la méthode Coué, toujours positiver…
c’est clair, et c’est bénéfique dans le sport comme dans la vie en général.
Si tu te lèves déjà le matin en tirant la tronche, t’étonnes pas de passer une journée de mer… 
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Dans la méthode Cauet, il y a eu aussi des scènes cultes
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Le mental c’est aussi ça, accepter la défaite et passer à la suite sans ressasser le négatif
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Après attention il est en fin de carrière, est considéré comme le plus grand de tous par la majorité !
Ce n’était peut-être pas comme ça, il y a dix ans…
Pete Sampras disait, lui, que lorsqu’il avait perdu un match, il lui fallait une semaine pour avoir envie de retourner à l’entraînement !
Pourtant c’était également un joueur exceptionnel et avec un comportement hors et sur le court exemplaire!
Je pense qu’il peut y avoir plusieurs écoles…
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hélas Djoko et Nadal vont lui passer devant. Qui l’eût dit, il y a quelques années ?
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Heureusement qu’il faisait pas le championnat par équipes de ping le père Sampras, s’il perd son premier match t’es mal pour le compter dans les points faits pour la suite 
Le golf pour ça c’est vraiment un truc hyper dur mentalement.
Premier trou tu commences par un double bogey, si t’es un mauvais comme moi tu te dis que tu vas devoir te battre contre le score pendant tout le parcours, si t’es un bon tu effaces complètement ça de ta tête au départ du deuxième trou.
Si tu lis la phrase, ça ne veut pas dire qu’il n’y va plus… ça veut dire qu’il n’a plus envie d’y aller !
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Il perd la coupe davis contre la France… d’ailleurs de mémoire c’est lui qui perd les deux simples (Agassi gagne les siens) !
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Guy Forget bien sûr et surtout il y a eu un super Henri Leconte !!!
Très bon
J’ai lu une biographie sur Agassi y a pas très longtemps, je vous la conseille ça se lit hyper bien:
https://livre.fnac.com/a2750787/Andre-Agassi-Open
Impressionnant les périodes de doutes par lesquelles il est passé.
Il n’a jamais compris comment Sampras pouvait aimer le tennis à ce point alors que lui détestait ça.
C’est une chose qui l’a rapproché de Steffi Graff à leur rencontre, tous les deux détestaient jouer au tennis.
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J’aime beaucoup cet exemple. Je pense acheter son bouquin.
Je vais vous faire part d’une de mes réflexions de preparateur mental :
Pendant longtemps on a observé les joueurs pros et on a établis que pour avoir un bon mental (le leur, parce qu’après tout s’ils sont à ce niveau là c’est qu’ils ont un bon mental) il faut avoir X Y Z.
Et on a copie X Y Z sur les autres en leur disant que s’ils avaient A B C c’était pas bien et qu’il fallait mieux X Y Z.
Je trouve ça très nocif. De plus en plus mon message est de respecter qui on est, d’écouter ses émotions. D’accepter ses moments de moins bien et d’apprendre à les aimer aussi.
Le plus gros frein au changement, c’est l’envie de changer. Ça peut paraître paradoxale mais c’est le cas.
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Magnifique biais du survivant au passage
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Tout à fait 
Mais j’espère que tu as compris que je dénonçais ça plutôt que l’inverse 
De mémoire il s’agit du biais logique établis par les crash d’avion pendant la 2nd guerre mondial ?
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C’est ça
Oui oui j’avais bien compris
Entre ça et le fameux « correlation n’est pas causalité » (genre X Y Z peut très bien découler d’autre chose W qui est un vrai facteur causal de leur succès, et donc ne pas avoir W et chercher X Y Z ne marchera pas, voir pourra être contre productif).
Surtout sur le mental…
Regarder Man versus Wild 
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De les accepter ou pas, de les aimer ou pas, car comme tu disais, il n’y a pas qu’une façon d’entrevoir ça !
L’important c’est de pouvoir repartir sur du positif! On peut être profondément dégouté de quelque chose et se servir de cet état pour trouver un sur-plus de motivation, qui peut permettre une remise en question très objective et relativement profonde!
Perso, j’aime bien la façon qu’à Waldner de voir les choses, essayer de jouer chaque point comme le plus important de sa vie, afin de s’habituer à jouer avec la pression !
Ça j’en suis convaincu ! Ça me parle ! Avec aussi la peur de l’inconnu qui s’ajoute pour beaucoup !
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Tu peux développer un peu stp? 
Je crois savoir ce que tu veux dire mais pas sûr!
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Je vais contextualisé avec un souvenir de coaching mental que je vais très grossièrement résumé.
Un joueur me parle qu’il souhaite changer pour libérer son potentiel. Je pars du principe que s’il doit être libéré c’est qu’il est enfermé (les métaphores marchent très bien en PM).
Je lui demande c’est qui le gardien de cette prison, il me dit qu’il s’agit de sa colère qui prend tout le temps le dessus et qu’il préférerai rester calme et que tout le monde lui dit que ça lui permettrai de gagner plus de point.
Je renverse le cadre à ce moment là en laissant entrouverte la possibilité que se soit sa colère et sa culpabilité qui est en prison et que c’est son soi pure de qui je dois être pour être bon qui est le gardien.
Le soi « pure » ou « chevalier blanc » ne peut pas partir vers le changement s’il est occupé à garder quelque chose en prison. Vaut mieux sortir la colère de sa prison, l’accepter, c’est à dire anéantir l’idée qu’il faille s’en débarrasser puis avancer ensemble.
Après on peut discuter de la raison de cette colère. Mais la nier, ne pas l’accepter, vouloir la cacher ou établir qu’elle est là « à cause de » est davantage un problème que sa présence.
Vouloir aller contre ça crée une sorte de résistance mental, un conflit qui peut exister sous forme de dialogue interne. Par exemple « faut que je fasse ça » vs « mais on s’en fout ».
La plupart des gens qui viennent se faire coacher veulent qu’on les aide à faire gagner l’un des deux camps. Mais y a d’autre moyen de résoudre le conflit.