Perte de poids

1 kilo par semaine c’est déjà très bien.

En 6 mois, tu aurais perdu 24 kilos ; c’est pas si mal !

Plus vite tu perds… plus vite tu reprends …

2 « J'aime »

une perte lente sera bien plus efficace sur le long terme qu’une perte rapide.
Le corps ne subit pas de gros changement dans une perte lente du coup, il s’habitue progressivement à manger moins et mieux.
Une fois le poids cible atteins, pas besoin de période de stabilisation, c’est direct de l’acquis et donc peu de risque de reprendre du poids comme c’est souvent le cas suite à des pertes trop rapides.

1 « J'aime »

Il faut peut être pas prendre le problème d’un point de vue comptable. Avec du recul il y a moyen de faire autrement.
Nous pilotons avec notre volonté mais nous sommes aussi piloté par nos emotions…deux pilotes qui ne vont pas toujours dans le même sens.
On a tous des phases ou l’un prédomine sur l’autre. Compter sur la volonté pour réduire les émotions au silence est un mauvais choix. Utiliser la volonté pour contrebalancer les émotions me parait plus efficace. ll faut donc adapter ses phases volontaires aux phases émotionnelles

A chacun de réfléchir et de trouver une organisation compatible avec son mode de vie.

Par exemple, on peu s’appuyer sur les courses pour maîtriser les apports en nourritures…En évitant les stock à la maison a seulement des produits basique et « non dangereux » :slight_smile: …pas de produits sucrés ou de féculent en quantité…Si on craque (emotion) sur une soirée, un repas, un week-end…On utilise ensuite la raison lors des achats qui suivent, en éliminant tout les aliments plaisir/calorique…Résultat on lutte pas contre ses emotions, on les corrige…

1 « J'aime »

C’est effectivement une excellente approche.
tu ne risques pas de craquer sur ce que tu n’as pas à la maison.

après l’approche chiffrée/comptable, c’est aussi un moyen de mesurer une progression, de se motiver, etc.
Comme le classement au ping :smiley:
après chacun se gère, pour certains mieux vaut viser pas trop haut car ils se decouragent facilement. Pour d’autres, au contraire, ils vont atteindre leurs objectifs, donc autant viser haut. Par exemple, avec le boulot je cours un 10km une fois par an. première année objectif 55 minutes : résultat 55 minutes 15.
deuxieme année, objectif 53, resultat 53 10. Bah si j’avais viser 50, j’aurais peut etre fait 50 en fait :smiley:
et on va plus loin en visant 15 et en « échouant » à 10 qu’en réussissant un objectif de 5
à voir suivant son caractère et ses possibilités

Je sais pas si la course à pied est un bon exemple, parce que contrairement au TT ou ya tellement de points sur lesquels on peut progresser indépendamment des autres, en fonction du point de départ et de la durée donnée entre le choix de l’objectif et sa réalisation… bah ya une limite physiologique « dure » à la progression, totalement indépendante de la volonté. Tu peux pas t’y entraîner au delà de ta capacité physiologique de récupération (enfin tu peux mais ça sera contre-productif pour ta progression). D’où le dopage omniprésent dans ce type de disciplines…

La perte de poids ou comment j’ai repris le contrôle de mon corps.
J’ai entamé une transformation physique fin mai 2018 suite à la perte d’un match de hand avec mes élèves, et que je n’avançais plus (souffle court, replis défensif inexistant, motivation en berne…). La coupe du Monde arrive, je me ressens reboosté à la fois pour suivre l’aventure de nos Bleus (un vrai footix depuis 1996, pour moi ils vont toujours gagner… enfin pas aussi souvent que je le voudrais) mais également pour me fixer de nouveaux objectifs (avec en ligne de mire un tournoi de ping mi-juin et de foot à 7 fin juin, et perdre 10 kilos, j’en fais 100 fin mai 2018 pour 1m74).

Juin 2018: je fais beaucoup de courses à pied, j’enchaîne les 10km pour m’entraîner (2 à 3 sorties par semaine sur route) en plus des séances de ping et de foot pour me préparer. Je prends également un bruleur de graisse pendant 30 jours (juin). Pas de petit déjeuner. Résultats: perte de 6 kilos mi-juin et perte totale de 10 kilos fin juin. Je me sens plus léger et davantage tonique. Très satisfait mais j’ai encore du bide même si il a fortement diminué.

