Bien sûr que non. Si tu ne fraudes pas, vivre des aides sociales n’est pas « confortable » hors cas d’exception (on en trouvera toujours).
Ou est-ce que j’ai écrit ça ? Surtout qu’en plus j’ai posté un message plus haut qui va dans le sens contraire.
tu l’a dit si on ne fraude pas malheureusement vu les controles qu’il y a chez nous c’est un sport national
Alors ça, rien n’est moins sûr!!!
Tout dépend de ce que tu entends par " confort ".
C’ est sur que si pour toi le confort c’ est d’ avoir une voiture avec des sièges qui s’ adaptent à ton dos ou un ascenseur dans la baraque, la faut aller au charbon.
Si tu te contentes de peu, tu peux avoir un confort largement suffisant.
Et sans confinement pour ce genre de sport.
Tant que le mec a son Iphone 11 et son PC, tout va bien.
Ca me fait penser à ce doc, ils ont obligé la famille à percevoir le RSA.
Ca m’ avait bien ouvert les yeux sur ce qu’ il est possible de faire.
Ils n’ ont pas l’ air malheureux du tout.
Alors perso, je prépare le monde d’après. Je me suis lancé dans un stage de survivalisme. C’est bien plus difficile que ce que j’ai fait jusqu’à présent .
Capturer un brochet à la nage, attraper un lièvre dans un champ de maïs de plus de 3m de haut, échapper à un taureau homosexuel (ça, c’est facile), fuir une meute de petits félins dirigée par son propre ex-chat , etc…
Bon, pour allumer un feu, je ne suis pas doué et on hésitait à me confier le barbecue dans le monde d’avant. J’ai donc utilisé mon joker du stage. Pendant que les gens s’étripaient pour du PQ, j’ai acheté quelques dizaines de kilos d’allumettes.
Sinon, je m’inspire de la vie d’avant pour la vie d’après à partir des références du survivalisme :
L’examen « paléolithique 3.0 » est prévu dans les Grottes de Lascaux" à une date indéterminée.
La franchement oui !
Bah se rendre utile, être capable de se gérer, ne rien devoir à personne ce n’est pas rien à mon sens. J’ai démarré au smic il y a 25 ans et j’étais heureux, j’avais mon appartement, mon premier de job, je crois que c’était le bonheur pour moi à l’époque.
Déjà rien que de se sentir utile. T’as des gens qui ne peuvent pas rester comme ça en ayant l’impression d’être inutiles.
Sans compter que dans le travail même sans s’épanouir professionnellement on peut se sentir utile, chacun à sa mesure, et/ou s’épanouir socialement. Car vivre d’un RSA + aides de l’état c’est pas facile tous les jours, les contacts sont moindres. Après y en a à qui cela convient. On a le droit de choisir entre un burn out ou une dépression
J’ai hyper mal vécu cette période me concernant
Enfin si tu ne t’épanouis pas professionnellement, au début ça va, mais à long terme ça peut avoir des conséquences. C’est super important l’épanouissement mine de rien. Je suis déjà passé dans des boîtes où le mot d’ordre c’était le rendement, et rien d’autre, y avait pas spécialement une bonne ambiance.
Et puis c’est surtout oublier que dans le travail, y a pas que l’aspect travail : y a des collègues, un patron, voire plusieurs supérieurs hiérarchiques, une ambiance, un rythme… Socialement c’est pas rien.
Je suis d’accord mais si l’ambiance est bonne c’est déjà beaucoup. Et en travaillant mine de rien tu acquières de la confiance en toi. En tout cas c’est mon cas et ensuite tu agis en conséquence
Vaste question qu’est le bien être au travail mais j’ai l’impression que c’est un peu HS
Ca dépend utile à quoi, je pense qu’ on est tous à peu près d’ accord qu’ on va dans le mur.
Je ne comprends pas ta phrase ! Peux tu re-formuler ?
C’est ça. Honnêtement, dans ce que je fais, j’apprends tous les jours, à tel point que je peux même dire qu’au jour où je prendrai ma retraite, je serai encore en train d’apprendre. Mais la prise d’expérience ça fait du bien, parce que tu sens que tu progresses, que tu peux faire mieux. D’ailleurs, l’air de rien, la bonne ambiance, la confiance, et le rendement, ça forme un cercle vertueux. En tout cas pour ma part : jamais dans une boîte de merde je vais réussir à faire un truc de qualité.
C’ est sur que c’ est valorisant de se sentir utile.
Et tout n’ est pas à jeter dans le système actuel.
Mais participer au système en travaillant c’ est aussi consentir à certaines choses, peut-être même s’ en rendre complice.
C’est plus clair merci. Oui bien entendu, nous sommes tous conscients des dérives mais je ne dirais pas que nous sommes complices, mais je dirais plutôt que nous alimentons le système. Nous faisons ce que nous ont demandé, nos parents et grands parents…c’est agréable pour notre confort mental. Pour ma part j’ai vécu également avec mon arrière grand mère, et je dois dire que je me suis conformé aux directives familiales…il faut travailler, pour gagner sa vie, fonder une famille…