En 68, il l’ont donné aussi, comme tous les examens (moi c’était le BEPC)…
Avant et après, en bac général, c’était beaucoup plus sélectif, contrairement aux nouveaux bacs de techniciens, où c’était souvent aux alentours de 80%.
En 68, il l’ont donné aussi, comme tous les examens (moi c’était le BEPC)…
Avant et après, en bac général, c’était beaucoup plus sélectif, contrairement aux nouveaux bacs de techniciens, où c’était souvent aux alentours de 80%.
Oui, donc l’annonce dans ce cas, c’est juste pour faire croire que c’est dans les règles. En fait, ton choix était sûrement déjà fait à l’avance. C’est ça que je trouve dégueulasse en fait. Faire déplacer des gens qui y croient alors que c’est fait d’avance. Limite, je préférerais qu’il n’y ait pas d’annonces du tout.
En pratique, la plupart du temps, ça se passe comme ça. Mais personne ne va l’avouer évidemment.
Au contraire, c’est pour se donner plus de possibilités. Sinon, pour ne pas t’emmerder, tu jettes les CV et la lettre. Recruter, ça prend du temps, et ça peut être très chronophage.
Son idée c’est juste de laisser la chance à d’autres, qui peuvent être recrutés si le profil colle bien.
Et recruter des gens qu’on connait déjà n’est pas non plus une mauvaise idée : tu sais d’avance si tu peux bosser avec lui ou pas.
Non, tu te trompes. Je n’ai pas moi non plus de temps à perdre, je ne fais venir que ceux qui collent à l’annonce. Il n’y en a malheureusement pas beaucoup en général. Parfois il n’y a qu’une candidature… Quand il y a 4, 5 ou 6, au moins la moitié sont à côté de la plaque. J’aimerais un choix plus étoffé. Pour ceux que je connaissais avant, il s’agit souvent de promotions au sein de l’entreprise.
@anon75794511 a tout compris.
Ça a l’air restreint. C’est quoi ton secteur ?
réponse en MP
Oui voilà. Il y a des secteurs où le recrutement est assez difficile ( formations très pointues ou boulots pénibles ou contraignants ). Par contre dans d’autres, souvent de faible qualification, c’est la grosse affluence.
Pas forcément. Je pense notamment à ce que l’on appelle parfois les « boulots à la con » que personne ne veut faire. Ceux qui ne requièrent justement aucune qualification, mais que tout le monde refuse de faire, bien souvent pour le côté « dégradant ».
Je l’aime bien aussi ce titan ! Celle-ci elle est ambiance Star Wars ! (Le Moff Tiaan Jerjerrod pour le coup, qui apparaît dans l’épisode VI)
J’avais mis le Grand Moff Trachta juste avant (le cyborg), mais je ne sais pas pourquoi, la couleur par rapport à l’image originale différait un peu, du coup je l’ai enlevée.
Je le sais bien. J’ai passé le dernier Baccalauréat Mathématiques élémentaires en 1967. 43 000 élèves étaient inscrits cette année 1966-1967 en Math Elem et il y a eu 64% de réussite soit 27 500 élèves…
Les deux autres Baccalauréats généraux, Philosophie et Sciences Expérimentales étaient un peu moins sélectifs mais quand-même… rien à voir avec le Bac actuel ni d’ailleurs avec le Bac de 1968 et ses suivants. Par exemple le Bac C qui succéda au Bac Mathématiques Élémentaires à partir de la rentrée 1967-1968 comportait un programme de Mathématiques allégé du 1/3 !
Et encore, à cette époque, il fallait y arriver en terminal math. On y envoyait que la crème des lycéens. Malgré cela, il y avait encore des échecs au bac.
En effet et c’est ce que je viens d’écrire : il n’ y avait que 43 000 élèves inscrits en Math Elem en septembre 1966… C’est très peu …
L’année où j’ai passé le bac C ( équivalent math élem d’avant ) il y avait une seule classe de terminal C de 15 élèves pour un lycée qui comptait 1000 élèves. ( général, technologique et technique )
En 64-67, dans le grand lycée ou a étudié ma mère, un seul fils d’ouvrier et une seule fille de paysan sur l’ensemble des élèves… Ca aussi ca fait réfléchir !
Et ne parlons pas des orientations dans les différentes terminales, ce n’était pas les élèves qui choisissaient ou demandaient l’orientation.
Disons que bien plus que le bac lui-même, le problème c’est surtout le concept de « l’Université pour tous ». Sur le papier c’est pas mal, mais en pratique, ça a donné des engorgements dans certaines facs (chez nous la faculté de psychologie par exemple, qui devait emprunter des amphis de la faculté de droit par exemple), avec un pourcentage d’abandon vraiment très important. Et des étudiants parfois sans aucune conviction dans leurs choix.
A côté de ça, les filières professionnelles ne sont que très peu valorisées, et ça dès le collège, par le corps enseignant bien souvent. Je compte pas le nombre de fois où on s’est fait descendre et en nous disant que la 2nde générale ce serait mort, et qu’on « finirait » en bac pro. Comme si c’était dégradant. Et comme si tout le monde devait faire des études longues.
Certains clichés, comme la valorisation des études longues, et de certaines filières (bac S par exemple) ont la vie dure.
Et à titre tout à fait personnel, je me sens bien plus à l’aise avec une personne avec un bac pro, quel qu’il soit, mais avec une superbe personnalité et qui s’implique dans ce qu’elle fait, plutôt qu’un connard ultra diplômé. J’en compte quelques spécimens dans la promotion de DSN (en deuxième année particulièrement), c’est vraiment insupportable, et l’idée de devoir bosser un jour avec eux me fout un de ces cafards…
Oui, enfin maintenant il y a tellement de bacheliers qu’ils ne veulent même plus être ouvriers ou paysans en cas d’échecs en supérieur. Estimant qu’ils valent mieux que ça. C’est vrai que c’est une chance pour les meilleurs. Par contre, pour les autres, je ne suis vraiment pas sûr que c’est leur rendre service. D’ailleurs, il y a de plus en plus de formations en apprentissage professionnel après un bac général.
Bon, victoire du PSG sur Le Havre 9-0 !
Maintenant, c’est sûr, Paris va gagner la Champion’s Ligue.
Avec leur virage d’ultra sans masque, ils sont invincibles
De toute façon, c’est huis-clos au Portugal pour la phase finale. Au moins, on sera tranquilles avec ces Guignols. Sauf s’ils font les cons devant un écran géant à Paris !