Le film encore plus que le bouquin, fait froid dans le dos…Le message et la méthode de communication passe 5 sur 5 dans l’Allemagne d’aujourd’hui…et c’est filmé en camera caché…
L’acteur est excellent, il se comporte exactement comme l’aurait fait le vrai, c’est extrêmement percutant… il y a en permanence cette ambiguïté faux/vrais. La rhétorique qu’il développe en discutant avec de vrais gens provoque un phénomène étrange…tu sens que les gens parle en grande parti comme si il avait le vrai Hitler devant eux…
La scène ou il se rend dans les bureaux du parti nazi allemand pour les engueuler et hallucinante…
Bonjour petit filou, En ce mardi 10 Décembre très ensoleille. Au cours de la période 1997-2002, plusieurs études visant à analyser l’activité des pongistes femmes expertes en match étant conduites en référence à la théorie du cours d’action (Theureau, 1992, 2004). Malgré ce petit message qui va surement vous contrarier je vous souhaite une agréable session d’entrainement au picot long. En espérant une réponde de votre part de référence assez rapide (comme un top spin suivie d’une carotte!!)
En fait, combien de forumers s’intéressent au ping féminin ici ? Par exemple, si on relève une centaine de connexions sur un lien qui donne la liste des participants à un Open, on en relève seulement 25 qui consultent la liste des participantes. Pourquoi ce désintérêt relatif ici ? Est-ce le même désintérêt dans nos clubs ?
Localement, au plus bas niveau féminin, je suis parfois surpris des longs déplacements qu’elles doivent faire. En plus, il n’est pas rare que ce soit la même fille qui prenne sa voiture à chaque fois, les autres étant trop jeunes et n’ayant pas le permis ou de voiture. Chez les garçons, on a plus de facilité pour assurer une rotation à ce niveau.
Après je ne suis pas certain que la FFTT soit l’unique responsable de la relative désaffection des filles pour le ping. Il suffit de se rappeler de tous les comportements machistes, des réflexions graveleuses dans nos clubs et en tournois.
Je viens de regarder vite fait les clubs de ma région. J’ai noté quelque chose de surprenant et positif, des ententes entre deux clubs uniquement pour les filles de niveau national (Lille/Leers), (Seclin/Baisieux) par exemple. Les deux premiers ont au moins une équipe masculine au niveau national et n’ont peut-être pas les moyens d’assumer financièrement seul une équipe féminine de niveau national. Les deux suivants sont des clubs plus modestes et ils auraient peut-être plus de mal à exister en N3 ou atteindre ce niveau sans cette fusion.
Par contre, leurs équipes féminines de niveau régional jouent sous leur propre écusson.
Je précise que ces ententes concernent des clubs géographiquement éloignés d’environ 25km, mais dans la métropole lilloise.
Enfin, je l’ai souvent entendu et je trouve ça un peu dommage. Nombre de filles ne veulent pas disputer de championnat féminin et préfère être intégrées au championnat masculin. Pourtant, il me semble qu’elles peuvent disputer les 2, non ?
Ca m’a pas mal choqué de voir les feminines jouer au championne d’Europe à Nantes avec a coté, un match masculin qui monopolisait 100% des médias et une bonne partie du publique…j’ai trouvé ça indécent…
D’accord avec toi. Ceci dit, les filles passionnées par la pratique du ping vont là où il y a un projet et une ambition sportive.C’est pourquoi très peu de clubs sont représentés. Le jour où cette ambition n’est plus au rendez-vous, elles se barrent. Dans notre club, on vient de démarrer un projet de ping féminin . Elles doivent être entre 20 et 25 désormais. Certaines sont venues pour la compétition et ont accepté de redémarrer au plus bas niveau, des jeunes progressent et sont en train d’émerger et des loisirs sont venues et il n’est pas exclu qu’elles fassent de la compétition.
Il faudrait que j’interroge notre président pour savoir comment il a réussi à mettre en route si rapidement et si efficacement ce projet. Après, au club, il y a un noyau dur avec un sacré réseau dans le ping régional. Ça doit aider…
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Kaamos
(Ma Lin Carbon FL | Rakza X Soft | Fastarc C1)
#135
Dans mon ancien club, il y a une R1 féminine qui va souvent affronter des classements entre 5 et 9.
Je ferais pas des kilomètres pour ça quand il y a du 13 en PR côté messieurs…
Bien sûr et tant mieux pour elles, réussir à se mobiliser pour progresser et jouer ensemble entre femmes c’est très bien, souvent c’est possible dans les coins moyens grands, cf Carvin qui accède à la N3 avec une belle équipe soudée
Personnellement je ne pense pas que le faible championnat féminin (ou il faut effectivement faire un nombre de bornes incalculable pour jouer à un niveau moyen) soit la cause mais plutôt la conséquence du faible nombre de licenciées.
Je ne pense pas que le ping soit plus machiste qu’un autre sport, voire même un peu moins, toutes les fois ou il y a eu des féminines au sein d’une équipe masculine j’ai plutôt observé des comportements respectueux (après il y a cons comme partout hein…).
Il faudrait effectivement demander aux personnes concernées, mais je ne suis pas sur qu’un championnat féminin plus performant / mieux construit soit ce qui pourrait amener des féminines au ping. Le problème n’est pas vraiment de garder des féminines une fois qu’elles ont atteint un certain niveau, mais plutôt d’amener des féminines au ping tout simplement (après on verra dans un second temps s’il y a réellement une défection à partir du moment ou elles atteignent un certain niveau).
Je ne sais pas quel est l’apport de la FFTT la dedans (et si ça aura effectivement un impact), mais le fait que Pithika Pavade soit mise en avant au sein du groupe Génération 2024 peut être un bon coup de pouce pour le ping féminin en France car d’autres gamines pourront voir une petiote qui leur ressemble jouer au ping et elle pourrait faire des émules.