A la campagne les logements ne sont pas si cher, tu peux avoir une maison avec un petit jardin pour 400e par exemple.
Tu déduis les APL, tu t’ en tires pour 135e.
550-135=415
Il te reste 415e pour vivre peinard, et si tu te fais ton petit jardin, que tu pêches, que t’ as un pote qui chasse, tu n’ es pas à plaindre je trouve.
Après je me répète, il ne faut pas avoir beaucoup de besoins.
Moi je trouve qu’ aller se casser le cul 8h/jour 5/7 pour 400e de plus ( et encore faut déduire les frais de déplacement, des fois les repas, ou le crédit ), tout ça pour s’ acheter une belle maison, la dernière bagnole ou acheter des bouteilles 100e en boîte de nuit ( juste un exemple), il y a débat.
tu oublie dans tes exemples le cas des mères célibataire qui tombe enceinte par le saint esprit lol qui est devenu la norme chez nous dans le sud (je ne sais pas ailleurs) et qui on un concubins qui mettent leur adresse chez les parents .comme cela avec toutes les allocations familiale elle vit très bien mieux qu’un salarié payé au smic
écoute je te prend l’exemple de ma soeur qui est commercial elle a perdu plus de 600 euros suite a la fermeture des restaurants et elle est dans la merde car elle a droit a rien . dans sa cage d’escalier il y a plein de voisins qui sont dans le cas que citent zorro et ils vivent mieux que ma soeur du coup elle est dégouté
Elle peut toujours tout envoyer ch… et se mettre au RSA.
Si elle les envie tellement.
Sauf que dans ton cas de figure, tu as intérêt à être déjà dans ta maison à 400 euros quand tu tombes au RSA.
Les gens qui sont au RSA ne sont pas tous des profiteurs…
Ça dépend pour qui. Selon Laurent Wauquiez par exemple, si. Selon François Hollande, non.
Pour moi il n’ y a pas vraiment de profiteurs, il n’ y a que des " règles du jeu ".
Après, chacun fait ses choix.
Et encore, je pense que c’ est plus de la (mal)chance que des choix en réalité.
Bonjour dans l’exemple donné un peu plus haut, 400 euros pour le reste à vivre, les charges (lumière, gaz, eau) ce n’est pas gratuit.
pour ma part, arrêter le tourisme de masse. on est arrivé à un point de non-retour.les petites villes touristiques gangrénées par ce tourisme déforme tout. il n’y a plus d’identité.
on détruit plus que l’on produit.
il y a beaucoup d’autres exemples, sur la nourriture, les modes de consommation actuels.il y aurait beaucoup de choses à changer, le mode de vie de nos gouvernants….
Je n’ose même pas imaginer ce qu’il se passerait si on supprimait le RSA ( vols, braquages, hausse du nombre de SDF etc…).
Ca c’ est clair, c’ est bien pour ça que le RSA existe d’ ailleurs.
Y en a un certain nombre qui passeraient à la trappe. Et en France on ne défend pas ce concept. Heureusement, ai-je envie de dire.
Ok, même si tu en as pour 100e, c’ est carrément jouable.
Tout dépend uniquement de nos besoins.
De plus, pour recoller au sujet, lorsqu’ on vit comme cela notre impact sur la nature est peu important.
Après « les règles du jeu », théoriquement, il est prévu de les respecter, justement…
Quand tu es au RSA tu respectes les règles du jeu.
La seule justice qui existe aujourd’ hui est la justice procédurale.
Pas nécessairement!
Vivement le retour de la justice divine, elle m’a tant manqué!
Je suis là hein !
Et si on se passait d’internet, on va dire personnellement dans un premier temps, car professionnellement cela risque d’être compliqué bien que l’on y arrivait avant car à ce jour et cela va augmenter avec le temps il me semble que c’est 1.5 fois à 2 fois la pollution émise par le transport aérien.
Bah Sylvain Durif, il a pas prévu de remplacer Internet par un truc qui s’appelle Elvita, estimé 150 millions d’euros, qu’il a gracieusement laissé à l’Humanité, pour que ça fasse partie de son patrimoine ?
fallait dire que c’était un fil comique. moi qui voulais être sérieux pour une fois
Blague à part, plus sérieusement… Se passer d’Internet me semble assez difficile, voire même utopique. Quand aujourd’hui nombre de communications nécessitent l’utilisation de ce réseau. Après, si il y a un truc nouveau à proposer, c’est sur le très long terme. Sinon, là, dans l’immédiat, je ne vois pas ?