ben, l’abstinence justement
dans les arguments a été cité le régime sans gluten … Il faut alors parler du dopage à l’AICAR qui permet sans effort d’augmenter la masse musculaire et bruler les graisses. Et le régime sans gluten est un des alibis utilisés pour justifier certaines transformations physiques « miraculeuses » dans ce cas.
Tiens je ne connaissais pas…
Moi non plus je ne connaissais pas mais bon vs savez ce que je pense du régime sans gluten de Djokovic. Voir le sujet dédié au dopage!
Tiens C est bientôt la saison des palombes!
Plus jeune, j’ai progressé vraiment par palier, par déclic : il ne se passe rien pendant 1 an, et puis en une saison 3 ou 4 classements d’un coup.
Idem pour certains joueurs du club, d’autres jeunes souvent, mais pas que. Bien sûr c’était d’abord une question d’opportunités de jouer des adversaires + fort et de faire des perf’ en jouant dans des équipes supérieures mais si le coach ou les capitaines d’équipe avaient fait ce choix : c’est qu’ils avaient déjà noté une grosse progression à l’entraînement ou dans les compétitions individuelles. Notre point commun par rapport aux pratiquants qui jouaient régulièrement, avec motivation, mais qui ne donnaient pas l’impression de vraiment progresser ?
Une sorte d’insouciance, se bagarrer sur tous les points, ne pas se contenter de « remettre la balle », jouer pour gagner et pas juste pour ne pas perdre, un engagement complet dans les coups d’attaque, une capacité à être relâché, se persuader que tel ou tel de nos coups est très bon et peut mettre en difficulté n’importe quel joueur… Ne pas stagner dans des schémas de jeu rassurants mais qui ne permettent pas de prendre le dessus sur l’adversaire.
ça c’était de mémoire le ressenti vécu, mais ce déclic ne se décrète pas : même avec toute la préparation mentale du monde, yoga, abstinence, régime sans gluten ou ce que vous voulez… ça passait d’abord par l’entraînement : dans lequel il fallait se donner à 100% et avoir la possibilité de jouer et d’apprendre avec des joueurs plus forts.
Après le régime sans gluten quant on y est allergique,c’est l’idéal sinon on prend le bâton pour se faire taper dessus😉
Oui enfin moi je suis pour l’instant un peu sceptique sur ces histoires d’intolérance au gluten. Je pense qu’il y a un effet de mode et que pas mal de gens mangent tout simplement mieux depuis qu’ils essayent de supprimer le gluten. On verra dans les années futures mais un revirement ne me surprendrait pas plus que ça.
Écoute, je ne te souhaites que ça t’arrive😄
J’ai regardé pas mal de reportages sur la bouffe ces derniers temps (chaines cash investigation ou envoyé spécial). Le problème est surtout la modification profonde de la chaine alimentaire, pour augmenter les rendements dans la création des aliments et c’est surtout cela qui créé des allergies ou intolérances alimentaires.
Pour les régimes sans gluten, le « Djoker » a contribué à lancer cette mode, avec sa nouvelle invincibilité miraculeuse au début de cette décennie, en faisant coup double : victoires en séries et sponsoring du sans gluten.
Il y a peut être un effet de mode pour certain,mais,la réalité est bien là, perso allergique gluten et lactose,bonjour détresse. …si Roothoft est médecin il pourrait répondre peut être? Bon fin du hs et pourquoi ne pas créer un post à ce sujet🤔
Je pense que c’est un peu pareil pour tout le monde, parce qu’il faut beaucoup de temps pour que ce qu’on maitrise à l’entrainement se mette en place naturellement en match.
Oui. donc la question : pourquoi un jour ça finit par se mettre en place ? il s’est passé quoi dans la tête? pourquoi certains ça se fait vite et naturellement, pour d’autres moins ou pas ?
On peut répondre bien sûr t’es doué ou pas, ton club n’a pas assez de joueurs etc…
mais je crois que la plupart d’entre nous aimerait repérer les petits trucs en plus qui peuvent aider à avoir ce déclic. D’ailleurs tout a du déjà être dit dans les 3000 post…
Je vais vous raconter un peu mon évolution perso.
j’ai commencé le ping J1 (en ayant un physique déjà développé / Foot depuis l’age de 6 ans & Ski pendant 2 ans) bref j’étais prêt physiquement)
J’ai fait NC / 60 /40 / 30 / 25 / petit numero … - je vous laisse faire le parallèle avec les nouveaux classements
j’ai eu la chance d’être dans un gros club qui faisait confiance aux jeunes.