Juillet/Octobre 2018: je continue de courir deux fois par semaine, mais je couple avec de la corde à sauter. Mon travail me permet d’avoir accès facilement aux gymnases sur les pauses méridiennes, je ne mange plus le matin ni le midi (car je fais les séances ou je taf de l’administratif), uniquement le soir. Je continue à m’affiner, en arrivant à 86/88 kg. Je fais également un semi marathon en 1h51 (je précise que je n’aime pas courir, sauf après une balle ou un ballon).

Novembre 2018 /Juillet 2019: découverte du gainage. La bascule s’est opérée à ce moment je pense. Je continue le cardio (un 10km par semaine, avec des temps qui descendent, passant de 51min mai 2018 à 42min août 2019) mais 3 à 4 séance de 10 à 30 minutes de gainage par semaine. Je reste sur une restriction alimentaire, mon corps s’est habitué. Je descends à 82kg. -18kg en 1 an (soit 3 packs de lait… ma taille s’est réduite d’un poing et demi, j’ai du changé tous mes pantalons).

Septembre 2019 à aujourd’hui: je ne cours plus de 10km. Mes séances de gainage se font en 24minutes en mode Tabata (20 secondes efforts et 10 secondes repos), avec 300 squats (4 séances par semaine). Mes jambes ont moins de graisses (merci les squats), je perds plus facilement le poids que je prends quand grosse bouf (anniv, fête & cie) et surtout un physique qui tient le choc en compétition. Je continue de jeuner 24h par semaine (voir 48h en fonction de ce qu’il s’est passé le we). Je suis davantage sur du 85kg/86kg (moins de graisses, plus de masse).

L’important, comme l’ont souligné bon nombre de forumeurs, est la motivation, l’abnégation et la volonté d’y arriver. Le fait de se fixer des objectifs contribue également à te guider dans une bonne direction physique et mentale. Il s’agit également de recouper différentes informations et d’expérimenter sur soi les bienfaits/méfaits qui t’amènent à faire des choix qui seront le mieux pour toi-même. Je pense que chacun-e a les cartes pour y arriver, il suffit de bien les jouer. et d’être patient.

La résilience face à l’effort et le fait d’être convaincu que l’on peut y arriver va faire la différence.
« Fais ou ne fais pas, essayer ne sert à rien » (Maître Yoda, 1980)

2 « J'aime »

Eh bien bravo. :+1:

Merci Big

Bravo, beau parcours.
J’avais utilisé aussi un brûleur de graisse lors de ma seconde perte de poids, même si ce n’est pas un produit miracle, la marque que j’ai utilisé m’avait bien aidé à lancer la machine.
Me concernant, je ne courrais pas mais je faisais au minimum 10 heures de ping par semaine et quasi autant de musculation (mais comme je l’ai dit plus haut, j’étais célibataire, j’avais le temps, aujourd’hui, c’est plus compliqué).
Pas de secret, la motivation reste la clef de tout

1 « J'aime »

Comme je le disais plus haut, beaucoup d’avantage à micro-jeûner je le fais depuis toujours naturellement ou instinctivement, en fait la société et sa consommation de masse nous fais croire que 3 repas par jours est la norme et que c’est indispensable sous peine de carence voir de mourir de faim( oui j’exagère un peu), mais c’est faux.

Plusieurs personnes dans ma famille ne mange pas le matin ni le midi et beh il génèrent moins de gras à toujours fatiguer le corps à digérer. On peut se contenter de peu et réduire la taille de son estomac. Une de mes nombreuses expériences infligés à mon corps !!!

