Balle qui contourne les spots lumineux

Dans les textes, c est la reponse 1. Si l arbitre perd de vue la balle, il est en droit de donner balle faute.
Apres, si il estime qu il est évident pour tout le monde que la balle n a rien touche, et que le jeu n a pas ete affecte, il peut aussi ne rien faire.

Je vous rappelle quand même la question posée sur ce post :wink:

oui… et la reponse est toujours la 1. Si l arbitre perd de vue la balle dans se cas de figure, le renvoi doit etre juge faute. Mais, je pense réellement que ds les faits, le juge arbitre laissera le jeu se poursuivre s il estime que le jeu n pas ete perturbe.
Les juges arbitres ont plus de jugeote qu on ne pense

BeIn elle est passée où la baballe ? :thinking:

Ce n’est pas très raisonnable de se conforter dans l’idée que l’on est plusieurs à avoir le même avis… J’ai remarqué d’ailleurs que des JA expérimentés ont tendance à interpréter les règles en fonction de ce qu’ils ont vécu en compétition nationale ou de ce que leur a dit un formateur qui répétait lui même ce qu’il avait appris plus jeune dans un stage…
Un JA devrait (même si c’est difficile) appliquer les règles à partir uniquement de la règle du jeu si cette dernière est précise. Ici c’est le cas puisque les concepteurs des règles ont utilisé la notion de parallèlepipède…
Les formateurs devraient plutôt imprimer la totalité de la règle pour chaque stagiaire et faire des études de cas. Au bout d’une demi-heure, tous les stagiaires trouveraient tout seul la bonne réponse en identifiant la règle (parallèlepipède…)
Au ping, la tendance (en France et peut-être ailleurs) est de faire confiance aux formateurs et d’espérer que ces derniers ne font pas d’erreurs…Cest un peu dommage…
Observez le jour d’un match, le JA n’a pas la règle imprimée devant lui alors qu’elle fait 6 pages pas plus (règle du jeu)

Je trouve au contraire qu’il serait dommage d’appliquer les règles à la lettre près… un juge-arbitre n’est pas un gendarme :wink:

Bonjour

Je ne connais pas la réponse à la question mais pour répondre à @philjolly à @frym et à @anelo . j’ai regardé la mise à jour 2017 du règlement sportif

2.5.8 ​­ Obstruction : un joueur “fait obstruction” à la balle si, après qu’elle ait été frappée en dernier par son adversaire et alors qu’elle est toujours en jeu, lui­ même ou toute chose qu’il porte ou tient touche cette balle soit pendant qu’elle se déplace vers la surface de jeu et qu’elle n’a pas encore franchi sa ligne de fond, soit au­ dessus de la surface de jeu avant qu’elle n’ait touché son camp.

2.5.​14​​­ La “ligne de fond” est considérée comme s’étendant à l’infini à ses deux extrémités.

Je pense que ces deux lignes indiquent que l’on peut reprendre la balle en dehors des limites marquées par les séparateurs.
En lisant le règlement, je n’ai pas vu mentionner que l’arbitre doit toujours voir la balle (J’ai peut-être loupé un article :thinking:) .
La seule mention ou la balle doit être toujours visible est au service mais visible pour le relanceur.

2.6.4 ​­ Depuis le début du service et jusqu’au moment où elle est frappée, la balle doit se trouver au­ dessus du niveau de la surface de jeu et derrière la ligne de fond du serveur et elle ne peut être cachée du relanceur par aucune partie du corps du serveur ou de son partenaire de double ou par quoi que ce soit qu’ils portent ou qu’ils tiennent.

et comme il est écrit, elle ne doit pas être cachée au relanceur, on ne parle pas de l’arbitre :wink:

L’article de règlement 3.2.3.1 pour moi représente la surface minimale suivant la compétition exempt de matériel pouvant gêner les joueurs.

Remarque : Dans l’échange, il me serait possible de cacher par une partie de mon corps la balle à l’arbitre, dans ce cas, je ne pense pas perdre le point.

Par conséquent je donne comme réponse la réponse 2.

J’attends avec gourmandise, les arguments qui invalideront ma réponse :grinning:

Le concept du parallélépipède est simple en théorie. En pratique, il se peut très bien que le point le plus bas du dit parallélépipède ne soit pas au-dessus de la table. Ou ça pourrait être un spot sur le côté de table, pas directement au-dessus. Du coup il faudrait que l’arbitre soit capable de juger si la balle dépasse un “plafond virtuel”… je ne vois pas comment. C’est un raisonnement par l’absurde, je te le concède, mais c’est pour illustrer. J’ai aussi vu des joueurs taper la balle en dehors de ce fameux parallélépipède, sans que le point soit interrompu : à l’extérieur sur les côtés au-dessus du niveau des séparations ou derrière les séparations. Dans ces cas-là le gars est traité comme un héros, pas comme quelqu’un qui ne respecte pas le réglement, et c’est bien plus sympa comme ça.

