le poids influe dans le sens ou normalement tu dilue dans ta masse la meme quantité d’alcool que ton voisin. forcement si tu fais 80 et lui 60 il aura un taux 25% superieur au tient.
Par contre pour ce qui est de l’effet sur l’individu, ca reste dependant de chacun et aussi comme toute drogue il y a un effet d’accoutumance faisant qu’une personne aillant l’habitude de beaucoup boire aura un seuil beaucoup plus élevé avant d’etre affecté
33 pas 25
pour revenir au sujet je pense que en régle général notre classement est derriére nous et la plupart d entre nous recherchons la convivialité, c est pour cela que j aime le championnat vétéran car ont ne se prend pas la téte avec des jeunes en championnat qui font des tcho a chaque points gagnant
Les petits jeunes quinquagénaires : vous en posez des questions sur la motivation ! A 67 ans, j’ai toujours un immense plaisir à jouer, y compris en compétition … quand mes occupations professionnelles me le permettent.
Il y a beaucoup de choses qui vieillissent chez l’humain mais l’envie de vieillit jamais. Après il y a l’absence d’envie, c’est la dépression. En général les dépressions sévères concernent tous les domaines de la vie et non une seule activité.
Combien de litres de sang contient un être humain ?
Le volume sanguin du corps humain varie en fonction du poids et du sexe, on estime que le volume sanguin est de 60 à 70 ml par Kg, un humain adulte possède environ 4 à 6 litres de sang. :
• Pour un homme de 70 à 80 ml/kg pour, avec une moyenne de 75 ml/kg (7,5 l pour un sujet de 100 kg)
• Pour une femme avec une moyenne de 65 ml /kg( 3,9 l pour un poids de 60 kg) Durant la grossesse le volume sanguin augmente de 20% en prévision des pertes liées à l’accouchement
moi je fait divers sport rugby, tennis de table ,foot et tennis de table depuis l age de 14 ans, pour moi c est une drogue je ne peut m arréter il me faut mon moment de détente en dehors des soucis de la vie courante
Ah mais no souci si tu ne prends pas le volant.
Lorsque l’on manque de motivation, certains vieux sont tentés d’accuser injustement le grand âge. C’est plus facile de supporter une chose inéluctable comme la vieillesse plutôt que d’avouer une sorte impuissance motivationel. Cela porte un nom, ça s’appelle la dépression. Pas besoin d’atteindre le dernier degré du burn-out pour être en dépression. Il y a des tas gens qui le sont et qui l’ignorent totalement. Certains se plaignent tandis que d’autres ne disent rien. Ça n’en est pas moins dur pour autant pour les uns et pour les autres. Les progrès de la science moderne nous ont appris que l’âge n’a aucune influence sur la motivation. Si problème de motivation il y a, il faut se demander si il n’y a pas une dépression cachée là-dessous. Si tout va bien alors c’est juste une question de pratique. Plus on pratique plus on a envie de pratiquer.
Et moins on pratique moins on a envie de pratiquer…
C’est là que je me rend compte qu’on est tous mort si on se fait contrôler, dans mon club, après l’entrainement.
Certains enquillent deux ou trois bières. Et ça, c’est juste le minimum parce que parfois, on sort le blanc avec les cacahuètes et les chips.
On casse la croûte souvent aussi après les entraînements dans mon club, souvent, pas systématiquement ; mais un verre de bon vin me suffit.
Par contre, le casse-croûte… c’est pas des cacahuètes et des chips… saucisson, jambon cru, terrine, comté, camembert… et j’en passe…
moi j ai pris de l avance a 46 ans pour garder l envie je joue avec une equipe de jeunes en r2
moi 46 ans , avec 1 jeune de 18 ans et deux de 14 ans je joue le role de capitaine et coach et eux me poussent a garder le niveau
C’est exactement ce que j’ai fait avec une équipe de 5 minimes quand j’avais la cinquantaine : on a commencé, à l’époque, en D3 et on est monté jusqu’en R3. Après j’ai poursuivi en tant que chauffeur et coach, en rejouant de mon côté en départemental quand j’en avais le temps …Cà dynamise …
Pousse pas… entre être saturé d’un truc à un moment pour diverses raisons et être en dépression, il y a une marge non ? Je comprends un peu @Jolan, il est dans le ping du matin au soir, à un moment donné tu n’as juste plus assez d’énergie à mettre dans ton ping perso si tu pratiques de façon indirecte toute la journée.
