Disons que quand on sait qu’il fait parfois des remarques sur le cinéma dont je suis parfois l’auteur à la table, ça peut sembler assez drôle. Quand je fais du bruit, je vais jamais emmerder qui que ce soit à ce sujet-là.
A un moment, en discutant avec deux adversaires, on s’est quand même dit qu’il y en a qui se prennent trop au sérieux.
10-9 a la belle pour mon adversaire.
Je domine le point mais glisse, rate la balle et perds le point, fini par tomber et casse ma raquette en tombant.
… Et perdre le match 
Moi en allant 2 fois dans la même salle à quelques mois d’intervalle :
Du coup cette salle pour moi, c’est un peu toujours l’appréhension (superstition) quand j’y vais.
très glauque…
Un truc un peu fou, toujours dans les pb de santé. Faire 2 sur 3 en match de championnat avec un lumbago. Je me blaisse lors du 1er match, j’ai voulu toper sur un top en très mauvaise position et sans les bons appui. Le dos a fait craque. Je perds le match, le plus fort. Pour ne pas pénaliser l’équipe je décide de tenter les 2 autres simples, adversaires légèrement plus faibles au classement que moi. Le 1er n’a pas compris que je ne pouvais plus bouger, j’ai tout joué à plat et en bloc les 2 pieds ancré au sol. Idem pour le second, qui lui avait remarqué le petit manège de mes coéquipiers (ils me ramassaient les balles et me les donnaient dans la main) mais il s’est énervé à ne pas réussir à jouer les lignes.
Bon j’ai tout de même eu droit à une engueulade de mon toubib ostéopathe. Lol. Mais j’étais jeune et je pensais pas que c’était si grave.
Je précise que le niveau n’était pas très élevé, c’était en d2 je crois.
C’est dingue, j’ai le souvenir d’un type comme ça un peu… J’avais pas joué contre lui, mais c’était une pote que je coachais qui se l’est farci. En gros, le match est annoncé, et le mec arrive en 10 secondes, et là il balance « Si elle arrive pas d’ici 30 secondes je demande à la scratcher », je lui réponds qu’elle arrive, et qu’elle sait qu’elle a été appelé, le mec me répond « Je m’en fous ». Déjà. Et ensuite, pendant le match, ma pote prend la première manche, je la coache, et le mec lâche d’un seul coup un désagréable « Le coaching c’est une minute », au bout de… 50 secondes… Je dis à ma pote dans le coin de l’oreille « Nique le ce gros connard, mais vraiment ». Elle le dérouille. Et au moment de serrer la main il lui fait « Ça devrait pas exister ces plaques là ». Elle jouait avec un soft en revers.
Des abrutis, j’en ai croisé quelques uns, mais alors celui là, il était très bien placé.
Les joueurs qui veulent gagner sur n’importe quoi, notamment sur des trucs aussi bidons sont vraiment abrutis.
On fait du ping, on est pas des pro, être un minimum fait play ne fait de mal à personne.
Tout comme en équipe, si une équipe a un peu de retard et dépasse un peu la limite, faudrait vraiment être vraiment être un « connard » pour compter perdant les premiers matchs (faut pas non plus de l’abus et 4h de retard 
).
Tout comme si un joueur avait un problème ça serait normal de lui laisser un peu de temps pour se remettre (petit malaise, etc).
Un joueur qui veut souffler un peu avant d’enchaîner deux matchs, pareil.
S’adapter à la situation et mettre un peu son égo de côté c’est bien aussi.
Heureusement la plupart du temps il y a une bonne ambiance dans le ping et ça se passe bien.
Perso c’était il y a quelques années. On reçoit le club du Roeulx et j’affronte des joueurs que je connais bien.
Dans ma vie de pongiste je me suis luxé l’épaule à 4 reprises, et j’ai du simubire une opération.
Un jour, face à ce club, je joue le premier match contre une femme (oui en Belgique le championnat messieurs est mixte) que je vais tout le temps. À 2-0 pour moi, je me fais mal à l’épaule et suis contraint de terminer le match en tenant mon épaule de ma main gauche et suis très limité au revers de loin.
Comme c’est le genre de jeu qu’elle n’aime pas, ça va je gagne 3-0 ou 3-1.
Puis je joue le seconde adversaire, et même en ayant un jeu limité suite à la douleurs, je perds 3-2 et du coup bah je continue à jouer malgré tout pour ne pas lâcher l’équipe.
Je joue en 3e match un antitop qui m’a toujours battu facilement pour ne pas dire laminé. À l’échauffement, je lui dit que la douleur est grande et que du coup, je reste pour voir à l’échauffement mais qui si j’ai trop mal, je ne jouerai pas mais qu’une fois le match commencé, je le terminerai.
On s’échauffe et ça peut aller. Du coup on commence le match … J’ai flippé du revers sur toutes ses balles alors que je le joue en topspin CD d’habitude. Résultat - 11-2 11-2 11-9 pour moi 
Heureusement que je gagne le 3e car il commençait à comprendre que faire. Il s’est fâché 
disant que si je n’avais pas été blessé et que j’avais su jouer mon jeu, il m’aurait laminé comme d’accoutumée !
