Allez revenons dans le sujet mdr.
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Et même sans aller jusque là. Si on s’en tient au topic, duquel on a largement dérivé, depuis très longtemps ceci dit. Bah tous les médecins et chercheurs ne tombent pas forcément d’accord. Et pourtant je suis sûr que des deux côtés il y a des arguments très solides, mais réfutables pour certains.
Et quand dans mon milieu on n’est pas d’accord sur la lecture de certains textes de lois et règlements, et que chaque lecture se tient, là aussi, bon courage par moments, même si pour la pratique, on nous donne une ligne directrice.
Pour ton dernier post, ça dépend de la teneur de la discussion. Si c’est avant tout un questionnement et une mise en commun des connaissances, je suis d’accord avec toi. Si le but est d’expliquer que sa façon de penser est la bonne, là c’est effectivement chercher à convaincre.
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Un petit cluster dans ma ville de ping.
Oui enfin, ça dépend de quelle pathologie on parle… tout ce qui douleur, pathologie psy ok… infection sévère, cancer évolué ou hémopathie maligne, c’est pas tout à fait la même chose.
Comme quoi, il faut rester vigilant !
Pour cela faut allez à Lourde.
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Quand un chercheur de vérité questionne un zététicien.
A partir de 33:39, Roland Gori évoque les modalités de publications scientifiques.
" Essayons un peu de comprendre. Ce qui compte ce n’ est pas du tout le contenu de l’ article, ce qui compte c’ est le lieu ou elle est publiée, c’ est le support. Il vaut mieux publier un article complètement nul que personne ne lira, d’ ailleurs 70% des articles publiés dans nos revues internationales ne sont pas faits pour être lus, c’ est fait pour être publié, et c’ est fait pour avoir une étiquette : A publié dans Nature, Science etc. En même temps c’ est un degré qui mesure la conformité de votre insertion dans un réseau d’ hégémonie intellectuelle et linguistique. Si vous prenez les auteurs de Science, Nature, vous avez entre 70% et 80% qui ont une adresse aux USA ou en Angleterre. Donc ce qu’ on va mesurer, c’ est pas la qualité de l’ article produit, c’ est le lieu ou il est publié ( donc la marque ), et ce qu’ on va mesurer en même temps c’ est son degré de proximité avec les centres de pouvoir éditoriaux. (…) "
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Pour le bout de la vidéo de Gori, que j’ai regardé, c’est assez intéressant. Et c’est ce qui pourrait peut-être expliquer que des universitaires, pourtant émérites, sont parfois incapables de transmettre leurs connaissances, et ne sont pas toujours des enseignants particulièrement bons.
Je m’étais déjà fait cette réflexion il y a quelques temps, étant passé par l’université (et y étant toujours, sur la fin), et m’étant retrouvé face à pas mal d’universitaires donc.
Après, le monde universitaire emprunte les mêmes avantages et les mêmes tares que les autres mondes. Donc j’ai tendance à penser que ses explications se tiennent.
Les querelles d’égos dans le milieu universitaire sont monnaie courante. Mais elles prennent d’autres formes par rapport que l’on connait habituellement.
Merci pour le partage. Quel esprit brillant ce mr Gori !
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Déjà le mec est psychanalyste, ça commence bien. Y’a bien qu’en France qu’on met ça en avant pour asseoir sa légitimité. 
Ce n’est que son premier diplôme…
Regarde et on en reparlera
Personne ne le met en avant d’ailleurs… Ce serait même plutôt l’inverse.
Au fait, tu connais les lemmings ?
Ce que je constate surtout c’ est que tu te sers de ça pour asseoir l’ illégitimité de son raisonnement.
Et pourtant, j’ ai écouté ce que dit Onfray de Freud par exemple.
D’ ailleurs, Roland Gori convient lui-même que la psychanalyse est loin d’ avoir seulement des bons côtés.
Pour en revenir ‹ un peu › au sujet,
Le conseil scientifique demande son auto dissolution au 1er juillet…
Quelle conclusion tirer de cette information ?
Qu’en pensez vous ?
un beau messages qui est très vrais.
Fin du HS.
Ici il va avoir un cluster vu se que j’ai poster plus haut il manque encore 30 résultas donc sa peut vite chiffrer.
Les gens se relâche on va repartir si on fait comme les autres pays.
Faut rester stable et continuer à bien faire se que l’on peut pour diminuer l’épidémie.
Ils pensent à leurs vacances… 
Ils reprennent des forces avant de revenir à l’automne pour la deuxième vague saisonnière ?
je pense que c’est cuit pour les vacances.