@anon9185657 tu me fais rire à t’inquiéter pour d’hypothétiques les autres clubs alors que ton club est dans la même config que la mienne
Pour se changer à la fin bin pareil, la voiture, enfin plutôt à l’extérieur de la voiture perso je préfère.
Le truc important à prendre c’est une serviette pour s’essuyer dès qu’on peut quand on transpire pour limiter les gouttelettes qu’on projette à tout va, mais bon encore une fois en été si t’as pas ta serviette avec toi c’est chiant pour jouer avec la transpiration.
Oui ça prend le même chemin chez nous.
J’ai appelé notre mairie pour leur faire part des mesures prises en cas de reprise du ping dnas le gymnase et leur réponse a été:" ne vous emballez pas, pas sur que le gymnase réouvre ses portes d’ci septembre".
D’un côté, il y a mon ressenti perso similaire à celui de Big, de l’autre, mon rôle de dirigeant devant accompagner ceux qui ont vraiment envie de rejouer en juin.
Compliqué tout ça.
Cette gestion du coronavirus va tuer notre sport. Pourquoi ne pas miser sur la discipline des joueurs et repartir en juin ? Ceux qui ont peur restent chez eux et les autres reprennent.
On est dans une société ou personne ne veut prendre de risques. Comment ferait-on aujourd’hui, si nous étions en temps de guerre ?
La grande partie des victimes ont plus de 60 ans. Laissons reprendre les autres.
Merci pour l’article @anelo
Il confirme ce que le bon sens nous a déjà appris lorsque gamin il te suffit d’expirer près d’une vitre pour faire de la buée…
Ce qu’on peut en déduire est intéressant par rapport au « guide de reprise ».
Donc : Après s’être emmerdé avec tous ces protocoles, utilisés des tonnes de gel alcoolique, de sopalin et j’en passe. Et bien en fait, on se rend compte que le camarade qui jouera en face de toi pourra tout de même te contaminer si il est porteur, par le simple fait de sa respiration augmentée par l’effort physique.
Donc il faut rajouter au protocole pour jouer « safe à 100% » : jouer sans aucun effort susceptible de faire respirer trop fort et bien sûr de ne pas parler.
Ou alors, jouer avec un masque / visière.
conclusion philosophique (de comptoir) : ça ne s’arrêtera donc jamais tant qu’on acceptera pas une part de risque.
Oui, Cajun. Bcp de gens doivent penser à peu près ça mais à part aux USA, ce n’est pas « politiquement correct » de le dire.
Les images des hôpitaux sont gravées, le décompte de morts aussi… les gens sont flippés à présent. Et pour exorciser ses peurs, on cherche des responsables en tapant sur le mec lambda qui ne veut pas respecter les consignes, le gouvernement, les scientifiques, etc.
Infantilisation et culpabilisation.
Parce que nous sommes des pays vieillissants, qui ont atteint un niveau de développement qui fait que pour toute initiative, on craint que le risque soit supérieur au bienfait.
Alors, on se recroqueville, on tremble, on s’énerve, on critique et surtout on cherche des responsables. Alors qu’il y a une part d’incertitude et de fatalité à la vie…
De vieux idiots comme Gandhi ont tout compris depuis longtemps « Vivre, ce n’est pas attendre que l’orage passe; c’est apprendre à danser sous la pluie ».
Je l’adore celle-là mais bordel, qd bien même tu voudrais garder une telle philosophie de vie, tu en es empêché !
la version actuelle, ça donnerai : « un protocole pour danser sous la pluie, mais sans se mouiller »
3 mois plus tard certains ne comprennent toujours pas le notion des risques qui s’additionnent… l’intérêt de réduire la rapidité de propagation… la notion d’effort collectif (ou alors ils le comprennent, mais aux autres de le faire parce que « eux », c’est pas pareil vous comprenez)…
Sauf qu’avec le principe de précaution et le fait de pas vouloir additionner les risques on peut aller loin.
Tu sort avec un gilet par balle ? Ben oui ca éviterait de rajouter le risque de mourir d’une attaque terroriste aux risque d’accident , crise cardiaque etc
On peut pas se protéger de tout donc à un moment va bien falloir recommencer à vivre et non pas juste survivre en attendant un possible jour meilleur
ça, ça fait partie de ces choses qui tuent notre société, plus personne n’est capable de prendre ses propres responsabilités, alors on se couvre au cas où pour qu’il y ait un responsable désigné… Du coup le gosse se fait mal (par exemple), c’est jamais de sa faute, c’est la faute des encadrants, c’est la faute aux installations trop vétustes, la faute à la mairie qui entretient les lieux, bref on met en place tout un tas de stratégies pour se couvrir plus improductives les unes que les autres et qui en découragent plus d’un.
Ca n’a rien à voir avec le principe de précaution. C’est une analyse risque vs « coût » Les activités sportives amateurs en groupe, en intérieur ont un énorme facteur de propagation et une « utilité » réelle mais pas indispensable, d’autant plus qu’elle est substituable (on peut faire du sport en extérieur).
Donc là on va reprendre, c’est cool… en faisant gaffe histoire d’éviter qu’un seul mec en contamine 20 en une soirée.
C’est pas « soit une solution fiable à 100% / soit on ne fait rien ». Rien que diminuer par deux le nombre de transmissions depuis un porteur pour une période de temps donnée T c’est phénoménal comme effet positif à terme (fonction exponentielle, quelqu’un? Au bout de 10xT y’a juste 1000x moins de malades…si tout le monde joue le jeu). Effort collectif.
Le risque de faire n’importe quoi c’est un Mulhouse bis (ou pire) x 20 grandes zones urbaines.
Je ricane du nombre de gens qui flippent pour leur vie sans raison, mais au final c’est pas plus mal… parce qu’apparemment compter sur le civisme et l’effort collectif, c’est être un doux rêveur. Au moins ceux là ne propagent pas le virus « parce que bon ça va hein, et puis les vieux ont qu’à rester chez eux ».
Oui moi et bien d’autres, plus que tu ne le penses semble-t-il, je pense connaissent cette fonction arithmétique. Mais n’hésite pas à nous faire un petit cours de mathématiques on est tout ouï