On est un peu Hs mais le problème c’est que j’ai l’impression qu’il n’y a aucune promotion de notre sport qui est faite.
J’imagine bien que c’est un budget de faire de la pub à la télé comme la fédération française d’équitation mais je pense que la FFTT pourrait plus s’engager sur les réseaux sociaux et après essayer d’organiser des événements en France.
Il y’a le Ping tour mais à part les adhérents presque personne n’est au courant de cet événement.
On a l’avantage que notre sport est spectaculaire et prend moins de place que d’autres comme le tennis et M. Secrétin ainsi que Purkart l’avaient bien compris. Donc je pense que cette initiative ne doit pas être abandonnée et que des personnes continuent ce qu’ils avaient commencé
Le décès de Jacques Secretin (ici à gauche, en compagnie de Jean-Philippe Gatien, Patrick Birocheau, Bruno Parietti et Patrick Renversé, de gauche à droite) laisse un vide énorme dans le monde du tennis de table français. (L’Équipe)
Champion d’Europe à deux reprises avec Jacques Secrétin, l’ancien entraîneur national des pongistes français Patrick Birocheau réagit à la suite de l’annonce du décès de l’icône du tennis de table bleu.
25 novembre 2020 à 11h54
Membre, dans les années 1970 et 1980, du cercle des meilleurs pongistes bleus, Patrick Birocheau a notamment été sacré champion d’Europe de double en 1980 en compagnie de Jacques Secrétin décédé ce mercredi. Quatre ans plus tard, les deux même, associés à Patrick Renversé, remportaient le titre européen par équipes. L’ancien patron de l’équipe de France, dont il a longtemps été l’entraîneur national, réagit après la disparition de la légende du « ping » français.
« C’est une page de notre histoire commune qui se referme. Une grande partie de ma carrière est liée à lui. Le titre européen en double et par équipes, le fait que j’ai été pendant douze ans numéro deux derrière lui… Quand je me remémore les images des moments vécus ensemble, je me dis que son départ va laisser un vide énorme. Mais l’homme et le champion resteront dans les mémoires. »
« Il aura été un déclencheur pour le « ping » en France. Grâce à lui, notre sport a été davantage médiatisé »
Patrick Birocheau
« Nous n’avions plus beaucoup de contacts depuis un certain temps, mais cela n’enlève rien au personnage, ni à son apport. Il aura été un déclencheur pour le « ping » en France. Grâce à lui, notre sport a été davantage médiatisé. Et j’ai un grand respect pour cela. Je sais qu’il continuait à jouer. Il préparait notamment les Championnats du monde vétérans. Comme les grands champions le font souvent, il vivait un peu dans son monde. Il sentait les choses autrement. En tous cas, merci l’artiste ! Repose en paix. »
Et s’il y a de plus en plus de contenus, il y aura peut-être aussi de plus en plus de demandes par les passionnés mais également des curieux qui veulent se renseigner. C’est donc une aubaine pour la découverte du ping. D’autant qu’il n’y a plus grand monde sur les médias télé, surtout chez les jeunes notamment.
Merci ! Mon commentaires ne visait pas à décrédibiliser le palmares entendons nous bien, je me posais juste la question sur l’écart entre palmares national et international. J’ai une mauvaise connaissance de la géopolitique du ping à cette l’époque. La place de l’asie ? Les forces en présence en europe etc…
La place des asiatiques était déjà prépondérante à cette époque, et l’Europe était quant à elle dominée par la Suède et l’Europe centrale. Même quand on est le meilleur dans son pays, ce n’est pas facile de franchir le pas de l’international. On peut faire la comparaison avec Timo Boll, qui n’est parvenu qu’une seule fois dans le dernier carré des championnats du Monde malgré ses 7 titres individuels en Europe. C’est un peu la même chose.
Jacques Secrétin fait partie des rares français qui ont réussi à se placer, en s’octroyant plusieurs titres en Europe et un mondial en double mixte. Et sa carrière pongiste ne s’est pas arrêtée là : pour son activité de développement et de promotion du tennis de table qu’il n’a jamais cessée, on ne peut que le regretter et le remercier .
Mon fils - Tours, 15 ans, n°471 - avait joué contre Jacques Secrétin - Pontoise, 52 ans, n°145 - en Nationale 1, en 2002.
Un vrai match de gagneurs, et ça, c’était tout à l’honneur de Maître Jacques. Avec son palmarès et eu égard à leur différence de classement et d’âge, Jacques Secrétin aurait pu prendre son jeune adversaire.de haut. Rien de tout ça, ce n’était pas dans l’adn de ce Monument de sportivité et du ping.
Et puis, comment oublier ses multiples interventions auprès des détenus, dans les prisons? La générosité faite homme.
Nous partageons, mon fils et moi, l’immense peine des siens, de tous ceux - nombreux - qu’il aimait et de tous ceux - nombreux- qui l’aimaient.
