pour le « sans mon mari », disons qu’il faudrait que je change de bord…lol
Tout à fait… il y aura un après-covid, ça peut être l’occasion de TOUT changer 
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Radiation, direct.
Plus trop le cas, non: la pression générale qui règne maintenant, quelque soit le travail (à part ceux qui font leur travail pas passion, mais ils sont rares - et chanceux!) a eu facilement raison de ce phénomène…
La position très majoritaire, maintenant, c’est « vivement la retraite ». Depuis déjà une bonne quinzaine d’années, je dirais.
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Ah mais clairement ! 
C’est une chose de l’attendre impatiemment, c’en est une autre que de réussir ce changement de vie.
Ne pas vendre la peau de l’ours…
J’en connais quelques uns qui déchantent un peu… Sans parler des soucis de santé qui arrivent à ce moment là.
Mais on s’écarte du sujet…
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Je ne suis pas sûr qu’il y ait grand chose à dire de plus dessus. A la lecture des derniers messages en lien avec le topic, ça tourne quand même pas mal en rond. La faute au fait que pour le moment on ne sait rien.
Considérons, dans une démarche spéculative raisonnée, les scénarios possibles pour le ping en France en fonction de l’évolution de la situation sanitaire.
Je rejoins Emile de Girardin qui a dit :
« Gouverner, c’est prévoir ; et ne rien prévoir, c’est courir à sa perte ».
Sortons de l’état de sidération dans lequel nous plonge la crise du COVID. Prenons conscience que le sport en milieu confiné va être touché de plein fouet… même avec une évolution très favorable de la situation, sa pratique et son économie vont être ébranlés, notre passion blessée.
Faisons un état des lieux, imaginons des suites possibles, les conséquences éventuelles et préparons-nous !
Certaines choses semblent acquises (postulats). En fonction de l’évolution de la situation sanitaire, des scénarios hypothétiques sont dessinés. Des conséquences chiffrées sont imaginées.
Postulats :
-
Aucun traitement curatif et/ou préventif n’est accessible d’ici août contre le COVID.
-
La situation économique (explosion de la dette, nombreuses destructions d’emplois) rogne le budget des foyers et des collectivités, obligeant à des arbitrages défavorables au tissu associatif, considéré comme non prioritaire.
-
Les gestes barrière actuellement en vigueur affectent les usages sociaux durablement.
Hypothèses :
4 grands scénarios selon l’évolution de la pandémie d’ici août, laquelle préside aux décisions politiques déterminant les possibilités et les conditions de pratique de notre sport.
Ces dernières influent directement sur le taux de renouvellement des licences et le taux de participation aux compétitions, je propose en toute subjectivité une estimation de cet impact.
Scénario 1 - C19 s’est miraculeusement évaporé de la surface du globe, on repart comme en 14 ou presque… la perte de joueurs est inférieure à 10%.
On reprend la compétition en septembre sans modifications réglementaires des conditions de la pratique. Seules quelques rares équipes à l’échelon départemental disparaissent.
Scénario 2 - C19 perd spectaculairement de sa superbe malgré le déconfinement, notamment de millions de muqueuses adolescentes qui, déterminées par d’inédits émois, s’échangent lestement leurs visqueuses sécrétions, biotope fétiche de notre ami le COVID.
Malgré tout, le nombre quotidien de décès sur le territoire national est stabilisé autour de 20, la situation sanitaire semble sous contrôle.
La pratique est soumise au respect des gestes barrière (pas de serrage de mains, huis clos, pas de moment de convivialité entre équipes après les matchs, désinfection régulière des aires de jeu, une balle par joueur…)
Les entraînements sont limités en nombre de participants engendrant de nombreuses pertes de licenciés et plus particulièrement au niveau des jeunes et des anciens.
Les tournois demeurent interdits au minimum jusqu’à la fin de la phase 1.
Je subdivise ce scénario 2 sur une variable qui me semble plus décisive que les autres, la question du masque :
- pas d’obligation de port du masque : perte d’effectifs comprise entre 10 et 25%
Les championnats reprennent en septembre (voire octobre).