1ere Année R3
2eme Année R2
3eme Année R1
4eme Année N3 / N2
Bref j’ai toujours joué pendant ma phase d’apprentissage sur des niveaux supérieurs au mien et pour moi c’est toute la différence !!! une bonne relance.
De plus, j’étais dans une équipe supérieur à mon niveau (c’était plus facile d’incorporer 1 personne sur 6 sans obligation de points qu’a l’heure actuelle).
Donc oui, j’avais peut être des prédispositions, mais le procédé de mon club de formation y sont aussi pour quelque chose
Quand on est jeune je pense que c’est très important de jouer plus fort, on a une capacité d’adaptation très rapide. Cette année on avait deux jeunes 12 qui ont joué avec nous en R1, l’un est 1470 et l’autre quasi 14, mais les 2 jouent 15 sans problème, alors qu’en 1ere phase en R1 ils ne gagnaient pas.
C’est ça qui fait progresser, de jouer des joueurs qui nous obligent à nous appliquer tout le temps si on veut avoir une chance de gagner le match.
Joli, un bel exemple de progression !
et les équipes de 6 en 3x2: bien vu, c’est vrai que ça permettait plus facilement de faire progresser un joueur en le faisant jouer au-dessus.
Et pour toi, entre ton niveau 40 et 25 : c’était quoi la principale différence au niveau de ton ressenti ? (désolé si tu as déjà parlé ça quelque part dans les milliers de post précédents…)
Après c’est important travailler son classement bas et jouer des joueurs moins forts aussi. Quand tu joues sur plus fort c’est facile. Si tu perds c’est normal. Donc forcément tu vas jouer plus relâché.
Sur moins fort c’est là que la tête elle travaille
Oui tu as raison sur ce point.
jouer toujours en perf c’est facile, j’ai eu quelques difficultés quand j’ai été dans mon équipe définitive de N3 ou je devais faire mes points et surtout que tes coéquipiers comptais vraiment sur toi.
La c’est plutôt le coté psychologique qui rentre en compte, il m’a fallu quelques rencontres pour me sentir près même si j’avais le niveau technique (cela fait pas tout)
Je me reconnais dans ce que tu dis. C’est vraiment difficile d’assumer quelques fois. J’ai fait D1, r3, R1, pré nat, n3, n2, n1 pour ma part.
Et les fois où je me sentais le mieux dans mon ping c’est pas après une grosse perf mais surtout en confirmant ne pas perdre un non numéro.
C’est ce qui forge le plus
Je ne suis pas Jérôme mais je peux quand même apporter quelques éléments, sans être très précis sur le classement vu que je n’ai pas joué en France depuis longtemps.
L’idée pour moi est qu’un 40 a déjà acquis de bonnes bases, mais que le 25 commence à les consolider et à bien les exploiter.
Un 40 est un joueur qui a les bases du ping, qui sait à peu près tout faire en bonnes conditions, quand la balle n’est pas particulièrement difficile. Un 25, c’est un 40++ qui sait faire les mêmes choses avec plus d’intensité, plus de justesse et moins de déchet, avec une adaptation tactique et technique plus rapide.
Pour reprendre les entraîneurs qui avaient été cités plus haut, je pense que c’est dans ce sens qu’ils disaient que le ping commence à niveau 16 ou 18. On peut ne plus se focaliser sur la réalisation des gestes techniques et on peut commencer à se concentrer sur l’aspect du jeu. Bien sûr, il y a encore une énorme marge de progression technique, mais ça n’est plus au premier plan.
Je suis d’accord avec toi. Pour passer un cap au niveau du classement ça se joue surtout au niveau du service pour moi.
Jusqu’à n3 inclu en championnat, la majorité des joueurs servent long. Le service sort quasi systématiquement.
À partir de n2 c’est là que ça se complique. Les joueurs ont vraiment un schéma de jeu en tête avec un ou plusieurs services efficaces. Courts et avec une remise durcie. Le jeu est fermé et on a l’impression de ne rien pouvoir faire par moment.
En n1 je vous raconte pas. J’ai quelques souvenirs qui reviennent et c’était pas beau à voir