Pour le 4e match, on avait gagné et du coup je n’ai plus joué.
Voilà ma plus folle histoire
Histoire de faire rire tout le monde : match de championnat en D1, dans un club ami du notre, donc en déplacement. J’avais un repas de famille prévu juste après, donc je m’y rend déjà en tenue de ville (chemise, beau pantalon et chaussures neuves) . La salle de match est la salle des fêtes du village avec un magnifique parquet. Au moment de me changer, le drame… J’ai oublié mes chaussures de ping. Personne ne faisait ma pointure, j’ai donc joué avec mes belles chaussures neuves, avec semelle en cuir. Philippe Candeloro au ping pong… Tout le monde était mort de rire. Des que je bougeais je glissai sur un bon mètre. Je perds tout mes matchs mais dans une ambiance incroyable. Le mieux fut le double. Ou même mon coéquipier s’arrangeait pour que je doive courrir un peu… Quand ça va pas, on peut toujours compter sur ses amis… Pour qu’eux s’éclatent.
Lors d’un match de double, bel echange, je suis pres de la table du côté droit, je vais pour toper avec le mousse rouge , j’accroche le coin de la table, ma raquette fait un demi tour, le top s’effectue avec le mousse noir, point … Je ne savais plus ou me mettre 
Moi c’etait à la premiere phase ( Je précise que c’est ma première année de competition).
Deuxième match de championnat, premier a l’extérieur, j’arrive dans la salle, tout se passe bien, échauffement niquel.
Je joues mes trois premiers matchs sans aucune difficultés physique, j’en gagne 2.
Dernier match, la rencontre est bouclé (victoire de mon équipe) : Je gagne le premier set 11-9 dans la difficultés, je perds le deuxième 12-10, je gagne le troisième 11-9 et dans ma tête, je me dis que je vais devoir me sortir les doigts si je veut gagner. Quatrième set, a 0-0, je vais chercher une balle IMPOSSIBLE a avoir sur le coté droit, la cheville se tord, je tombe au sol , SILENCE dans la salle, mon coach saute les barrières et m’enleve la chaussure, violente entorse.
Je prends dix minutes pour me poser avec de la glace, l’arbitre vient me voir et me demande si je veut continuer, mon coach me regarde en me disant que non , qu’il ne fallait pas et que de toute manière on avait dejà remporter la rencontre. Je decide de continuer, et je gagne le match… Bon par contre grosse connerie de ma part car c’est après que j’ai compris que j’aurais pu empirer la chose.
Salut,
Durant une rencontre de championnat par équipe, j’ai gagné le dernier point d’un match en ratant un chop. Je ne sais pas exactement comment j’ai frappé la balle mais elle s’est élevée à la verticale sur 3 ou 4 mètres pour retomber sur le filet et gratter le rebord de la table de mon adversaire. Je n’ai jamais été aussi désolé d’avoir gagné de cette façon et je m’en suis excusé auprès de mon adversaire.
Nikkobourges
A ta place, j’aurais jamais été aussi plié de rire d’avoir gagné de cette façon
Sujet à hypoglycémie étant plus jeune, je joue un quarantenaire réputé être un gros c**. Il était de mon niveau environ. On arrive à la belle, je commence à voir des étoiles à 3/3 , je prends temps mort, mon entraîneur à pigé de suite, me donne du sucré, je reprends lentement mes esprits, l’autre d’en face fixé sur sa montre, me dit on reprend, on reprend sinon je fais réclamation, etc… On tourne à 5/3 pour lui. J’avais un sucre dans ma poche que je mange en tournant à 5/3. Là ça va Bcp mieux et je l’explose 11/6. Il ne me sers pas la main à la fin et dit qu’il fera une réclamation quand même. Je lui est juste dit qu’il avait une sale mentalité. Pas de réponse, et il était même absent de la 3eme mi temps…ses coéquipiers avaient honte de lui.
Moi mon meilleur souvenir est une défaite à une finale de critérium.
Au cinquième set, à 11 contre 10, avantage mon adversaire, je lui fais un contre pied avec un coup de piston picot qu’il me remet en changeant de main. Mal m’en a pris je pensais déjà le point fini et gagné. Mon adversaire gagne ainsi en beauté après un match très combattu des deux côtés.
Un joueur…excéder de voir son adversaire avoir de la chance… se retourne… baisse son short et caleçon et dit à son adversaire… tu as du culs !!!
J’arbitrai… je savais pas quoi dire ! Les deux joueurs se marraient !
2 trucs qui me viennent à l’esprit.
1 - Je joue un 40 en championnat par équipes. Je suis tranquille, je mène 2 sets 0, le 3ème set je suis devant, un moment il s’arrête, me dit "j’y arrive pas, bien joué, t’as gagné " fait le tour de la table et me serre la main.
