Le problème, c’est que, bien qu’il soit en conflit avec ses dirigeants, j’ai l’impression qu’il l’aime bien son club. 
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Moi aussi j’aimais beaucoup mon club de ces trois dernières années… mais si, quelle qu’en soit la raison, tu n’y trouves pas ton compte, il faut savoir trancher. Moi l’ambiance me plaisait, je jouais à mon niveau voire plus haut, les gens étaient très gentils, pas de souci. Mais les horaires d’entraînement ne collaient plus avec mon emploi du temps, et ne m’entraînant plus efficacement mon niveau a chuté, donc ça me frustrait et ça me mettait mal à l’aise dans les équipes dans lesquelles je jouais… un peu de psychotage là dessus, des choix improbables au niveau raquette (parenthèse anti lisse… pas inintéressant mais sans entraînement correct ça n’a fait qu’empirer ma déchéance)…
Bref la solution est quand même passée par un changement de club même si je n’avais aucune envie de muter.
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Oui ça je trouve que l’entraînement et l’ambiance à l’entraînement, c’est le plus important.
Le niveau de tes partenaires un peu aussi, enfin, faut un minimum quoi …
Me concernant, c’était un peu plus fort à Fesches le Châtel, c’ est vrai (5-6 joueurs qui jouaient 15-16 à l’époque quoi) alors qu’à L’Isle sur le Doubs à l’entraînement, je joue régulièrement 2 joueurs niveau 13-14, et beaucoup de 11 et 10 ; malheureusement les 2 seuls qui sont mieux classés que moi ne viennent que très peu (à cause de leur boulot + vie privée + distance ; je ne me permettrais certainement pas de les blâmer)
La balle plastique + ce contexte de niveau à l’ entraînement + moi qui vieillis et qui ai moins la niaque … ça donne ce qui m’arrive depuis 2 saisons.
MAIS… j’aime toujours ça, et l’ambiance est excellente.
Quand j’aurai ENFIN stabilisé sur une raquette qui me correspond… je pourrai peut-être un peu mieux poser mon jeu (?)
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Pour ça, il faut acheter une voiture, ça calme un peu.
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Autant pour les tournois je suis d’accord avec ton affirmation. Autant les indivs non. C’est surtout pour ceux qui veulent jouer un peu plus, et jouer autrement que par équipes. Ça permet aussi des fois de rencontrer des adversaires que tu ne rencontreras jamais par équipes.
Mais c’est sûr que les tournois, chaque fois que j’en fais, tout le monde, et je dis bien tout le monde, est motivé, quand une bonne proportion n’est pas tout simplement remontée à bloc.
oui ben c’est un peu ça quand même… je connais pas mal de joueurs qui ne font que le championnat par équipes ; ceux qui font les indives les font souvent en plus, et sont donc plutôt à classer parmi les motivés. Après “chasseur de point” pas forcément, mais motivé, quoi.
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Perso les indivs je suis motivé mais plus par le fait de jouer des adversaires de mon niveau.
Merci à tous ! 
J’y ai repensé un peu ce soir. Je repensais redescendre encore plus que 11 mais ça ne servira à rien. Si je fais ça et que je décide de rejouer en championnat, je rejouerai dans une division qui n’est pas la mienne. De deux, vu notre système d’indivs, je ne jouerai pas de mec qui auraient deux ou trois cent points de plus que moi comme avant.
Je vais me donner jusque décembre pour prendre une décision. En tout cas, je vais reprendre les entraînements jusque là et on verra par la suite. Sachant que je ne remonterai pas 12 en décembre et que je ne pense pas que je perdrai 36 points, mon classement 11 est entériné.
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C’est mieux.
Oui.
Je tiens à préciser que je ne suis pas en conflit avec mon président de club. Je ne me reconnais plus dans sa politique de club. Il le sait déjà mais je pense qu’il ne prend pas mon envie de partir au sérieux. Il sait que j’aime le club mais je serai peut-être dans l’obligation de partir si je veux m’épanouir dans le ping.
Des fois changer de club ça fait du bien tu sais… dans mon premier club, je suis parti parce que j’étais en conflit avec un certain nombre de personnes. Un très mauvais souvenir.
Je suis parti jouer avec mes meilleurs potes dans le club voisin. Qu’est ce qu’on a passé de bons moments ! Mais voilà, les bornes les week-ends de matchs plus le fait que je n’arrivais pas à me retrouver au sein du club fait que j’en suis parti deux ans plus tard, pour atterrir où je suis aujourd’hui. Et perso je me sens vraiment bien dans ce club, mieux que dans mon deuxième, et bien évidemment vraiment mieux que dans mon premier.
Et parfois, changer de club permet aussi de voir comment ça se passe ailleurs, et pourquoi pas trouver les repères qui nous conviennent.
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Déjà tu as le syndrome de la peur de la contre 
TOUT le monde a des moments de moins bien, des périodes où l’on est moins bon, que ce soit physique ou mental.
Tout comme ça peut arriver d’avoir des matchs où l’on est moins performant, ça peut être aussi bien causé par son propre niveau de jeu que par celui de l’adversaire.
La première chose, c’est de jouer TOUS les points, un par un, même si on est dans “mauvais” jour.
Aussi, pour ma part, je préfère perdre en jouant mon jeu, peut être mettre un poil d’engagement en trop (ça veut pas dire forcer les balles) quitte à perdre le match plutôt que de jouer petit bras et attendre que l’adversaire me donne le match.
