J’ai pas accroché sur la version 0x, je n’ai pas trouvé de points particuliers de nature à le positionner comme un remplaçant sérieux à mon Blitzschlag.
As tu essayé le desperado ? mais avec une mousse de 0.6.
En 0x tu sera sur un jeu seulement de défense, avec une mousse de 0.6 tu pourras attaquer en bloc près de la table. Avec une mousse de 1mm se serra plus dur pour amortir la balle.
Le desperado a plus de contrôle que le curl P1.
Non, je n’ai pas eu l’occasion d’essayer le Desperado, ni moussé, ni en 0x.
Pour le moment, j’ai des sentiments mélangés par rapport aux picots moussés. Lorsque je suis passé de l’anti au PL, j’ai débuté avec un Talon en 0.5. J’avais trouvé la transition relativement facile et puis j’ai entrepris d’essayer d’autres picots, pour la plupart d’entre eux en 0x. J’avais bien essayé l’Agenda en 1.0 mm mais pas convaincu. J’ai aussi essayé plus récemment un Curl P4 en 0.5 mm et un Octopus dans la même épaisseur et un Tokkan en 0.6 mm mais je n’arrivais à rien avec ces plaques que je trouvais sans saveur. Je ne dis pas que ce sont de mauvaises plaques mais il faut croire qu’avec mon bois et mon jeu, l’alchimie ne se faisait pas. Du coup, je ne suis pas spécialement tenté par de nouveaux essais de picots moussés. A l’exception peut être du Talon en 0.5 mm mais je n’apprécie guère les disparités de production dont Giant Dragon est coutumier. Du coup, je suis plutôt parti pour rester avec mon Blitzschlag ou alors aller vers d’autres types de picots, soft ou mi-longs, sous réserve que j’arrive à maintenir une agressivité certaine tout au long de chaque rencontre (chose dont je ne suis pas capable actuellement… et peut être jamais !).
Alors, débarquement sur ce chouette sujet, car j’ai eu la chance de faire un passage par ce SSPCS II, la seule plaque où seules les initiales sont déjà effrayantes.
Je ne suis pas du tout d’accord avec ta manière de présenter les choses @archeo, en fait, je pense que la difficulté sera liée au fait de passer à plus de mousse, pour être exact du long sans mousse au court avec mousse. C’est un problème de dwell-time et mine de rien ça change énormément de choses.
C’est très bien résumé. En fait, pour le picoteux sans mousse qui ne tourne pas sa raquette, c’est mort d’avance. C’est à peu près comme de passer à un backside, il faut tout réapprendre. Par contre, pour ceux qui jouent en tournant leur palette et qui ont un backside lent, là c’est beaucoup plus jouable.
En ce qui me concerne, je pourrais résumer mon expérience (qui a duré 8 mois environ quand même) en quelques points:
- Plus aucun problème avec les balles molles, l’adhérence du SSPCS II est tellement grande qu’on imprime suffisamment d’effet pour palier au problème. Service sans effet ? Je pousse, et l’adversaire fonce au filet.
- Beaucoup moins permissif en défense, mais les possibilités de variations quand on est bien placé sont juste énormes. MAlheureusement, je n’étais pas souvent bien placé
- Perte des “particularités” picots, comme le chop bloc (bon, ça, ça m’a pas manqué), le potentiel d’amortie “sans que ça se voit trop” et la sécurité de démarrer les balles coupées.
C’est ce dernier point qui m’a fait revenir en arrière, je perdais l’intérêt de tourner ma palette et claquer avec le picot me manquait trop
C’est une expérience à tenter pour les défenseurs backside !
Je pense en effet que c’est une mauvaise idée en ce qui te concerne (bon, après, je te connais pas super bien ). Je me permettais de développer un peu pour ceux qui tomberont sur ce sujet par après en hésitant à franchir le pas.