Je suis en train de chercher un jeu ou il n’ y aurait pas de gagnant et de perdant.
C’ est pas si évident.
Peut-être même que l’ " amusement " lié à un jeu c’ est aussi et surtout de l’ excitation lié à l’ espoir de la victoire possible.
Ok si vous ne vous recentrez pas sur le sujet, on le ferme. C est valable pour a peu pres tous les intervenants …
Merci.
les petites voitures , les puzzles
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Et encore… tu peux faire une compétition à qui finira le puzzle d’ours blanc de 1000 pièces le plus vite possible.
Reste la possibilité de faire le puzzle à deux cependant.
Et puis bon, gagner comme perdre, ça fait partie du jeu, y a peut-être un moment où il faut l’accepter.
Quand on pense qu’à la télévision, dans l’émission des petits prodiges, il faut qu’ils trouvent un gagnant et des perdants. En somme , un petit prodige encore plus prodigieux que les autres … 
Alors que, franchement, à quoi bon ? … Ils sont tous aussi supers les uns que les autres.
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Franchement, quand on voit ce qu’on voit, et qu’on entend ce qu’on entend… on a raison de penser ce qu’on pense.
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Donc, c’est un complot, c’est certain.
faire du sport d’opposition sans compétition, c’est quand même vachement compliqué.
Cela se fait sur certaines compétitions de tennis de table en Asie (un miniset de 5 points je crois…)
En fait, on peut être avoir de belles statistiques sur les matchs gagnés en 5 sets alors que l’on n’a pas été si bon que cela. Si les belles ont lieu uniquement contre des joueurs moins forts que toi, cela peut vouloir dire justement que tu ne négocies pas parfaitement les parties contre les joueurs plus faibles (car 66% dans un tel cas n’est pas une bonne performance…)
Non mais la compétition c’est dévalorisant pour le perdant tu vois… pardon, celui qui n’a pas gagné.
Et comme tu es celui qui n’a pas gagné, mais que celui qui a eu la chance de disposer de toi est bien plus fort, alors il faut mieux niveler par le bas.
Ben oui, quand tu ne peux pas te mesurer à l’autre, il ne peut pas être meilleur que toi.
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Et comme dirait Robin, ce n’est pas parce que le gars n’a pas gagné qu’il doit être un perdant.
Oui, évidemment. Tout en prenant en compte qu’entre ce qu’il dit et la réalité, y a souvent un gros décalage.
Mais raisonner comme ça, c’est un raisonnement de perdant.
Il y a des matchs que j’ai perdus qui m’ont laissé les meilleurs souvenirs pongistiques
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C’est possible mais il ne faudrait pas qu’il y en ait trop ! 
Bah c’est évidemment pas le cas. Les belles sont des matchs généralement « serrés ». Ca peut être contre plus fort ou moins fort que soit…
Tu parles de ton cas personnel ou de la généralité ?.
J’ai souvent été étonné quand des joueurs lambda comme nous affirment que tel joueur de haut niveau mondial n’a pas de mental… Effectivement, un joueur de classe mondial peut craquer régulièrement sur des matchs capitaux mais l’explication vient peut-être du fait qu’il a déjà atteint et-ou dépassé ses limites. Si ce même joueur avaient fourni moins de travail et n’avait pas atteint son objectif de parvenir dans le club des joueurs mondiaux, il aurait peut-être été un excellent joueur de ProA avec peut-être une réputation de joueur au mental sans faille…
Les stats sont intéressantes si l’on y regarde de plus près. Je vais jeter un oeil sur les miennes (en estimant que moins de 100 points d’écart correspond ni à une perf ni à une contre…).
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Exactement! Tout le fond du problème est là! L’acceptation ou non de la défaite. Dans la vie comme au ping il y a des gains et des pertes, des échecs et des réussites… On peut soit rester dans la frustration de la perte et dire que c’est injuste et on se victimise, soit voir l’échec ou la perte comme une occasion de s’améliorer, de progresser et d’apprendre.
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