Faut aussi arrêter de se focaliser sur le classement, le gain en point potentiel. Car c’est en étant dans cet état d’esprit qu’on va jouer “petit bras”.
Et c’est justement dans les moments de moins bien qu’il ne faut rien lâcher, s’accrocher.
Ce n’est pas forcément facile à appliquer, mais il faut arrêter de s’apitoyer sur soi-même, de pleurer, d’être pessimiste, de se dire qu’on a déjà perdu (un match n’est jamais perdu à l’avance).
Surtout que si tu balances un match ou que tu joues petit bras sur le premier match, tu risques d’entrer dans une spirale négative qui va influencer tes prochains matchs.
Si j’avais balancé tous les matchs où j’étais dans un mauvais jour, j’en aurais balancé énormément des matchs
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C’est juste pour beaucoup d’entre nous.
@anon75794511
J’en suis déjà à 4 clubs à 28 ans et 15 ans de ping. Le 1er, je suis parti à cause du déménagement de mes parents. Le 2ème, j’ai décidé de partir pour enfin progresser ( et j’ai bien fait, les résultats ont été là). Le 3ème, j’en suis parti parce que je m’installais définitivement dans la ville où je faisais mes études. Cela fait 7 ans que je joue dans mon club actuel. Si j’en pars, ce ne sera pas à cause de la mauvaise ambiance. Comme dans tous les clubs, il peut y avoir des tensions mais ça ne dure pas très longtemps chez nous. Par contre, je sais que si je pars, le président m’en voudra. De toute façon, j’ai l’impression que dans le ping, le changement de club est très mal vu.
@kirua18
Oui, je regarde beaucoup les points et j’ai toujours été comme ça. J’ai toujours eu l’impression qu’un joueur n’était jugé que par ça. Peu-être parce que j’ai longtemps été classé NC et pris pour une merde. Beaucoup de gens ont été étonné que je monte 12. Et pourtant, ce n’est pas un classement de fou. Il est clair qu’il faut que je me batte sur tous les points. Quand ça déraille, je baisse les bras au ping.
A mon sens le classement, donne une potentielle indication sur le niveau de l’adversaire. Par exemple si tu joues un joueur qui est 15 ou 16, et qu’il ne passe pas un top spin sur les premiers sets avec beaucoup de fautes, il faut faire attention car il peut à tout moment fortement augmenter son niveau de jeu car il est très probablement en dessous de son niveau de jeu moyen.
Ou au contraire si tu joues un joueur qui est 8 ou 9 et qui sur un ou deux sets se met à tout passer en top spin, contre top, etc ; peut être qu’il a des faiblesses sur certains compartiments de jeu ou types de services ou qu’il était sur un nuage pendant un ou deux sets mais qu’après il aura pas mal de déchet.
Peut être que c’est un joueur en grosse progression ou pas.
Le classement peut donner quelques indications mais évidement pas avec 100% de certitudes.
Globalement il ne faut jamais sous estimer l’adversaire.
Dans ces cas là, tu te fais par exemple plier le premier et/ ou deuxième set. Si tu te dis que c’est terminé et que tu baisses les bras, tu vas perdre le match 3-0. Mais peut être que si tu t’étais battu sur tous les points, peut être en changeant un peu la tactique, le placement, services, etc, tu aurais peut être gagné facilement les trois sets suivants.
Des matchs, j’en ai gagné, sans forcément bien jouer, y compris lorsque je n’avais pas de bonnes sensations ; mais je me suis toujours accroché et je ne baisse jamais les bras.
Le ping est un sport où le mental compte énormément, surtout en 11 points. Si tu lâches sans trop jouer 4 ou 5 points, c’est presque la moitié du set de donné.
C’est la même chose que de venir à la salle et de se persuader qu’on va mal jouer car par exemple cette balle je ne l’aime pas. C’est avec cet état d’esprit qu’on risque de réellement jouer en dessous de son niveau.
Au ping, être très négatif va forcément affecter le niveau de jeu.
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C’est un peu ce qui m’arrive… je l’avoue.
J’ai beau essayer de m’auto-convaincre que je l’aime cette (grosse) b… (bouse) balle en plastique (de merde !) , je n’y arrive toujours pas !
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Alors le balsa 6.5🤗
Salut. Je vais réserver mon avis pour ce soir… J’étais fatigué, pas en forme du tout, et ça s’est ressenti dans mon jeu.
D’ailleurs, j’ai eu l’impression que tous les copains étaient pas en forme. On a fait que de la merde !
Pire, j’ai râpé comme un fumier ! Un point sur deux volé ! Infernal ! Même si j’ai gagné, j’aime pas gagner comme ça. Ça casse trop le rythme.
Bon, je sais juste que j’ai pas trop aimé le Killer 1.5mm sur ce bois-là. Trop trop catapultant j’ai trouvé. Je vais le coller sur un Tibhar IVL que j’ai trouvé dans les occases. Puis je me suis peut-être déjà trop habitué au Gipf avec lequel j’arrive à accrocher la balle.
En coup droit, le Donic Bluefire Big Slam sur ce TSP Balsa 6.5, ça allait. Un peu moins rapide, effectivement, que mon Ultra Balsa V.
Ça y est, j’ai déjà viré le Killer 1.5mm, et collé le Gipf 1.2mm.
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Si c est catapultage, ça risque de faire la même chose avec le gipf…bon mon bois part demain,à 25 euros risque limite😉en 1,2 tu vas sentir le bois
Pas cher… En bon état ?