Comment gérer cette crise pour les clubs

je suis dans le même cas que quand tu a une passion que tu ne peut pas faire c’est très dur il va falloir que l’on tiennent

Notre sport est un sport pratiqué à tous les âges et la population pongistique est plutôt vieillissante… alors je crains fort une baisse des licences pour la saison prochaine pour plusieurs raisons:

  • le manque de visibilité sur l’organisation de la compétition: règles à mettre en place pendant les matchs, le co-voiturage utilisé habituellement…
  • la promiscuité aux entraînements : proximité, les balles, l’installation du matériel…
  • le danger inhérent à la situation actuelle: risques de contamination; danger d’une éventuelle 2e vague …
  • Le rôle des municipalités qui autoriseront ou non l’utilisation des bâtiments publics …
    Certains jeunes adultes, pressés de reprendre, pensent que nous allons reprendre notre pratique comme avant mais je crains que le chemin ne soit encore long …
    Nous risquons de perdre des jeunes et des anciens ( dont je fais partie) …
    Trouver des sponsors, payer un entraîneur, obtenir des aides et boucler le budget risque d’être plus compliqué…
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très bonne analyse

On verra l’évolution de cette pandémie, et c’est vrai qu’ en ce moment il y a pas mal d’inconnues encore, mais l’avenir sera peut-être plus favorable que ce que l’on pense actuellement.
La passion du ping sera plus forte que le virus ; on va s’adapter .

Et oui, Gilles ne lâche jamais un point ni en match ni en entrainement. Peu importe le niveau face à lui, il fait toujours son maximum. Ma femme qui a eu la chance de faire un match de championnat avec lui, a vraiment apprécié, pour elle c’est un exemple de combativité, qui ne plaint jamais, un exemple à suivre pour tous les jeunes pleurnicheurs qui sont nombreux d’ailleurs…
J’ai beaucoup progressé et appris contre les picots en jouant vraiment beaucoup contre lui. Malgré les quelques centaines de points d’écart maintenant (cela n’a pas toujours été ce cas), il a toujours de bons conseils à donner, j’ai vraiment progressé grâce à son expérience, et toujours de bon humeur, merci encore Gilles.

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Sauf que dans notre société, l’industrie du loisirs pèse elle aussi son poids économique, on le voit bien en ce moments dans les multiples sujet qui abordent le comment allons nous passer nos vacances d’été. Il y a des professionnels du loisir et je suis sûr que pour eux la reprise d’activité est impérieuse.

Le fait d’être pleurnicheur n’exclut pas la possibilité d’être combatif.
Le fait d’être un vieil embrouilleur n’exclut pas la possibilité d’avoir été un jeune pleunicheur.

Si on ne reprend pas, c’est la mort du ping, tout simplement.

Effectivement, je me suis mal exprimé, j’aurai du plutôt noter les jeunes (de 15-18ans) qui trouvent toujours une bonne excuse pour expliquer leur défaite, souvent une excuse ayant un rapport avec un problème physique mineur ou inexistant…Gilles, deux prothèses de genoux et j’en passe surement, et jamais une allusion sur son état physique, il joue avec la forme du moment, point…Il gagne c’est bien, il perd l’autre était plus fort, comme il donne toujours son maximum, il n’a rien à se reprocher, au final il reconnait la supériorité de l’autre. Voila pourquoi j’ai utilisé le mot exemple

c’est vrai que en tant que président d’un petit club on ne sait pas comment on va faire en septembre surtout avec les jeunes je ne sais pas si les parents vont remettre leurs enfants ,pour les anciens je ne me posent pas la question il reviendront

Rien que le fait que certains prévoit une 2ème vague, il y aura des gens qui ne prendront pas une licence, et cela dans n’importe quel sport. Le nombre de licenciés baissera l’année prochaine, c’est certains.

J’ai découvert le Ping sur le tard y a même pas 2 ans et je regrette de pas y avoir pensé plus tôt. Déjà une semaine sans jouer je suis en manque alors là je vous raconte pas en ce moment

Je suis un peu anxieux sur quand et comment va se passer la reprise mais je garde espoir sinon c’est dépression assurée :joy:

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C’est une interrogation légitime.

comme dit gilles71 on fait parti d’une catégorie a risque tant qu’il n’y aura pas un vaccin je ne prendrais aucun risque même si cela me coute

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il y a quand même une petite lueur d’espoir avec une théorie que l’on peut lire de la part de plusieurs infectiologues, selon laquelle le virus pourrait s’attaquer d’abord aux sujets les plus faibles et ensuite perdre de sa vigueur. Les virus très mortels seraient plutôt à courte durée, comme par exemple le Strass qui a disparu « tout seul » au bout de 6 mois sans vaccin. Si c’était le cas, en Septembre le corona serait de l’histoire ancienne …

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La question que je me pose en lisant tes interventions ou celles de Gilles c’est qu’est ce que vous allez foutre pendant 18 mois.
Ça va se résumer à rester chez vous et faire les courses , un confinement auto décide quoi

je suis un cas particulier je suis sous chimio et normalement je doit me faire opérer en septembre de la grosseur que l’on ma trouvé au nombril .après avoir passé tout cela je n’ai envie de prendre aucun risque avec le covid et pour répondre a ta question j’attend de voir les conditions du déconfinement et j’irais me promener au bord de la mer avec mon épouse ,pour gilles je ne peux te répondre

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Quand tu as fait face à la mort ça focalise l esprit comme on dit en Anglais. Moi je suis à risque aussi. La façon avec laquelle je vois le problème, en ce moment je vis chez moi, ça n est pas une contrainte si grosse que ca. Si je sors et que j attrapé ce virus, je peux être mort dans 10 jours (quand je dis je peux il y a une probabilité non négligeable). Donc … le confinement ne me pose pas vraiment de problème.
Ne pas être conscient de sa propre mortalité est l apanage des personnes jeunes … Malheureusement ça ne protège pas toujours.

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tout a fait d’accord avec toi on a une autre phylosophie de la vie ,je n’ai aucun soucis avec la possibilité de rester confiné avec mon épouse si cela peut me sauver ma vie

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Tu es à risque vu tes problèmes de santé, je peux comprendre ton choix.
Mais pour les autres, on pourrait miser sur l’auto-discipline.
Pour les gens, en bonne santé, qui sont accompagnés de leur conjoint et leurs enfants, le confinement ne doit pas être aussi dur que pour les célibataires.
Depuis 6 semaines, ma vie « sociale » se résume à faire les courses. J’ai l’impression d’être un prisonnier sous bracelet électronique, et encore, le prisonnier a le droit de voir du monde.