- port du masque obligatoire en septembre : perte d’effectifs entre 25 et 50%
Le temps de tout réorganiser, les championnats reprennent en janvier.
Avec port obligatoire du masque, nombreux arrêts d’équipes, même le niveau national n’est pas épargné.
De nombreux « petits » clubs ferment ou ne présentent pas d’équipe en championnat.
Scénario 3 - C19 demeure une menace constante et la situation sanitaire est sur un fil. Le gouvernement resserre la vis à plusieurs reprises et on maintient tant bien que mal un nombre quotidien de décès compris entre 30 et 100.
Toute pratique des sports confinés est interdite jusqu’en décembre .
Le taux de renouvellement des licences, inférieur à 50%, crée une telle désorganisation qu’une reprise des compétitions ne peut être envisagée avant la saison 2021/2022, même si des traitements curatifs et/ou préventifs sont accessibles fin 2020 ou début 2021.
Scénario 4 - C19, le mois de juin est terrible avec une remontée spectaculaire des décès quotidiens lors de la première quinzaine du mois, l’économie, la société s’effondrent ; Kiki, le lapin familial a de plus en plus des airs de civet.
Toutes les activités associatives entraînant des regroupements de plus de 5 personnes sont suspendues jusqu’à nouvel ordre… l’armée veille. Nous sommes entrés dans un autre monde.
Conclusion : je rappelle le caractère spéculatif de ma démarche, je ne détiens aucune vérité, je souhaite juste que nous nous préparions à défendre notre passion sur la base de projections concrètes.
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Scenario 2b dans le meilleur des cas.
Je crains cependant le 3
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Comme c’est bien rédigé. Admiration sincère 
… Scénario 3, mais j’espère de tout coeur me fourvoyer…
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On sera fixé le 2 juin à priori. Cependant je mise sur le scénario 2a. Si c’est plus contraignant que le 2a je me contenterai de faire du robot à la maison et inviter des gars du club
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Jouer avec un masque c’est tout bonnement impossible que ce soit validé, il fera beaucoup trop chaud sous un masque
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Va peut être falloir que je me remette au ping fantôme. Mais c’est pour les jeunes cela !
Tu te mets l’Air guitare avec ta raquette de ping, tu fais d’une pierre 2 coups !
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Je pense que tes projections tiennent la route… sont « réalistes ». Néanmoins tu poses un postulat économique qui n’intervient pas dans tes hypothèses… or je pense qu’il sera malgré tout prépondérant. D’ailleurs tu le cantonnes à la problématique de financement du tissu associatif. Or il va aussi très fortement et négativement affecter les individus, leurs budget et leur moral.
J’ai le sentiment que l’on va se situer dans un mix entre 3 et 4…
Mais moi aussi je souhaite de tout cœur me tromper… sur l’aspect économique aussi.
Si, si, je parle de l’impact économique sur les foyers.
Par contre, oui, j’élude volontairement plein d’aspects par souci d’efficacité.
J’ai eu la volonté de parler ping avant tout, mais il est évident que les pourcentages que je cite prennent en compte en filigrane l’impact psychologique de la situation.
Les postulats, je les pose au départ pour ne pas à avoir à revenir dessus par la suite, mais si je les pose, c’est justement pour signifier que ceux-ci participent aux scénarios suivants dans des proportions variables, car tous ces éléments interagissent et plus ils sont prégnants, plus ils interagissent.
la mairie d’un petit club du var a déjà prévenu le président que la subvention allait diminuer la saison prochaine il va falloir en tenir compte dans le provisionnel
non ?
Scénario 5 - C19 s’éteint progressivement avec l’arrivée de l’été (car il ne supporte peu la chaleur comme certains virus), mais on s’aperçoit que l’on va devoir vivre avec car il revient chaque année de la même manière que la grippe saisonnière avec ou pas de mutation.
Et pour les entreprises ça va être plus compliqué aussi !