ça me fait penser aux joueurs qui suivent leurs gamins au ping, souvent ils se détachent de leur entraînement perso. Tu peux pas mettre toute ton énergie dans le ping pour ton gosse et être encore motivé pour tailler en pièce tes partenaires d’entraînement, enfin certains peuvent peut-être, mais ceux qui ne le peuvent pas ne sont pas nécessairement en dépression pour autant.
big dans quelle région tu joue ca c est de la convivialité ,aprés joué avec des trés jeunes c est bien mais en régle générale il n y a pas de restaurant aprés la compétition ,notre équipe c est 5 joueurs de 45 ans a 61 en 1 phase il y avait un jeune de 12 ans ils n ont fait aucun restaurant
Garder l’envie de jouer au ping après 50 ans ?
L’envie ne se conserve pas, elle se sollicite. Cessez de mettre du bois dans votre cheminée et votre feu s’éteindra. Si c’est le cas, de grâce, ne soyez pas étonnés de voir votre feu s’éteindre. Excepté la maladie et les contraintes naturelles de la vie, absolument rien, et certainement pas l’âge que vous avez, ne peut vous empêcher de repartir à fond dans une activité.
L’envie sera toujours là, quelque soit votre âge. Si un jour l’envie n’est plus là, c’est que vous êtes en dépression car il ne faut pas confondre l’absence d’envie (=la dépression) avec le désinvestissement pour une activité en raisons de diverses contraintes.
Plus vous vous investissez dans une activité plus vous multipliez votre motivation pour cette activité. Moins vous vous investissez dans une activité moins vous aurez de la motivation pour cette activité.
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Exemple 1 : Le jeune de 20 ans qui délaisse le ping pour aller courir après les filles.
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Exemple 2 : L’adulte de 40 ans qui délaisse le ping car sa femme vient d’avoir des triplés.
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Exemple 3 : Le papy de 80 ans qui délaisse le ping parce qu’il préfère porter son investissement sur les équations relativistes (et aussi parce qu’il ne tient plus sur ses jambes).
Dans tous les cas, il s’agit d’un choix, celui de réorienter vers telle ou telle direction une énergie que le corps produit en permanence, certes pas de façon linéaire, mais vous ne sortez pas l’œuf, chacun s’est rendu compte que tout le monde a des hauts et des bas. Si par contre le corps ne produit plus cette énergie, c’est le moment de consulter.
Chacun peut discuter et comparer avec les autres sur ce forum les contraintes que la réalité de la vie a mises en travers de sa route, qui expliquent pourquoi il a mis le ping de côté, mais cela est valable à tous les âges de la vie et pas uniquement à 50 ans.
Il n’y a aucun lien entre l’âge et l’envie.
Un jour viendra où les progrès de la science rendront les hommes a-mortel. Ce jour là, il y aura dans les salles de ping des papys-cyborgs de 250 ans qui enchaîneront les top avec des droides topspineurs.
ça n’arrivera pas… les cellules ne sont pas programmées pour vivre au-delà d’un certain âge évalué à environ 130 ans par les scientifiques. A moins de stocker la conscience dans une intelligence artificielle et de considérer que le physique, le matériel biologique n’est pas le constituant principal de l’être humain…
Déjà que je trouve que la balle P c’est trop physique et que c’est plus du ping
Très intellectuel et peu compréhensible.
C’est un postulat péremptoire et qui ne repose que sur votre opinion. Quand vous avez passé 40 ans à faire la même chose, vous avez le droit de vous lasser sans y trouver rien d’extraordinaire.
Ça s’appelle la méthode Coué et tout le monde sait qu’elle a ses limites…
Alors avant d’aller consulter un psy, je vais quand même remettre en question les boules de pétanques de Butterfly qui rebondissent 15cms plus haut et qui ne tournent pas. Je vais aussi éviter de mettre de côté les gueulards, les hargneux qui vous montrent le poing après chaque point, les tricheurs, les coéquipiers qui draguent sur meetic ou consultent leurs mails pendant que vous jouez. (authentique), les déplacements à 400 bornes A/R dans la journée. Autant de “petits facteurs” qui contribuent à la lassitude.
C’est marrant cette tendance à faire de la psychologie de comptoir sur des situations parfaitement banales et explicables.