1 « J'aime »

Le problème reste de même: quel pourcentage de réussite à 10 ans ?
Sauf à verser dans l’ascètisme bien sûr (faut une force de caractère rare quand on aime bouffer…)

1 « J'aime »

Je ne bouffe que de la merde, jamais de légumes, jamais de viande rouge, jamais de poisson ni de fruit de mer à peine quelques crudités … Mais baisser les quantités et micro-jeûner c’est l’avenir … Et le passé en Russie je relink le reportage d’Arte qui est incroyable …

1 « J'aime »

Perso si j’ai pas mangé depuis + de 4/5h avant d’avoir une activité physique un peu engagée, bah c’est très vite « oups j’ai la tête qui tourne » faut que je m’assoie sinon ça va mal finir là. Je suis une victime de la société et de sa consommation de masse faut croire. :roll_eyes:

2 « J'aime »

L’abstention de petit-déjeuner est efficace. Quand le jeûne dépasse 12h00, on "se mange soi-même " autrement dit, on maigrit. Le problème est de ne pas sur-compenser au moment des autres repas car on obtient alors l’effet inverse, tout se passant comme si l’organisme avait " mémorisé " l’absence de nourriture à un moment donné : il stocke alors d’avantage… Si on choisit le jeûne du matin il faut donc être très vigilant dans la journée. Par contre il est vrai qu’au bout d’un certain temps on s’accoutume parfaitement à ce jeûne matinal et qu’il reste efficace vis à vis de la prise de poids. Attention donc à être très rigoureux au début de la démarche de jeûne matinal… Pendant que j’y suis : jamais de régimes pour maigrir. Les régimes amaigrissants sont tous très contre-productifs car ils mènent inéluctablement à un effet rebond à un moment ou à un autre. Il ne faut pas faire de régime mais changer ses comportements alimentaires… le changement de comportement alimentaire entraîne notamment, mais pas que, une modification progressive du microbiote qui agit en particulier sur le stockage calorique de l’organisme. Bien entendu, la modification adéquate du comportement alimentaire tendra surtout à diminuer les apports caloriques tout en conservant des apports suffisants dans tous les compartiments nutritifs. Beaucoup de propos judicieux ont été écrits dans les posts précédents sur ce sujet particulièrement intéressant. Pour se donner une petite idée du problème des apports alimentaires, en simplifiant, l’évolution (au sens darwinien du terme) de l’Homo Sapiens Sapiens aboutit à des besoins alimentaires, et aux sensations qui les sous-tendent (faim, satiété…), correspondant à des dépenses énergétiques correspondant à un parcours pédestre journalier d’un vingtaine de kilomètres… On comprend nos difficultés actuelles à maintenir un poids idéal, aggravées chez certains par une génétique familiale plus défavorable et, pour tous, par une déviation du métabolisme, en lien avec le vieillissement, vers l’augmentation de la masse grasse et la diminution de la masse maigre et de l’hydratation de l’organisme…

2 « J'aime »

Moi j’aurais du mal à faire ça aussi : je veux dire ne pas manger 12h.

Ça doit sûrement être efficace sur du ponctuel mais à la longue, le corps s’habitue et ça ne change plus rien.
En général, je finis de manger vers 20h. Ne prenant jamais de petit dej le matin, mon repas suivant est vers 12h30/13h.
16h se sont écoulé et pourtant…
Pour moi, il n’y a pas de secret. Le meilleur des régimes c’est le régime « mange la moitié »
Manger de tout en réduisant les quantités et garder une activité sportive, c’est la clef de tout.
Si on brûle + de calorie que celles ingérées, on maigrit! Le calcul dans le fond est on ne peut plus simple même si compliqué à mettre en œuvre quand on est gourmand ou bon mangeur (comme c’est mon cas)

4 « J'aime »

Moi, je le fais très bien: je ne déjeune pas le matin; quant à l’efficacité, du moins pour moi… :frowning_face:

Il y a aussi les contraintes sociales qui vont à l’encontre de l’idéal: peu déjeunent beaucoup le matin, peu peuvent se permettre le goûter recommandé, alors que le soir, on a le temps, on est bien… :stuck_out_tongue:
Pour ce qui concerne le goûter, j’ai testé, ça ne m’a aucunement coupé l’appétit pour le soir, comme c’est pourtant censé le faire !

1 « J'aime »

Je rentre de l entrainement, purée c est dur. J ai joué une petite heure. Je suis tres essoufflé. Probablement du a l intervention que j ai eu il y a deux mois, surpoids, et pas jouer pendant 18 mois.
Bon, le poids je m en occupe et j espere que rejouer va m aider…

Entraînement du dimanche soir ?