Pour la question initiale, les formés ont certainement la bonne réponse, et ça aurait été la mienne aussi. En pratique, je pense qu’il peut y avoir des nuanes : a) Si l’arbitre, au vu de la trajectoire de la balle (et même si elle est masquée sur une petite distance) est persuadé que la balle n’a rien touché, le point continue. b) Si l’arbitre n’est pas tout à fait certain que la balle n’ait rien touché, il pourrait faire rejouer le point. c) Si l’arbitre est certain que la balle à touché, faute. Enfin, si les joueurs sont de bonne foi, avec trois points de vue différents ils devraient pouvoir dire ensemble si ça a touché ou pas.

J’ai passé l’AR y a pas longtemps, j’ai posé la question. On m’a dit que la balle restait en jeu

La réponse D… cyp

:yum:

Certains arbitres sont gendarmes… je ne comprends pas trop cette allusion…
Les arbitres (tout comme les gendarmes) ont le droit de faire preuve de bienveillance pour un joueur ayant par exemple un revêtement abîmé (pour un automobiliste n’étant pas en possession de son permis).
En revanche, donner le point à un joueur (au détriment de son adversaire) n’est pas de la bienveillance, c’est une faute d’arbitrage. De même, si un gendarme constatait qu’un automobiliste a causé un accident pour vitesse excessive, il ne fermera pas les yeux car les victimes de l’accident seront bien contentes de ne pas être tenues pour responsable…
Dans tous les cas, il suffit de se référer à la règle. (même si elle paraît mal foutue ou améliorable).
Après, il y a toujours les cortèges de mauvaise foi qui tirent leur origine d’une méconnaissance des règles et-ou de la difficulté psychologique d’accepter ses erreurs (ignorance ou mauvaise interprétation par exemple )

Il n’y a pas d’ allusion… c’est ce qu’on apprend lors de l’examen de juge-arbitre. “Le juge-arbitre n’est pas un gendarme”

Il faut faire preuve de bon sens et ne pas appliquer bêtement des règlements

Je suis d’accord. J’ai d’ailleurs le souvenir (c’est ancien) quand j’étais junior d’avoir enjambé la barrière pour continuer ma défense haute (j’en abusai). Si j’avais connu la règle, je me serai abstenu ou aurais donné le point à l’issue de l’échange que j’avais gagné…
Je sais très bien que l’usage est de se baser sur des souvenirs d’événements pour justifier a posteriori une règle mais c’est une erreur.
Pour moi, la réponse est “on arrête l’échange” et si un JA nous explique, règlement à l’appui, que l’on continue le jeu, cela veut dire qu’il faut rédiger la règle autrement (vérifier peut être que le mot parallèlepipède est bien dans la règle officielle qui doit être en anglais…)

Bien entendu il faut interrompre l’échange …

Si on suit le règlement, une balle peut quitter l’espace de jeu. Pour l’instant je n’ai pas vu une fois quelqu’un citer un point du règlement qui contredirait ça.

La notion d’espace de jeu est définie pour indiquer la taille minimale de l’espace de jeu (longueur, largeur, hauteur, hauteur des lumières).
Elle n’est pas utilisée pour dire que si une balle le quitte alors le point est arrêté (ou alors il faut que quelqu’un dise quel est le point du règlement).
Le règlement précise les cas où il y a point (2.10), et il n’est pas question d’espace de jeu.

Et ce n’est pas parce qu’une balle quitte pendant une fraction de seconde le champ de vision de l’arbitre qu’il y a point.
Un côté sur deux, si les joueurs servent coup droit en tournant le corps, ça cache pendant une fraction l’exécution du service même si l’exécution peut être totalement visible par le receveur. On fait quoi on arrête systématiquement le point ?
Un joueur qui prend une balle petit côté droit en dessous du filet alors que l’arbitre est du côté gauche, on arrête le point parce que l’arbitre ne voit plus la balle ?
Et puis, il ne me semble pas que dans le règlement qu’on arrête automatiquement un point si la balle quitte le champ de vision de l’arbitre. De mémoire, ça n’existe pas. Peut être que je me trompe, mais il faut indiquer le point du règlement qui l’affirmerait.

Et puis, pour moi, il faut faire preuve de bon sens. Les cas de balle qui passe au dessus d’une lumière, ça à souvent lieu dans les salles où les lumières ou plafond sont à 5 mètres.
Donc ça se voit ou s’entend souvent si la balle touche ou pas les lumières (trajectoire, bruit). Si je vois qu’une balle de mon adversaire ne touche pas les lumières, je ne vois pas pourquoi je réclamerai le point ; je continue à jouer.

2 « J'aime »

Pour quelle raison ? Modification des conditions de jeu ? Oui si le joueur renverse beaucoup de séparations et fait du bruit qui pourrait déstabiliser son adversaire.

Voilà comme j’ai dit plus haut il faut lire le règlement (les règles du jeu) convenant la balle à remettre et le point ;).

Il suffit de lire attentivement la règle rappelée par Frym pour comprendre que la hauteur maximale correspond à la hauteur des spots les plus bas. Les JA qui ont dit le contraire à leurs stagiaires n’ont pas lu réellement les règles…
Le fait que beaucoup de salles ne soient pas réglementaires (en hauteur ou en profondeur) donne il est vrai envie de laisser continuer le point lorsque la balle sort de l’espace de jeu non réglementaire…

Ah, cela change tout… A quel endroit des règles trouve t on cette notion d’espace minimum ?