on peut pas comparer deux sports , tout dépend du niveau de la façon de jouer ; j’ai fait les deux sports ; au tennis de table je suis monter jusqu’à anciennement 15 ( environ num 250 300 auj) et au bad je battais jusqu’a des C3 et accessoirement au tennis j’étais 15/2 ; la dépense d’énergie était très variables selon le style de jeu en face ,je pouvais être autant crever dans les trois sports .
2 « J'aime »
C’est peut-être du au fait que tu n’as pas le même niveaux de tous les côtés et que tu compenses physiquement, non ? Le badminton, je n’ai jamais pratiqué à part en loisir très occasionnel, mais le squash, j’en fais pas mal. Eh ben, ça me fatigue moins vite que le ping. Après un match max (~ 20 minutes), je suis essouflé et je sens le poids de l’effort (sans être carbonisé, mais en jouant défense, je bouge beaucoup et des échanges assez longs). Au squash, je joue souvent avec des plus faibles, et du coup je me “promène” beaucoup plus, ils expirent avant moi. Du coup, j’ai tout le temps de récupérer et de gérer.
Possible.
C’est toujours pareil, ça dépend comment on s’en sert, et de l’entraînement. L’entraînement, y’a que ça de vrai.
1 « J'aime »
Il y a un autre phénomène qui amène un risque. Ce sont les personnes qui se mettent au tennis de table tard comme le papa ou le papy qui amène le petit et qui en profite pour taper la balle aussi.
Il s’agit parfois de personnes qui ont arrêté toute activité physique depuis des années et se disent que le ping c’est facile puisqu’elles ont terminé 3ème du tournoi du camping au mois d’août.
Pour ces personnes le risque est vraiment important car au départ on sous-estime le stress de la compétition. J’ai moi-même commencé à 28 ans, et je ne connaissais pas cet aspect de la compétition.
Il suffit que les matchs se déroulent le vendredi savoir après une grosse semaine de travail et une compétition stressante et lorsque tout cela redescend, il y a ce risque.
J’ai déjà entendu parlé d’accidents cardiaques au ping mais rarement lors d’un effort. Plutôt après un match ou même après la rencontre.
Heureusement, ce n’est jamais arrivé dans une salle dans laquelle je jouais.
1 « J'aime »
comment explique-t-on cela médicalement ?
Je suis plutôt d’accord avec toi,
quand j’étais plus jeune je m’entraînais 4 fois par semaines au tennis de table, un peu lassé, je me suis mis au badmington pour voir. Comme j’étais pas mauvais je me suis vite retrouvé dans le groupe dans jeunes qui s’entraînaient 4 fois par semaine au bad, les gars me battaient, mais je peux vous dire que j’avais un bien meilleur physique qu’eux. Pourtant les structures de club étaient équivalentes et je n’étais pas spécialement un monstre de physique au ping.
Pareil dans mon cas, j’ai entendu uniquement des cas après l’effort.
Je ne connais pas toutes les subtilités mais voici le résumé, cardiologues spécialistes, n’hésitez pas à me reprendre. La fréquence cardiaque baisse le plus vite lorsqu’on passe du plein effort à une position de repos. Pour des organes comme le cerveau, une “panne” d’oxygène, même très courte peut être fatale. Un coeur qui ralentit trop vite, pour des organes non habitués à fonctionner en mode anaérobie, c’est danger de mort.
On peut tenter de s’en prémunir par la conscience de son corps… quand ça ne va pas dans l’effort, on le sent très vite et l’effort diminue. Par contre, quand le rythme cardiaque redescend en flèche, il ne s’auto-stabilise pas forcément. Et même si on sent que ça ne va pas, souvent, on fait l’erreur de se dire qu’il faut se calmer, se reposer… alors qu’en fait, il vaudrait mieux se mettre un peu en mouvement, genre marche lente, pour relancer légèrement le rythme cardiaque. L’ironie est qu’on a que peu de risque s’il n’y a pas d’effort préalable. Comme le disait @Gilles71:
Le risque n’est pas que la montée du rythme cardiaque, c’est le changement de rythme. Et comme après l’effort, on est souvent moins attentif, les accidents arrivent souvent à ce moment. Un cardiologue attentif surveille aussi la récupération post-effort et la stabilisation du rythme cardiaque.
1 « J'aime »
pareil je ne connais pas toute les subtilités,peut être que cela arrive car le corps s’est mis en mode “apporte toute l’oxygène aux muscles”, du coups vaisseaux sanguins dilatés à fond, coeur en rythme accéléré, cerveau un peu moins alimenté, du coup il y aurait un trop gros afflux sanguin qui n’est pas exploité quand on passe en repos ? Je serai curieux de savoir cela, faudrait un spécialiste cardio pour nous éclairer
J’ai essayé de chercher sur Internet mais il ne parle que de mort pendant l’effort.
Pourtant moi aussi j’entend parler de mort aprés l’effort. Et pour le test d’effort je confirme qu’on peut y laisser sa peau, j’en ai fait 2 et a chaque fois j’ai l’impression que je vais claquer sur le vélo 
En fait c’est un crash test, sa passe ou tu sort dans un sac noir 
1 « J'aime »
purée, c’est atroce ce que tu dis…
1 « J'aime »
ça me fait penser à une blagalacon que je viens de lire sur face de bouc… “hier au boulot, j’ai encore emballé une meuf” “ah ouais ? génial ! tu fais quoi comme boulot ?” “médecin légiste…” 
3 « J'aime »
Passe un test d’effort et on en reparle après. Enfin si tu as survécu !!!
justement, je compatissais !
Mon généraliste m’a dit un jour je cite " je ne devrais pas le dire, mais j’ai vu plus de personnes avoir des accidents cardiaques à la suite d’un test d’effort que suite à la pratique d’un sport"
Clair que ça donne pas forcément envie
c’est peut-être un peu exagéré
Oui certainement, mais sur le fond ça ne rassure pas un hypocondriaque comme moi
tout peut arriver bien sûr, j’ai perdu deux proches qui allaient à l’hôpital pour faire des tests.
Moi je suis allé faire mes tests pour le sida. Tout est positif, ouf !
1 « J'aime »
Celle-là, elle est bien grasse comme on dit chez nous…
Ca ne me surprend pas du tout. Et tu sais pourquoi ? Parce que les tests d’effort sont prescrits aussi à des gens qui ne sont pas en bonne condition, ceux-là sont vulnérables… les sportifs pratiquent une activité régulière et sont donc moins susceptibles de faire un effort extraordinaire sans s’en rendre compte… Même si y a des exceptions partout…