Tu as bien un ou plusieurs copains,travaille ces schémas de jeu dont tu parles,je pense que ça devrait le faire…pour moi,tu te poses beaucoup trop de questions et ton mental ne peut pas suivre😉
Eh oui, je le sais bien… mais tu ne choisis pas ton mental, malheureusement. En fait ça fait plusieurs saisons que je baisse la vitesse en revers pour pouvoir assurer mieux mes coups… mais je me demande si c’est vraiment la meilleure option. Sachant que je ne fais pas tant de fautes avec le T64, je devrais peut-être choisir la plaque que j’aime le mieux. Après le dignics, c’est efficace… mais j’ai du mal à accélérer avec… et le bloc c’est pas simple non plus…
Et le dignics et le T64 me plaisent tous les deux c’est ça mon drame
Tu joues en 1,9 sur ton rv?question vitesse,tu peux aller moins vite,mais travailler le placement,c’est tout aussi efficace que d’envoyer des avions qui vont une fois sur 4 sur la table…perso j’ai progresse avec des copains de mon niveau,puis “le sommet” ce que j’appelle pour moi,en relativisant bien sur🤗, en côtoyant des plus grands clubs…tu connais bien le vieil adage,vingt fois sur le metier remetter votre ouvrage😉
1,9 oui en rv, quelle que soit la plaque en général.
C’est très bien pour moi…avant de passer au picot,je jouais en 1,9…
moi je dirais Popette, que pour ton bac philo, il va te falloir réviser tes classiques grecs, les amours platoniques, l’uranisme socratique et tout ça …
mais ton sujet, ça ressemble un peu, excuse-moi, à de la masturbation intellectuelle !!
Ça a été mon cas à un moment, je voulais assurer (trop) mes coups. Ça n’a pas du tout été bénéfique. Mais on m’a tellement toujours dit de mettre la balle sur la table que je pensais que c’était le mieux à faire.
Il faut trouver les meilleurs compromis entre assurance et efficacité et accepter de faire des fautes, c’est la différence avec les meilleurs.
Le meilleur rapport plaisir/efficacité est le meilleur choix, seul toi peut choisir entre ces 3 plaques.
Sinon prend le T64, “je kiffe” dis tu il n’y a pas à hésiter !
C’est plus l’onanisme que l’uranisme qu’il faut bosser alors
C’est « presque » insoluble…
Sans plaisir, tu vas manquer de motivation, moins t’entrainer et risquer de rentrer dans une spirale négative…
Le plaisir au prix d’un manque de contrôle flagrant et donc d’une baisse de résultats, spirale négative aussi… sauf si tu arrives à compenser avec la quantité d’entraînement. Mais vu ta recherche récurrente de LA plaque… tu as déjà dû essayer…
Du coup… il faudra faire comme souvent un compromis et trouver ce qui t’apporte à la fois du plaisir et de la sécurité…
Courage
Je crois que j’ai trouvé je laisse le dignics sur mon revers. C’est un vrai plaisir d’enchaîner les tops sans faute @cowboy et de mettre la pression constamment sur son adversaire. Je pense que ça va même m’ouvrir de nouvelles possibilités tactiques.
Popette, a son niveau, aura je pense, un spectre de choix plus large, que des joueurs moins bien classés. (et encore çà c’est la théorie).
Je dirais qu’il faut faire un compromis entre 1) plaisir de jeu 2) bon ratio de coups sur la la table.
Ayant essayé pas mal de matos, je reviens toujours à la même raquette : celle qui me fait bien jouer, avec lequel je n’ai pas besoin de “réfléchir”, la meilleure prise en main, la plus jolie (çà peut compter).
Il y a d’autres bois/plaques qui me feront progresser sur certains coups mais régresser dans d’autres, mais çà je pense que beaucoup de joueurs ici ont ressenti çà.
