Et l’argent à la place ferait qu’on pourrait se passer de certaines manifestations… et donc du repos pour les bénévoles !
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Oui mais c’est vers ça justement qu’on s’oriente partout et qui est très dommageable. Notamment pour les entraînements par des pros. Et quand il n’y aura plus de bénévoles ( partis se reposer ) , la descente n’en sera que plus dure …
Je note l’idée, ça me parait intéressant à discuter dans mon club… tu nous diras en fin de saison quel bilan vous avez pu faire de cette expérience.
Bah où t’as vu que je ne laissais pas les gens s’exprimer ? C’est juste que ça me fait sourire, c’est tout.
J’ai été censuré. Donc pas de soucis pour toi. Tu pourras continuer à sourire … 
( ah ben c’était sur un autre sujet ). Désolé, je croyais que c’était sur celui là. Mais le problème reste donc bien présent.
le phénomène de la garderie au club de sport a toujours existé, moi-même je l’ai bien sûr un peu utilisé quand j’étais jeune papa !
Mais c’est aux entraineurs de faire ce qu’il faut pour motiver les enfants et qu’ils soient motivés puis motivent ensuite leurs parents pour éventuellement du bénévolat, c’est dans ce sens que ça fonctionne, les parents s’impliquent quand les enfants le sont, pas avant.
Alors comment motiver ? La méthode d’entrainement me semble très très importante pour alimenter la motivation des djeuns. Je vois encore des clubs qui utilisent les méthodes d’entrainement des années 80, échauffement tour de salle, régul répétitive et rébarbative, pas de travail de la tactique, jamais de musique pour dynamiser l’énergie collective, toutes les séances se ressemblent comme 2 gouttes d’eau … Là il ne faut pas s’étonner que les djeuns arrêtent ou changent de sport. Un animateur comme son nom l’indique c’est fait pour animer, pas pour endormir les joueurs.
archi d’accord ! un discours moderne et plein de bon sens ! C’est en effet un peu réac de dire que c’était pas comme ça avant. Quand j’avais 10 ans (il y a 30 ans), il y avait déjà pleins de gosses qui “papillonnaient” entre les différentes activités. Comme je l’ai déjà dit, le point fort du ping pour garder les jeunes licenciés : pleins de compets de tous niveaux, possibilité de jouer contre tout le monde (filles, adultes,…). point faible : obligé de passer par des séances un peu monotones et pas forcément fun pour des jeunes pour progresser (régul, paniers de balles). Et ça c’est le cas depuis toujours. Rien de nouveau
Faux ! C’est pas comme ça que ça se passe. En général, c’est tout l’inverse. Ce sont plutôt les gamins dont les parents sont déjà pratiquants qui persistent et qui restent. Les autres papillonnent effectivement. Seuls, les plus motivés vont peut-être finir par attirer leurs parents mais c’est bien plus rare dans ce sens.
L’influence du milieu familial est prépondérante dans la poursuite ou non du jeune joueur.
euh … ce n’est pas cela dont j’ai parlé, je n’ai pas parlé de parents pratiquants, c’est un autre sujet.
je trouve que c’est souvent la mode sur le forum de dire “FAUX !!! …” sur un post dont on a lu la moitié en récupérant des mots par ci par là … enfin j’vais pas refaire le monde maintenant.
J’ai parlé de jeunes qui viennent à la salle sans connaître le ping, et qui ensuite quand ils sont motivés motivent les parents NON pratiquants pour faire du bénévolat dans le club.
En tout cas dans mon club, l’immense majorité des bénévoles ne sont pas pongistes.
Ben vous avez de la chance !
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merki … mais la chance comme on dit ça se provoque, et pas en se plaignant mais plutôt en cherchant des solutions. C’est en tout cas ce qui me plaît dans mon, il n’y a pas de râleurs pour le plaisir de râler.
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Alors vous payez sûrement quelqu’un pour faire vos entraînements et vous compter sur lui pour que ça se passe bien ?
C’est moi qui ai joué ce rôle pendant de nombreuses années donc je sais ce que c’est. Je le fais plus maintenant, aucune relève. Tu comprends pourquoi il m’arrive souvent de râler. Parce que je vois bien que la seule solution maintenant, c’est de payer quelqu’un.
certain sont prêt à payer plus pour ne pas être sollicité de l’année, ça je le vois.
Et c’est bien ça le drame ! Ils veulent de la qualité, ils sont prêts à payer mais sans s’occuper de rien.
Par contre, ceux qui n’ont pas les moyens … Ben tant pis !
oui bien sûr il faut 1 entraineur rémunéré. moi je suis juste assistant de l’entraineur diplomé.
Mais quand il y a 30 joueurs avec des niveaux de 5 à 19, c’est pas du luxe d’être deux …
J’ai bien compris pourquoi tu “râles”, la passion d’une seule personne ne peut suffire à elle seule, il faut un gros groupe de bénévoles, surtout dans un sport mineur comme le nôtre.
J’ai eu la chance d’arriver dans un club où il y avait déjà une armée de bénévoles et j’avoue que c’est cela qui m’a motivé pour m’investir beaucoup (8h chaque semaine à l’entrainement des djeuns).
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C’est clair qu’il y en a qui préfèrent payer ! Il y en aura toujours.
Mais si on arrive à faire participer quelques personnes qu’on ne voyait jamais, le pari sera gagné.
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Effectivement, le support des collectivités locales est très compliqué à obtenir, j’ai mené deux combats pour une nouvelle salle dans deux clubs différents, les deux fois ça a aboutit parce qu’un élu avait une sensibilité pongiste (père d’un joueur dans un cas, ancien pongiste dans l’autre…)
Pour ce qui concerne le “nouvel esprit”: si on veut contiinuer à intéresser un certaine frange de licenciés, il faut à mon avis plancher sur certains types de compétitions plus souples et plus conviviales, mais je suis d’accord que le socle doit rester le championnat par équipes. Mais en parallèle, il doit y avoir moyen d’intégrer des compètes pour les gens qui souhaitent moins s’impliquer…
et enfin, au contraire de Zorro, je trouve que la technicité et la diversité de notre sport (notamment en terme de revêtement) en fait son charme… au risque de perdre en route quelques joueurs qui le trouvent trop compliqué… Comme toi cowboy, le jour où on aura tous les même plaques et que celui-ci qui tapera le plus fort gagnera j’arrête… pour faire ça y’a le tennis!
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si c’était aussi simple…
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Bonjour a tous !
Suite à l’article que nous avons eu sur le Parisien IDF, nous avons eu beaucoup d’appels, même pour pratiquer le TT ailleurs. Le Sport Santé est un des axes de developpement principaux cette année, en nombre d’adhérents et pour la demande de subventions
Au plaisir de partager autour du sujet
Renato Walkowiak
Manager du LSC Tennis de Table
bonjour ,chez nous dans le sud le ping santé ne démarre pas mon collégue n a personne le samedi matin