On va faire rêver les jeunes
A merde, il a un picot non ? aie … dommage pour Zorro
On va faire rêver les jeunes
A merde, il a un picot non ? aie … dommage pour Zorro
Sauf erreur de ma part les régionales sont encore zonées ex-basse normandie ou ex-haute, sans mélange (au moins en R2-R3-R4).
Sinon pour la problématique du territoire, il faut malheureusement être réaliste. On voit bien avec les regroupements de commune : l’objectif est de mieux investir l’argent pour qu’il profite à davantage de pratiquants.
C’est une nécessité avec la baisse conséquente des moyens fournis par les communes et les départements.
Alors oui, on préfère payer une table dans un club de commune un peu centrale, qui va servir tous les jours de la semaine, que dans un club de 25 licenciés pour leur unique entrainement hebdomadaire.
Et pour ce qui est d’obtenir des moyens privés (sponsoring / mécénat), la visibilité est encore plus importante.
Je conçois tout à fait que le cas de l’Orne, très rural et un peu sinistré niveau encadrement au ping, soit particulièrement pénalisé de cette politique. Mais je suis convaincu que pour intéresser les jeunes, il faut un encadrement qualifié (même non-pro) et c’est plus facile à trouver dans une structure de taille intermédiaire.
Pour développer la base de licenciés, il faudrait probablement changer un peu l’image encore présente de sport où on ne se dépense pas. Et là on touche à un autre problème : comment attirer des spectateurs totalement néophytes à un match de ping ? Je pense qu’on donne l’envie par l’exemple, mais aujourd’hui la réalité chez nous c’est que tous nos spectateurs font déjà partie de la communauté ping.
Ah oui et on voit le résultat: de la merde en barre
et tu pense pas que en laissant juste les equipes qui jouent la PN et en reduisant le nombre d’equipe en national, t’aurais pas moyen de t’amuser. En IDF, quand j’y jouait il y avait 4 fois moins d’equipes qu’en poitou en regionales et pourtant il y avait certainement plus moyen de s’amuser pour un 16 en PR qu’en R2 voir certaines poules de R1 en poitou. a un moment je pense qu’en poitou, il y avait plus d’equipe en regionale qu’en departementale et il y avait moyen de faire une dizaine de poules facile entre les equipes de r3 a r1
ok avec ça. En nouvelle Aquitaine, depuis la nouvelle région, la Régionale n’a de régional que les déplacements. Quand on voit le niveau pathétique du championnat… L’an dernier je jouais en R2 je n’ai pas joué au dessus de 14 (ah si 1 19 perdu). C’était un niveau de D1 il y a 10 ans…
Et ça, si c’est pas un symptôme, on en est pas loin. Idem chez nous.
il y a une chose qui m’étonne un peu pour un gros club comme celui-ci, c’est qu’un classé “11” comme moi y serait numéro 13 alors que dans mon club de la berrichonne à chateauroux je suis numéro 40 … Alors quand au nombre de jeunes, disons que je suis un peu septique sur la réelle présence de ces jeunes devant la table.
Au contraire, en centralisant et regroupant on ne touchera pas des jeunes qui n’auraient pas eu l’idée de venir au ping. Ceux qui vivent dans une grande ville ont déjà un club à côté de chez eux.
Je suis en général assez agacé de toujours voir proposé de copier ce qui se fait ailleurs sans tenir compte des différences. Le badminton est différent, moins technique, plus abordable en loisir.
Ce serait une connerie de souhaiter moins de clubs mais plus gros, ça me paraît une évidence. S’il est pertinent d’avoir des gros clubs bien strucurés comme tu les décris c’est essentiellement pour la qualité du haut niveau, pas pour le nombre de licenciés.
Le pire c’est de prendre en exemple des sports qui marchent, comme foot, tennis, rugby, alors que justement la particularité de ces sports là, c’est que le moindre village a son club (plus localisé pour le rugby).
Enfin 13 ou 23, tu avoueras que la “structure” des classements est un peu bizarre pour un gros club: 3 joueurs de 16 à 18, des gaps énormes… pour moi ce n’est pas ça un gros club. Violoniste 18 aurait le même classement dans notre club environ, alors que notre équipe la plus forte est une N3.
C’est étrange car il y a bien moins de joueurs dans cette liste que dans les nombres donnés par @junky.
Saint-Denis, de mon temps ( ), c’était un gros club formateur, en plus d’être suffisamment aisé pour avoir une très grosse équipe 1. Ça correspond pas du tout aux classements recensés. Quand on a des jeunes en progression, on a forcément plein de monde en 12-16 et certains qui se détachent vers 18 et +, sans compter tous les adultes confirmés. Je ne comprends pas, comment est-ce possible ?
Moi je connais des supers gros clubs qui ont perdu énormément de joueurs de classements intermédiaires parce qu’ils en avaient marre de ne plus être assez considérés , de tout le temps rendre service sans en avoir la reconnaissance et qui ont préféré choisir une plus petite structure pour retrouver un peu de considération.
Il ne serait pas étonnant que le club de Saint Denis ait eu ce genre de mésaventure. D’autant que c’est assez simple de trouver un autre club en Île de France.
Par curiosité, je viens de regarder Ping Pocket. Vraiment curieux ce club. 169 joueurs, féminines comprises pour 12 équipes de compétition :
EQUIPES FÉMININES
ÉQUIPES MASCULINES
AUTRES ÉQUIPES
Dans mon club, nous sommes une petite centaine. Hormis en R3, nous avons au moins une équipe dans chaque division de la D4 à la PN pour 16 équipes au total.
Pyramide pas saine. Dangereux d’avoir cette structure, ça peut s’écrouler très vite. Ca me fait penser à celle de Villeneuve/lot ou d’Agen.
Je suis d’accord, j’y vois une possible fragilité
Non, ils ont des subventions “spéciales” en Seine Saint Denis pour acheter la paix sociale et des revenus tout aussi spéciaux qui proviennent de je ne sais où …
moi je trouve qu’au foot au tennis ou au rugby, on court plutôt qu’on marche, m’enfin… si tu le dis
Tu joues sur les mots et c’est assez instable.
Tu penses que le seul mérite de ce club (d’avoir 2 équipes en Pro A) serait de bénéficier d’aides publiques que les autres clubs n’ont pas ? Pas sûr que des subventions suffisent au fonctionnement de deux équipes professionnelles et à la rémunération de leurs joueurs/joueuses.
Ils sont peut être soutenus par des partenaires privés généreux.