Seb63 a tout résumer : “plaisir/sécurié” : je valide à 100%
Oui c’est ça
pour moi la pire chose est de jouer sans réfléchir , je m’en lasse très vite et ne me donne pas envie de gagner.
C’est là que tu te trompes, quand tu veux progresser sérieusement il faut viser un niveau. A partir de là, tu commences à réfléchir à ce que tu dois mettre en place dans ton quotidien pour y arriver. Fréquence d’entrainement, avec quels joueurs, les coups techniques que tu dois améliorer, la manière dont tu as envie de jouer, le matos le plus adapté pour ça etc…
Dans le même esprit, pour aller loin il faut de l’ambition, si ton ambition c’est juste prendre plaisir à jouer, ce plaisir tu peux le trouver à n’importe quel classement. C’est d’ailleurs ce que je reproche un peu aux jeunes de mon club, ils n’ont pas d’ambition, pourtant ils viennent s’entrainer toutes les semaines, ont envie de jouer plus fort, bouger plus vite, faire tel ou tel coup technique. Après 5 ans de ping ils sont 8 pour les meilleurs, et quand ils regardent mon fils jouer, ils ne comprennent pas comment il est arrivé à ce niveau, ils s’imaginent qu’il a un don qu’ils n’ont pas… Pour donner une idée de leurs ambitions, l’un d’eux qui fait parti des meilleurs du groupe, voit le haut niveau pour lui au niveau 12 et il a 15 ans et demi… A la base il ne semblait pas moins doué que mon fils… Mais manque d’ambition + croyance limitante (celle de croire qu’on ne pourra jamais atteindre plus haut que le niveau 12) fait qu’effectivement il peinera à atteindre le niveau 12 s’il n’évolue pas mentalement.
Et donc pour répondre à popette, ce qui importe c’est l’objectif de niveau que tu veux atteindre et la manière dont tu as envie de jouer, la manière qui te fait kiffer, le reste doit découler.
ça c’est une croyance limitante!
Je ne crois pas aux méthodes universelles, ce qui marche pour ton fils ne fonctionnera pas pour un autre. Le sport compétition c’est comme le capitalisme, pour que l’un gagne d’autres doivent perdres.
Par exemple, moi j’ai comme objectif de progression d’être plus actif, d’utiliser plus les jambes et j’oriente mes entraînements vers ce but. Si je m’applique je vais progresser et donc battre les partenaires de mon niveau actuel…mais ça c’est la conséquence, pas le but.
Je me suis mal exprimé : je voulais dire jouer sans trop réfléchir : faire avec ta raquette ce que tu sais faire sans surjouer, et dire je vais la mettre là, et réussir avec un bon taux de réussite. Idem avec ses services favoris : être rompu au geste et que çà devienne naturel.
Avec du matos trop évolué par rapport à son jeu, on est obligé de faire attention, de ne ne pas en mettre trop, de faire encore plus gaffe, même sur une poussette bénigne.
Après avoir un objectif, ok, mais une fois qu’on l’a atteint, et qu’on joue dans une division où l’on joue en contre la plupart du temps, le classement, on ne peux plus le faire évoluer, et au mieux le maintenir.
Il y a tellement de paramètres…
Le matos, le club, les façons de s’entraîner, les temps forts ou faibles à gérer…Ce qui est sûr c’est qu’il faut jouer un maximum de joueurs plus forts que soi pour progresser.
Sans parler de dons, certains ont un avantage (mental, technique, physique, vision du jeu, ou tout à la fois) de départ par rapport aux autres.
Et comme le dis si bien Dominique :“pour que l’un gagne d’autres doivent perdre” : c’est tout à fait çà !
Intéresses-toi à la performance sportive, tu verras qu’il y a bien des points communs à tous ces champions qui vont loin. Si la méthode utilisée avec mon fils a fonctionné, force est de constater que ça n’a pas fonctionné avec les autres gamins du club…
C’est vrai, le mental ça se travaille aussi, mais je trouve ça encore plus difficile que je reste.