Ok… ton adversaire transpire pendant le match… ça coule sur le plateau de table ok ?
Tu sers… y’a échange plus ou moins long… TA balle touche la goutte de transpiration adverse…
À toi de faire ton deuxième service… 
c’est sur que c’est compliqué, mais si tu penses à tout et bien tu ne bouge plus de chez toi et tu vie en vase clos !!!
Aller en course (si pas de drive) c’est beaucoup plus compliqué à gérer.
si une goutte de sueur tombe sur la table ou sur la raquette on l’essuie immédiatement . d’ailleurs on le faisait avant même le coronavirus.
1 « J'aime »
La solution, c’est un gant latex à la main qui ne tient pas la raquette: on ne touche les balles qu’avec cette main, c’est ce que je fais, et le réflexe est vite pris pour ce qui est des balles ainsi qu’un indicateur très voyant pour ne pas se toucher le visage avec cette main.
Franchement les mecs, respect pour votre motivation. 
Oui, c’est ce que j’allais dire. Il faut quand même être sacrément mordu pour s’astreindre à tout ça.
Non, seulement avoir envie de jouer, rien de terrible je vous assure, on prend vite de nouvelles habitudes. Et le plaisir de jouer est bien là, même si le confinement et les 3 mois d’abstinence ont bien niqué mon jeu !
Le seul fait que vous soyez sur le forum en ce moment, prouve que vous pensez ping… 
1 « J'aime »
C’est vrai et on oublie vite et puis un jour on se met un gros coup de pied au c… et ça repart comme si de rien était. C’est mon cas.
Faudrait… vivre en vase clos… mais ce n’est pas possible…
Maintenant, tu peux aller marcher, faire du vélo…
Mais jouer au ping dans une salle fermée, avec la transpiration, la condensation, la chaleur et l’humidité, avec des mecs qui expirent fort, qui crient. et parfois qui feront n’importe quoi… avec, désolé de le dire, ce putain de virus qui rôde …
Mes courses ? Je vais au drive un maximum… quand je peux éviter le monde, j’évite.
Ah mais tu as raison tant que c’est possible, mais il y a des endroits ou pour faire avec et bien tu prends le maximum de précautions, tout en n’arretant pas de vivre.
1 « J'aime »
Non.
Je suis désolé d’être aussi sceptique voire pessimiste.
Cela ne veut pas dire que je n’ai plus la passion ni l’envie de jouer…
Pour le niveau, oui j’ai constaté lorsque j’ai joué en extérieur avec mon coéquipier une nette perte de niveau après 5 mois.
Bien sûr que je pense ping… mais je me dis qu’il vaudrait peut-être mieux attendre que le virus ait disparu avant de reprendre… 
1 « J'aime »
Je me dis de plus en plus la même chose. Un ou plusieurs vaccins efficaces, avec bonne tolérance, vont sans doute être mis à disposition d’ici 8 à 12 mois. Seule une vaccination étendue au niveau mondial viendra à bout de cette épidémie. Il est donc urgent… d’attendre… à mon immense regret.
2 « J'aime »
C’est totalement ça. Hormis le cas des personnes à haut risque vs le covid, il faut garder en tête qu’on parle de mesures pour REDUIRE la contagiosité. Donc oui, il restera toujours des possibilités qu’il y ait quand même contagion par des coups de billard à 4 bandes, mais c’est pas la question… on cherche les moyens les moins contraignants possibles et qui limitent/éliminent les plus gros vecteurs de contagion.
Si le seul problème qui reste c’est le mec qui touche la table, la balle qui touche la table, puis toi qui touche la balle avec la main… c’est gagné!
Si un mec contaminé ne transmet plus le virus qu’à 1 personne par semaine au lieu de 2 (chiffes sortis du chapeau), ça a un énorme impact positif (regardez la différence au bout de 10 semaines…).
ou alors faudrait vivre normalement car après tout les maladies c’est la vie
1 « J'aime »
Tout de même difficile de « vivre normalement » si le système hospitalier ne peut plus arriver à faire face. Faute de moyens mis à sa disposition notamment.
ou le handicap, notamment respiratoire ou cardiaque ou neurologique, ou encore la mort… tout dépend des facteurs de risques et donc des risques qu’on prend soi-même. Il y a beaucoup de maladies qu’on ne peut malheureusement pas éviter facilement et en effet,
comme tu le dis avec justesse, c’est la vie… Par contre on peut essayer de ne pas trop s’exposer à cette Covid, d’autant qu"il est vraisemblable qu’on en soit quasiment débarrassé à relativement court terme : 10 mois à un an. Un peu de patience ne nuit jamais dans ces circonstances… Il ne faut pas avoir fait 8 ans d’études médicales, et parfois quelques autres en plus pour une spécialité, pour comprendre qu’une salle de Ping, avec des joueurs s’oxygénant un peu plus que de coutume sans masque en milieu relativement confiné, est un lieu de contagiosité non négligeable pour des sujets à risque ( âge, HTA, surpoids, diabète, immunodépression etc…).
Mais chacun fera bien entendu comme bon lui semble.
4 « J'aime »
C’est vrai que l’idéal est d’avoir la force de caractère suffisante pour s’imposer une année totale d’abstinence.
Je crains, hélas, de ne pas l’avoir, néanmoins je suis très vigilant quand je suis à la salle. Beaucoup plus que les autres, car même les plus disciplinés « non à risque » font des imprudences que j’ai constatées. Ils ne sont pas sensibilisés de la même manière, ça se sent.
Donc, zéro risque, sûrement pas, risque mesuré, je pense que c’est possible. D’autant que faire très attention à tout (même en dehors d’une salle de ping) pendant un an me semble utopique, on ne peut en avoir conscience dans toutes les situations.
Le facteur chance joue donc aussi, c’est évident.
2 « J'aime »
On peut s’abstenir et aussi payer sa licence au club pour le maintenir.
5 « J'aime »
Et je pense que ce sera de pire en pire au fil du temps. Surtout en compétition. Et le problème, c’est qu’on sera toujours dépendants du bon vouloir de chacun.