai bien jouer et me suis fait plaisir. Mais je manque un peu d heure de jeux j espère que sa va revenir. Quelques ajustements etc.

Oui, ça me conforte d’essayer de jouer avec un masque si les circonstances de jeu deviennent plus délicates lors des prochains entraînements.
Et comme je le rappelais plus haut, selon les spécialistes, la réaction de la matière du masque vis à vis du virus lui donne une efficacité correcte pour son porteur. Tout n’est pas une question de taille du virus.

1 « J'aime »

Alors celle là … :scream:

1 « J'aime »

Ce qui piège le virus ce n’est pas la taille de la maille. Elle et bien plus grosse pour nous permettre de respirer.
Le virus est tout petit et donc très léger, ce qui le piège c’est l’électricité statique.

c’est pour ça qu’il faut le changer au bout de 4 heures, un masque humide n’est plus efficace.

Je pense donc que jouer avec un masque est à déconseiller.

1 « J'aime »

Oui, c’est ce que j’avais dit plus haut, c’est la réaction avec la matière qui piège le virus, même si sa taille est plus petite.

Maintenant, en jouant « raisonnablement » pendant une bonne heure avec un masque, on ne doit pas arriver au-delà de ses capacités, et si l’on sent qu’il devient humide, on peut toujours le changer… :wink:
Dans tous les cas, c’est sûrement pas l’idéal, mais rester sans jouer jusqu’au printemps prochain au minimum, non plus…

Oui la peur fait secréter du cortisol est celui ci attaque nos défense immunitaire donc celui qui n’a plus peur ne serra plus malade ou moins.

J’ai repris l’entrainement avant de me mettre à l’entrainement des jeunes. Je ne ne rappelais plus le bien fou que cela faisait de transpirer. Nous étions peu nombreux. Maintenant que nous sommes tous habitués au port du masque, nous l’avions à l’arrivée et au départ puis passage au gel. La distance entre les joueurs est très largement respectée. Au bout de quelques minutes de jeu, on reprend vite ses repères et c’est reparti. Par ailleurs je joue toujours avec une vingtaine de balles (pas en même temps). Au final pas de changement par rapport à février et aucune appréhension.
Cependant lorsque j’ai remis le masque après trois matchs, j’ai été réellement gêné au niveau de l’humidité pendant plusieurs minutes (pas top pour l’arbitrage).
En revanche je pense que le changement sera plus marqué lors des premières journées de championnat et que le protocole parfois tributaire des localités devrait avoir un impact au plan sportif (moins d’équipes engagées, niveau hétérogène dans l’équipe en raison des arrêts, …) et social (plus de pot, de casse-croûte …).

1 « J'aime »