Moi je suis surpris, et alors qu’il quitte l’aire de jeu, je lui dis « Mais non Régis, finis ton match, on est là pour jouer, je ne veux pas gagner comme ça. »
Ses coéquipiers lui disent pareil. Il revient, lâche tous ses coups . Moi… je suis un peu sorti de mon match… il gagne le set. Moi dans ma tête, je me dis « méketékon méketékon ! » 
Bon finalement, je gagne le 4ème set facile. Ouf… 
2 - Le 2ème truc, je joue un 15, là c’est l’inverse, je suis archi-dominé, ses balles vont trop vite, trop fort, je vais me prendre une branlée ! A tous les sets, je me prends des 4-1, 5-1… j’en gagne 1 aux avantages… 2 sets à 1 pour lui… et ça recommence ! 5-1… 10-2… 8 balles de matchs pour lui… Remontada du Big 10-10… 12-10 pour moi ! 
5ème set : et c’est reparti ! 10-4 pour lui … 10-10 … 12-10 ! 
Le truc de fou : j’ai sauvé 14 balles de match, contre un adversaire plus fort que moi. Moi à sa place, un peu de sel, un peu de poivre… et je bouffe ma raquette ! 
Le truc peut-être le plus fou qui me soit arrivé remonte à une quarantaine d’années, sur une rencontre où nous jouions le maintien en R1. A l’époque, c’était le plus haut niveau régional et c’était important pour les deux équipes une de chaque club de rester à ce niveau.
La rencontre était très très serrée, nous connaissions bien le club qui nous recevait avec des relations que je qualifierais de correctes mais sans plus. Nous sommes 4 25 et deux 35 sur une équipe quasi de même niveau, un ou deux classements de moins pour eux en cumul.
Je joue un joueur qui a un classement de moins que moi, que déjà je ne considérais pas comme le plus sympathique de leur équipe, notre match est arbitré par un joueur adverse connu aussi pour être bien marlou.
Dès les premiers points, je sens que ça va être tendu, je l’ai déjà battu deux fois mais aussi perdu une fois, je n’aime pas du tout son jeu sur lequel j’ai beaucoup de mal à m’adapter.
Au milieu du premier set, je m’aperçois au changement de service que l’arbitre s’est trompé en comptant un point gagnant à son joueur alors que j’avais gagné le point. Je lui fais la remarque et là, l’arbitre me dit que non c’est bien le score … je suis déjà persuadé qu’il a fait cette erreur volontairement, mon adversaire ne dit rien, ce qui commence à bien m’agacer.
On continue et à la fin du set alors que nous étions aux avantages à 20 partout, ça recommence, je me fais encore carotter un point de la même façon. Je proteste et là ce sont les deux qui jurent leur grand dieu que c’est le bon score et ne veulent rien savoir.
Mes coéquipiers ne comprennent pas trop ce qui se passe, à cette époque, on était moins supporters sur le banc que maintenant, une telle situation ne serait plus imaginable aujourd’hui.
Je perds finalement le dernier point et donc le set, sur le set suivant, je perds de nouveau aux avantages, cette fois sans triche mais complètement déstabilisé par cet esprit anti-sportif.
A la fin du match, mon adversaire me tend la main, je l’ai regardé dans les yeux sans bouger, sans rien dire et pour la seule fois de ma vie, je ne l’ai pas salué ! Je hais l’injustice, je suis toujours convaincu qu’ils étaient de mèche pour tricher et j’avais juste l’envie de lui foutre mon poing dans la g….e !
Ce refus m’a valu une grosse engueulade du joueur le plus ancien et capé de notre équipe, qui n’a rien voulu entendre de mes explications sur la triche évidente … d’où un sentiment de frustration encore plus grand !
C’est le souvenir le plus marquant qui me soit arrivé, en plus nous avons perdu ce jour-là cette rencontre par le plus faible des écarts ! 
On les a rejoués plusieurs fois dans les années suivantes, nous les avons toujours battus et cet enfoiré ne m’a plus jamais battu ! 
Je joue un soir par équipe un gars que je ne connais pas.
On se montre nos raquettes, je joue à l’époque un 612 en CD (@Big comprendra…), il me dit « ah tu joues picot ? » ; je lui répond « oui oui… ».
Je le sens déjà moyennement motivé.
On s’échauffe, je fais en sorte de ne pas pourrir les balles,
il me dit « Mais… le picot tu l’as en CD ?? » ; je lui répond « oui oui… ».
on commence.
Je marque tranquille les premiers points, et he constate que le gars n’est pas très attentif.
J’alterne balles à effet backside et 612, c’est vite la misère.
Il ne ramène aucune aucune attaque 612, la balle fuse trop.
il me dit « Mais… C’est pas un soft ?? » ; je lui répond « non non, un mi long… ».
Là, je commence à le sentir très dubitatif.
On continue je gagne le 1er set, et là j’enfonce le clou.
Il ne marque aucun point sur ses 6 premiers services.
Il regarde sa raquette,… la mienne…
il me dit « Mais… put@in, tu tournes ta raquette en plus ??? » ; je lui répond « oui oui… ».
Et là, écroulement total, il lâche l’affaire, je finis en roue libre…
J’étais un peu triste, mais ses potes sont venus le chambrer « quand on te dis qu’il faut apprendre à les jouer, les picoteux !! », je me sentais mieux. Et puis on a bien rigolé en 3e mi temps.