C’est le cas pour tous les club qui range les tables a chaque session.
Pas faux…effet trampoline quoi…il faut quand même un sol très souple pour faire bouger la table…
Sans aller jusqu’à trampoline, le sol peut aborder un peu plus ou un peu moins l’énergie …
Sans compter les ion négatifs…on se méfie jamais assez des ion…associés aux forces tellurique et au vent solaire…un truc a te retourner le bozon
De mon coté j’étudie l’influence de l’électricité statique…avec un plaque en laine vierge, je devrais réussir a attirer toute les balles vers ma raquette…
Juste pour info, le sujet de ce topic avait été débattu à plusieurs reprises sur l’ancien forum si je me souviens bien. Vous y trouverez de la matière complémentaire à votre débat. Désolé pour cette flemme passagère, je n’ai pas le courage de rechercher …
Je ne parlerai ici que du rapport sol et table.
La qualité de la table pouvant modifier très sensiblement le ressenti.
suivant mon vécu, je dirai ceci :
sol béton : Annule les effets et moyennement rapide. Rebond moyennement haut.Avantage la prise d’initiative et la frappe.
sol carrelage : Rapide et rebond haut. Avantage topeur et frappe.
sol PVC une couche : Restitue bien les effets, assez rapide. Désavantageux pour un un jeu d’attente.
sol PVC plusieurs couches : Restitue bien les effets coupés et liftés, rebond moyen. Avantage les personnes jouant avec effet, les défenseurs.
Sol Parquet : Rapide et rebond bas. Restitue bien les effets. Peux poser des problèmes de déplacement pour les topeurs. Avantage les personnes jouant assez près de la table avec de l’effet.
Poids de la balle, de la table, choc élastique (c’est la balle qui se déforme) avec frottement balle/table (perte d’énergie)… j’ai du mal à voir l’influence du sol là dessus
Par contre sur les appuis et le déplacement du joueur c’est évident. Et pour le rebond balle/table et la trajectoire de la balle de manière générale, plein d’autres facteurs qui dépendent de la salle (les fameuses conditions de température et de pression de tout bon énoncé de physique , humidité).
Sans parler de ceux qui influent sur la perception qu’on a de tout ça (éclairage, acoustique…).
Tout ne s’explique pas par la science cher ami. Il existe des réactions surnaturelles qui ne s’expliquent pas. Force est de constater que la balle n’a pas le même rebond suivant la nature des sols. C’est une évidence.
Sur le forum, il y a même des joueurs qui affirment faire des tops coupés. ça aussi, c’est un défi pour la science.
Et pourtant, la nature du sol intervient dans des proportions non négligeables: à ma grande surprise j’en ai eu la preuve il y a longtemps quand nous transportions quelques tables dans la salle voisine du même bâtiment d’un complexe sportif: entre une ancienne moquette plastique sur chape ciment et le sol en parquet de la salle d’escrime que nous réquisitionnions, que de différences de rebonds et de vitesse !
Bien sûr que la nature du sol joue beaucoup ! Je l’ai remarqué dans toutes les salles et particulièrement dans la nôtre où en conservant les mêmes tables sur deux sols bien différents, l’un en béton ciré et l’autre un nouveau revêtement sportif, on des vitesses de balle et des rebonds bien différents. Avant rebond haut et balle rapide maintenant rebond clairement plus bas et balle plus lente avec un contrôle plus facile.
Je dis ça comme ça, mais à priori dans les différents paramètres que j’ai listés, seule la pression atmosphérique est forcément invariable lors des changements de salle de vos exemples.
Je pense également à un autre effet qui est la planéité/horizontalité des plateaux, quand la dureté du sol change ça doit être assez sympathique(déjà qu’on ne le fait presque jamais pour des tables rangées quotidiennement alors que les sols ne sont jamais vraiment plats…)
Ca ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’explication mécanique due purement à la liaison sol/table, mais vraiment je sèche là.
Il faut bien sur tenir compte également de la pression atmosphérique au moment de l’utilisation des balles comparée a la valeur constatée au moment de la fabrication de la dite balle. C’est le delta « bing » qui impact la vitesse de la balle.
Ensuite il faut considérer le facteur « M » ou « H » en anglais, qui du fait du taux d’humidité, Ph et traces organiques ayant migré depuis les organes préhensibles des joueurs sur la surface extérieur de la balle et pouvant influencer la rotation. C’est extrêmement important, et c’est pour cette raison que les plus grands champions attendent la fin des tournois avant d’attaquer le rosé pamplemousse et les sandwich au pâté…
Tu te moques sournoisement mais les frottements de l’air ont une influence considérable sur la trajectoire de la balle!
Avec Zorro, nous travaillons activement a la confection d’une poudre de verre abrasive associé a un défoliant qui peut être utiliser assez discrètement en gardant une petite reserve au fond des poches.
On s’en sert pour humecter les balles pendant le jeu.
Les p’tits malins qui arrivent avec des picots longs traités a la testo de taureaux en sont pour leurs frais…avec notre technique ils finissent backside avant la fin du premier set…
Je blague mais attention hein, le premier qui vient avec des éléments mesurés indiqant une interaction entre le sol sous la table et le rebond de la balle, obtient mes plus plates excuses ( et une bourriche d’huîtres) biens sur…
Tu as raison…
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où la p balle a voulu t’appeler,
Puis, comme Timo, lutte et gagne sans parler.
Inspiré librement d’Alfred de Pongy…
c’est clair que c’est bizarre ces histoires de sol, comme la plupart, j’ai expérimenté ces sensations très différentes selon les sols au niveau de la vitesse et de la rotation des balles…
Pourtant le côté rationnel a du mal à comprendre pourquoi : c’est pas comme si on jouait sur des tapis en mousse ! La plupart de ces sols sont rigides, alors comment expliquer ça ? Je ne sais pas…
Peut-être que ça vient aussi de nos appuis, de notre accroche au sol ?