Le manque de public dans nos diverses compétitions (à de rares exceptions) est le premier des problèmes. Comment intéresser des marques généralistes, des télévisions, si nous même les pratiquant ne nous y intéressons que moyennement.
1 « J'aime »
Exemple du championnat par équipe : comment aller voir jouer le “haut niveau” vu qu’on joue en même temps ?!
Perso j’irai bien voir de la N1 pas loin de chez moi mais je joue donc c’est mort. Et je ne suis pas le seul dans ce cas là. C’est dommage.
C’est pour ça que je dis qu’il faut que ce soit bien surveillé 
Mais bon souvent c’est moyennement le cas …
En effet, quelle idée de jouer la Pro A le mardi soir. Il y a parfois des matchs décalés le week end, c’est bien.
Ca me rappelle lorsque Cergy recevait Orenbourg pour la finale de la ligue ces Champions.
J’y avais été, je connais bien la ville, mes parent y habitent depuis 40 ans. Ils ont été surpris de me voir 
En fait ils ne savaient même pas que Cergy avais un club ni qu’il était de haut niveau et encore moisn que ce soir là il y avait une finale Européenne. Pas une affiche en ville, rien.
Il est pourtant important que nos meilleurs joueurs puissent gagner dignement leur vie, avec les tournois et pas seulement avec les sponsors.
Les Prize money évoqué ici sont vraiment indignes par rapport au niveau des joueurs qui y participent. Tant que nos gradins resteront quasi vides, cela sera difficile de faire. C’est toute une culture à développer, pour toutes les compétitions. En pro A, Hennebont le fait, la salle est pleine, ben c’est super.
3 « J'aime »
Oui c’est vrai, moi aussi j’aimerais aller voir la N1 de Cestas.
Bonsoir, voici un témoignage éclairant et édifiant à plusieurs niveaux, d’un excellent pongiste pro français
1 « J'aime »
Au niveau des gradins à Pontoise pour y être allé plusieurs fois en tant que spectateur et une fois en tant qu’arbitre ils sont quand même très garnis !
Le ping reste comme d’autres un sport de passionnés, difficile d’attirer des non licenciés.
Le propos d’Antoine Hachard ne vous inspire aucun commentaire ?
C’est assez triste en effet, je l’ai lu aussi cet article …
Après le ping c’est spécial dans le sens où la principale source de revenus c’est le club (, salaire), je sais pas trop comment ça se passe au tennis par exemple ?
Et si le ping c’était qu’une histoire de carrière internationale individuelle (comme peut être au tennis du coup ?) est-ce que les prize-money seraient quand même aussi bas ?
Au tennis pas de clubs il me semble donc les revenus viennent des sponsors et des tournois…
Triste, je n’irai pas jusque la : il vit quand même de son sport…situation qui plairait à énormément de sportifs français de son niveau (ce n’est quand même pas le top de son sport …)
Si on compare le nombre de licenciés aux nombres de pros, le ping n’est pas si mal servi…
Voilà pourquoi le classement mondial n’a aucun sens au delà de la 50e place. 60e ou 300e tout dépend des moyens financiers. Et puis se présenter sur des open où tu sais que tu n’as aucune chance d’accrocher un prize money en plus, ça n’aide pas…
2 « J'aime »
L’article est intéressant.
Je ne sais pas à combien se monte le budget de la FFTT pour le financement des joueurs à l’international. J’ai beau souvent taper sur la fédé, la je dois admettre qu’ils n’ont probablement pas un budget extensible et donc qu’ils doivent privilégier une poignée de joueurs (les tout meilleurs + les espoirs jeunes) et qu’ils ne peuvent malheureusement pas financer tout le monde.
Ce qui est dommage c’est quand il indique que l’organisme mis en place pour la logistique coûte au final le double… Une solution pourrait passer par un genre d’association des joueurs qui leur permettrait d’obtenir des tarifs de groupe plus avantageux (mais ça implique un salarié ou au moins une personne qui s’en occupe et il faut un minimum de personnes qui adhèrent pour que ça reste rentable).
Par rapport à ceux qui comparent au tennis, ils ont finalement un soucis similaire. Les prize money sont énormes sur les gros tournois, mais dès que tu passe sous les 150 mondial les mecs rament comme pas possible pour joindre les 2 bouts (et pour le coup il y a moins de structures types clubs qui peuvent les prendre en charge). Le monde avait fait une série d’articles très intéressante la dessus mais je n’arrive pas à les retrouver.
1 « J'aime »
C’est là qu’on trouve le lien avec le sujet « sponsoring ».
En gros il faudrait 7000 euros à un joueur comme Hachard, (vice champion de France, quand même), pour lui permettre de faire une saison à l’international. C’est à la fois beaucoup bien sûr, mais pas tant que ça pour une entreprise qui tourne.
2 « J'aime »
Il dit 7000€ pour 10 open, je trouve que c’est très peu.
Mais c’est sur que financer ça seul ça ne doit pas être simple. Il faut bien choisir ses open et passer quelques tour sinon ça fait cher la partie…
Si je lis bien, 7k€ c’est le coût minimal de sa saison (un peu moins de 1k€ par open, je trouve ça peu également), pas son déficit au final. Un peu de cash prize doit réduire la facture, mais cf ce sujet à moins d’aller loin dans les tableaux…
Concernant le sponsoring justement à la fin de l’article il monte un dossier spécifiquement pour financer ses tournois internationaux.
Ah c’est pas ça que je trouve triste, depuis que je suis un peu informé je trouve pas que le ping ce soit le sport le plus à craindre
Ce que je trouve triste c’est de pas avoir accès si facilement aux World tour events, je sais pas pour les joueurs mais pour moi c’est le côté le plus excitant de la carrière
1 « J'aime »
Ben c’est exactement l’inverse. Les revenus des joueurs proviennent uniquement des gains en tournoi et des sponsors extérieurs ( matos, pub, … ). La plupart des meilleurs joueurs ne jouent pas en championnat pour un club et ne font même pas les championnats de France. Ils vivent leur carrière en totale indépendance vis à vis d’un club ou de la fédé. La seule aide de la fédé provient de wild card dans les tournois du grand chelem qui procure des gains importants même en étant viré au premier tour. Ils financent ainsi indirectement de jeunes espoirs. Invitations accordées également dans les autres tournois par les autres fédés par courtoisie. Ensuite, chacun se démerde. Evidemment, les gains en tournois n’ont rien à voir avec le ping.
1 « J'aime »
Tout juste vivre de son sport quand on connait les sacrifices et le travail pour arriver jusque là sans même en être sûr d’y arriver. Si tu avais un enfant doué au tennis de table, est-ce que tu le pousserais à devenir pro dans les conditions actuelles ?
2 « J'aime »
Moi non. D ailleurs je ne lui apprend pas à jouer. Si il me le demande ok, sinon non. Tennis, golf pourquoi pas.
Par contre sport obligatoire.
1 « J'aime »