Evolution du nombre de licenciés

après la claque de 2014/2015, qui a vu notre fédération perdre 10 000 licences en 1 an ! le rebond semble là, mais plutôt léger. nous sommes sur une base de 182000 licences en fin d’exercice, soit une progression de 2000 environ. mais quand je regarde les stats licenciés sur la france, une chose m’interroge particulièrement, et ce depuis des années. systématiquement, les régions du nord pas de calais et de lorraine, et c’était le cas avant aussi de l’alsace, ne licencient les joueurs promos qu’en toute fin de saison. comme je ne pense pas que les nouveaux adhérents affluent en juin, il n’y a que deux possibilités. où les licences sont prises en décalé, en juin 2016 pour la saison 2016/2017 par exemple, où tous les licenciés promotionnels jouent toute la saison sans être assurés…peut-être parce que pour se simplifier la tache toutes les licences sont regroupées et prises en même temps. c’est très curieux, peut-être quelqu’un ici a-t-il la bonne explication ?

Des promos arrivent toutes l’année chez nous (encore 2 jeunes hier).Mais les licences sont faites au fur et à mesure, et sont surtout rentré après réception du certificat médical.

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  • 12200 licences par rapport à 2014/2015 au 07.avril 2016.

Bête question d’étranger, mais les stats viennent d’où ? C’est dispo sur le Spid ou le site de la fftt ou … ?

Tout est là : http://www.fftt.com/fftt/stats/main.htm

Dans le cadre des NAP (Nouvelles Activités Pédagogiques), des initiations au ping sont faites… en contrepartie d’une licence promo :sunglasses:

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moins 7300 licences par rapport à l’année dernière au 18 mai. encore 1 mois et 10 jours pour inverser la courbe.

Côté Loire-Atlantique, après la grosse baisse de la saison dernière (-340), nous revenons cette année aux chiffres d’il y a 2 ans.
Dans le détail, c’est sur les licences promos qu’on note la progression et qui permet d’avoir de bons chiffres.
Les licenciés tradis sont tjrs difficiles à garder…

La FFTT mise sur les licences événementielles , ou comment fausser les chiffres , mais en compète le niveau baisse par manque de compétiteurs .

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Pour le Finistère, il y a eu une baisse très forte sur la saison 2015-2016 : 620 licenciés de moins dont beaucoup de seniors, de vétérans. Personnellement, je n’ai pas pris de licence cette année et je n’en reprendrai pas une l’an prochain.

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Pour les licenciés FFTT, le gros des troupes sont les veterans et les seniors.
La population se paupérise et les veterans arrêtent de jouer.
Beaucoup de clubs axent leurs politiques sur l’éclosion des jeunes talents,
mais les résultats sont mitigés.
Les prix des licenses augmentent, cela ne va pas dans le bon sens.
En fait le nombre de licenciés a beaucoup augmenté, pour attendre un sommet en 2012.
C’est le nombre des associations qui a terriblement baissé depuis 1989.
La professionnalisation de notre sport a eu raison de beaucoup de structures pour des raisons financière, et d’age des dirigeants.

http://www.fftt.com/fftt/stats/STAT_Saison1213_evolution_fftt.pdf

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D un côté vu le manque de visibilité de notre sport…
C est difficile pour un gamin de découvrir le tennis de table .
L idée c est que les clubs ce rapprochent des Ecole pour faire inclure le tennis de table dans les TAP, quelques séances peuvent aider à attirer des jeunes dans les clubs

Il a aussi de plus en plus d’offre sportive et le tennis de table est souvent mal considéré dans les municipalités. Alors si a la tete des clubs il n’y a pas des dirigeants motivé, je penses que des petits club peuvent vite fermer.

Aujourd’hui les parents cherchent des clubs actifs, les clubs cherchent des jeunes. Si un club ne fait pas un pas vers les jeunes, à force la base vieillit et suffit parfois d’un ou deux arrets pour qu’un effet domino arrive.

Après suffit d’etre très actif dans son club, dans ces villes et on arrive a faire +40% de licenciés en 3 ans (notre cas). Aujourd’hui faut plus se battre qu’avant je pense.

Pour ma part, j’ai arrêté parce que j’ai saturé après 33 ans de pratique : joueur, entraîneur, dirigeant. Le championnat à 4 joueurs a enlevé le côté sympa de la compétition : coatching pas toujours existant, obligation de jouer un double avec des joueurs variés, manque de copains qui peuvent te supporter pendant que tu joues. Je ne dois être le seul à ne plus trouver le plaisir qu’il y avait avec le championnat à 6.
Pour les TAP, ce n’est pas simple. Peu ou pas d’écoles offrent des tables ; déplacer des jeunes vers les clubs n’est pas facile pour un TAP qui dure 45’ ou 90’. Il faut un transport qu’il faut financer. Et avoir des personnes disponibles à 16h00 (dans ma ville) pour assurer une séance.
Après il faut un effort des clubs, de tout le monde pour remonter la pente de licenciés parce que la concurrence avec d’autres sports est grande. Ma fille a abandonné le tennis de table pour le handball. C’est très populaire chez les filles.

Manque de copains… Manque de copains !
C’est pourtant la base, m… !
C’est la triste vérité, les dirigeants misent sur le niveau sans avoir la base.
C’est pourtant pas compliqué de travailler pour la base.
La base est essentielle, c’est ce qui permet d’avoir des équipes de copains.
Nous vivons la meme chose dans notre structure, on mise tout sur des jeunes qui vont partir à 18 ans.
Résultat, les copains n’ont plus leur place et arrêtent le ping.
Quand est ce que les dirigeants vont intégrer ça dans la politique du club ?
On marche sur la tête …

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Hmmmm …
A mediter !
En tout cas, ce ne serai pas du tout négatif.