y a qu’a voir l’islande en foot (330 000 habitants , 20 000 licenciés , une centaine de pros) quant on compare a la france et ses plus de 2 millions de licenciés
Un nombre élevé de licenciés n’explique pas seul une domination dans un sport. Il reste que cela aide forcément pour dégager une élite hyper compétitive.
Si l’Europe veut rivaliser, elle ne doit plus raisonner comme une addition de nations desquelles surgissent un ou deux gros talents qui se rencontrent occasionnellement.
Pour les catégories d’âge les plus mûres, le ping en Europe devrait se réorganiser à l’échelle continentale, avec des épreuves annuelles sur une durée de plusieurs mois pour que les meilleurs puissent s’affronter régulièrement dans l’année. En dehors de l’Allemagne et de la France, les championnats nationaux ne semblent pas suffisamment compétitifs dans les pays européens. Ce n’est que mon avis
t’oublies la russie metalhead
Apres bon dans les championnats moins compétitif t’as pas de top joueur européen donc bon
Après, je ne suis pas sûr qu’en dehors de deux/trois équipes très fortes en Russie, le reste du plateau pro soit très élevé! Même si les russes ont toujours eu une bonne école ping…
Pongistiquement et pour tous les sports, tu as raison, la Russie est intégrée à l’Europe mais pour le reste … demande à Poutine…
fin la politique c’est encore autre chose , quand tu vois israel qui au niveau sportif est en europe
Le ping est un sport confidentiel en Europe et la dispersion des talents dans quelques clubs de quelques nations ne favorise pas la visibilité de ces joueurs ni l’attractivité en général.
Si on donne rendez-vous à une élite resserrée à travers un championnat continental, on intéressera un peu plus les médias traditionnels. Le niveau des rencontres sera plus élevé, le spectacle sera probablement là, les sponsors viennent et on donne envie à la base, etc…toute la famille du ping y gagne au niveau européen et on pourra peut être prétendre rivaliser avec les Chinois grâce à des pongistes en permanence habitués au très haut niveau.
Par contre, si on reste sur ce schéma exclusif de championnats nationaux et une coupe d’Europe des clubs avec parfois des clubs champions bien affaiblis et qui n’y ont pas leur place, on n’y gagnera pas grande chose en terme de niveau et on n’intéressera toujours personne.
C’est vulgarisé, simplifié mais juste une idée …
Mais c’est pas mal…
Après, c’est aussi, l’entraînement, qu’il faudrait mettre en commun!
Ça existe, déjà, mais uniquement lors de préparation de grande compète, mais pas systématiquement, les européens s’affrontent aussi entre eux et ne veulent pas tout dévoiler aux autres!
Oui en faisant notamment des rencontres inter continentaux Asie - Europe après ce fameux championnat européen. Ce serait cool ! J’espère qu’on va y arriver un jour. Ce serait super également pour les médias ( et même politiquement pour l’Amérique en rentrant dans le jeu ).
Très juste ! Il faut faire un choix, contrarier la domination chinoise et accepter de se dévoiler aux autres Européens, ou se contenter de dominer en Europe.
Attention à ne pas se limiter à deux continents. Un sport comme le rugby s’obstine volontairement (ou pas) à ne pas s’ouvrir aux autres pays et s’en mord les doigts. A minima, son développement économique et son rayonnement s’en trouvent automatiquement limités. Je me demande d’ailleurs comment ils ont eu le droit d’appeler leur seule épreuve mondiale “Coupe du Monde” .
Attention, on parle bien de championnats de clubs pro avec de gros budgets afin de pouvoir concurrencer les clubs chinois ( pas la Chine par équipe ). Je ne suis pas sûr que les autres continents pourraient en faire autant.
Autre avantage, on verrait des joueurs chinois qui ne sortent pas forcément avec l’équipe nationale.
Le but n’est donc pas la promotion du ping à travers le monde.
Oui, créer des pôles d’entraînement européens à l’image de ce qui se fait en France pour les jeunes pousses locales. D’ailleurs, si je me souviens bien d’une émission du podcast de Loïc Bobillier, Paul Gauzy s’entraînait plus jeune, dans une structure équivalente au Danemark, au sein de laquelle il rencontrait des locaux mais aussi des tout bons d’ailleurs. Par exemple son coéquipier néerlandais actuel, Laurens Tromer.
Oui, je suis sorti momentanément du sujet du topic
Déjà naitre chinois, les boules tu les as…alors autant jouer avec…(dites moi si c’est pas clair comme justifications…)
Non je ne vois pas ce que tu veux dire.
C’est vrai que ce n’est pas toujours facile d’être chinois.
( enfin j’imagine ).
C’était il y a deux ans pour Paul, oui, d’ailleurs, il y a eu aussi, Antoine Hachard, qui quand il est entré dans les cent mondiaux, faisait partie de cette structure! Je crois que c’était une structure privée, d’ailleurs, financée par un mécène dont le fils faisait partie de la structure!
Relance chinoise, entraîneur pro…
Elle devait se stopper car le fils ne progressait plus assez…
Bah si : un papa de nationalité chinoise, et une maman de nationalité chinoise, et voilà. C’est facile d’être chinois, suffit juste d’avoir les bons parents.
Un bon exemple des limites de cette initiative privée. Les projets isolés et marginaux, je ne sais pas si ça dure. Un partenariat avec une structure sportive officielle, pérenne et reconnue par la fédération européenne aurait été plus indiqué.