Oui, c’est pour ça que je contente de la vision purement « jeu / pratique »
Une réponse encore plus simple: un joueur qui a une idée de ce qu’il va faire de la balle qd elle arrive vers lui et qui arrive effectivement à le faire la plupart du temps.
Il y a des joueurs qui vont réfléchir N coups à l’avance tel un joueur d’échec pour amener le point exactement où ils veulent
Et d’autre purement instinctif qui ne réfléchisse pas mais ressente le point et le coup à faire.
Donc pas évident…
Un bon joueur est un joueur dans la bouche de Grogro « moi j’aime bien les tilapins » (Donjon pour les connaisseurs)
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c’est tellement ça d’ailleurs c’est le seul sport que j’ai pratiqué ou quand le mec perd il y a une multitudes de facteurs : lumière jaune dans l’oeil au service, reflets du soleil, rebonds des Cornilleau de merde, humidité, le sol est trop mou ou trop dur, il y a trop de bruits etc…
Un bon joueur est celui qui me perd.
« Un bon joueur est un joueur mort »
Qui est le bon joueur de qui ?
A moins que ce soit le contraire…
Un bon joueur est celui qui paie son coup à la fin du match.
On est tous des bons joueurs, vu qu’il y a toujours un plus faible que soi. 
Ma coéquipière avec 0 victoires pour 31 défaites dans sa première saison de compétition, cherche encore le joueur plus faible qu’elle 
J’espère que cela ne l’a pas découragé…
Sans me faire l’avocat du diable, on a tous connu (je pense) des défaites, comme des victoires d’ailleurs, pas toujours logiques…La plupart des joueurs seront d’accord pour dire qu’une table de marque X sur un sol béton, ne répond pas de la même façon qu’une table de marque Y sur un plancher…En ce qui me concerne, j’ai un jeu basé sur une forte coupe, et quand la table, genre miroir, ne prend pas les effets, je suis dans la mer** 
A l’époque où les rencontres se faisaient en match aller et match retour sur les mêmes équipes, on constatait assez souvent qu’un adversaire qu’on avait perdu « chez lui », pouvait être battu « chez nous ».
J’ai souvenir que j’ai battu un gars de mon classement d’une manière écœurante 
90 % de mes balles prenaient le filet ou le bord, ou les 2 
Si j’ai passé 1 ou 2 points jouables pour lui, c’est beaucoup…Autant dire qu’au 3ème set, il a lâché l’affaire…Je pense que j’aurais pu jouer les yeux fermés, ça n’aurait rien changé 
A contrario, dans une salle extérieure, mon adversaire gagne le choix du camp…Il choisit donc de me laisser le soleil en pleine poire !!! Soleil du matin, 10h30, bien méchant, couvrant 1/3 de la table. Le rideau sommaire permettant d’atténuer les rayons est hors de portée (5-6 m du sol), installé depuis un bail sans doute. Autant dire que je perds le 1er, 3ème et la belle. Dès qu’il levait un peu la balle sur mon coup droit, paf, un coup de laser dans la tronche 
Donc, je pense, sans faire ma pleurnicheuse, qu’on est meilleur à la maison, qu’à l’extérieur…
Messieurs les pongistes, bons joueurs ou pas, j’attends vos arguments et contre-arguments 
moi, ça m’est arrivé une fois de jouer sur une table où on voyait vraiment pas grand chose d’un coté et si c’est le cas, il faut absolument que tu fasses le premier set de ce coté là
comme ça, à la belle, tu tournes a 5 et tu te retrouves du bon coté pour « finir » le match
ne surtout pas commencer du coté où tu vois bien sinon, c’est perdu ou disons plus difficile
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Certes, mais il avait gagné le choix du camp…
Il faut qu’elle regarde du côté des garages, des jardins et autres lieux publiques !
C’est comme à la pétanque … il y a toujours des bons par rapport à des plus nuls.
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On n’est pas « meilleur » mais on est forcement moins influencé par les variations extérieures (éclairage, sol…) qu’à la maison. Donc on joue naturellement sur nos points forts, dans les autres cas on doit adapter nos points forts par de légères variations donc pas naturelle à la base, cette légère adaptation fait que l’on ne peut pas exploiter à 100% nos coups de manières instinctives ou automatique.
Même si on a une salle pourrie (ce n’est pas mon cas), avec les entraînements, on finit toujours par s’y habituer et s’adapter par la force des choses.
A l’extérieur, on y arrive la plupart du temps car la différence est souvent acceptable.
Mais quelques fois on passe à travers car l’adaptation demandée est trop importante.
Moi cette année, il y a 2 salles où j’ai vraiment eu du mal à l’extérieur plus que je ne pouvais m’adapter.
La première très très peu d’éclairage, rasant et absolument pas uniforme, je voyais rien.
Mené 2-0, j’avais l’impression de voir apparaitre/disparaitre la balle sur certaines zones de la table.
J’ai fini par me dire si je ne voyais rien l’autre probablement non plus, j’ai fini par jouer dans les zones où je ne voyais rien et j’ai gagné en ne sachant pas du tout ce qui ce passait de l’autre coté de la table, en faisant des légères variations d’effets (coupé, latéral) pour que l’autre vise mal la balle. Meilleur : non, roublard : 100%
La deuxième salle, j’étais le seul joueur à être perturbé, je voyais l’éclairage flasher (je suis vachement sensible au flashage des néons). Et bien toute la soirée en mode trajectoire de balle stroboscopique! Impossible de lire un service, je ne voyais pas le contact balle/raquette, et dur de visualiser la trajectoire. A la fin de la soirée je voyais tout clignoter salle, balle, sol… et les yeux explosés à force de me concentrer!
Je ne suis pas sûr d’être bon mais en tout cas je sais quand je ne le suis pas!
Je pense qu’un des critères du « bon » joueur est dans cette s’adaptation quelque soit les conditions. Il arrive à jouer « son jeux » en s’adaptant quelque soit les conditions extérieurs et ainsi être performant en sortant de sa zone de confort.
Comme déjà dit, il y autant de définitions de « bon joueur » qu’il y a de joueurs de ping sur cette planète.
N’importe qui, à mon sens, peut être (ou se considérer comme) un bon joueur. En effet, sur sa tranche de niveau, n’importe quel joueur peut poser un problème, que l’adversaire doit résoudre. De ce fait, que le mec soit 5, 7, 9, 400FR, 50 mondial, chaque joueur est considéré, par un adversaire qui réfléchit un tant soit peu (parce que les principes de t’as un picot = t’es nul c’est de la merde en barre 
), comme un bon joueur avec des qualités qu’il faut observer et limiter ensuite !
Quand j’ai compris ça j’ai pris un bond en classement. C’est pas tout d’avoir une bonne technique, il faut considérer que chaque joueur a des qualités et qu’il faut leur apporter une réponse, même si les coups peuvent sembler moins « esthétiques »
C’est sûr qu’un bon joueur devrait pouvoir s’adapter à n’importe quelle salle…
Dans l’exemple du soleil qui gêne quand la balle arrive sur le CD, il s’arrangera sûrement pour avoir un maximum de balles en retour dans son revers…Mais ça, c’est pas donné au petit 10 que je suis 
En tout cas, c’est la preuve que le classement n’est pas un critère absolu sur le niveau technique d’un joueur.
oui oui bien sûr