Moi aussi j’ai dis ce que j’en pensais, je ne pense pas que la centralisation soit une bonne idée, d’ailleurs c’est amusant de voir à quel point depuis des lustres les politiques se rendent compte à quel point c’est une connerie sans nom (mais ne font rien pour le changer).
Pourquoi, parce que la question c’est faire progresser le ping ou ramener des licenciés? Sinon ben ça va se passer comme dans tous les sports, à la base des petits clubs, puis dès qu’un enfant émerge un peu il va dans une plus grosse structure.
Position de principe : en pratique, on fait comment ?
Ben ça ne me semble pas plus compliqué (ou plus simple) que ta solution, pourquoi tu fais comment toi pour créer tes clubs en ville?
Si j’avais la recette, je l’appliquerais déjà dans mon club.
Je ne prétends pas savoir ce qu’il faut faire, mais par contre je sais ce qu’il ne faut pas faire.
Parce que je sais que pour que les gros clubs brillent, il faut bien des petits clubs qui leur sert de faire valoir.
Sinon, quel intérêt de gagner tout seul ?
Je crois que tout est dit …
Je t’ai déjà expliquer qu’il me semblait plus intéressant d’aller mettre les clubs près des bassins de population pour des raisons de coût, de mutualisation, de recrutement, …d’autant qu’on peut toucher des jeunes qui ne penseraient même pas à jouer au ping autrement.
Bon, je crois avoir assez expliqué ma position, certes pas populaire mais pragmatique …
Je n’invente rien, je regarde comment font les autres sports, les acteurs économiques, …
ok, donc moi je t’explique encore que ça me semble plus intéressant de développer le ping partout où il peut l’être.
Raisons de coût? le coût est proportionnel à la taille, je ne vois pas le problème. En plus il y a quand même une taille critique pour un club, et alors on en met deux dans la même localité? Comment ça marche pour les subventions? Déjà qu’à Talence (40 000 habitants) ça leur fait mal d’en avoir un …
De mutualisation de quoi?
De recrutement, idem tu le dis, mais je ne suis pas sûr qu’il y ait plus de gens intéressés par le ping dans les villes que dans les campagnes. La preuve en ville il y a déjà beaucoup de clubs qui existent et ce n’est pas pour ça .
Ok, on continue comme ça alors …
Quand j’étais gamin mon club récupérait des joueurs de ces types de structure qui s’appelaient “foyers ruraux” dans des bled de 500 habitants. Il y avait des joueurs de bon niveaux. Je ne sais pas si ces structures existent toujours et à quoi elle sont rattachées “hiérarchiquement” parlant.
Non, on continue comme avant !
Je vais prendre mon exemple: au collège j’étais dans le Gers, ils avaient mis une table sous le Préault: ça avit un succès fou, tout le monde jouait, on venait même plus tôt le matin pour jouer avant le début des cours. Sur les 150 collégiens, aucun ne pouvait en faire, 0 clubs à des dizaine de km à la ronde. Dès que je suis arrivé à Bordeaux à 15 ans je m’y suis mis. Il n’y a pas un problème?
C’est quoi le sujet ?
On revient sur toutes les réformes à la con et on continue comme avant.
et le nombre de licencié va remonter ?
Tu prends le tennis, le ffot, et le rugby là où il se joue, le moindre petit village paumé avec ses 100 âmes a un terrain.Moi j’ai fais du tennis parce qu’il y avait un club dans mon village, sinon j’aurais fais du ping.
En tout cas, à l’époque, ça ne baissait pas. ça ne montait pas vite mais ça ne baissait pas.
Mais pas de problème, le monde n’a pas changé, les jeunes non plus, les vieilles recettes marcheront encore
Si tu savais, la puissance de la nostalgie ! Regarde la mode, la décoration, les bagnoles anciennes, les années 80, …
Belle argumentation pour plus de licenciés au ping Zorro. Revoir les tenues vestimentaires des pongistes, redécorer les salles, les tables et les bois, organiser des expos de voitures anciennes sur les parkings des salles de ping et piocher les idées dans les années 80 parce qu’il ne s’est rien passé depuis. Merci