Ce n’est pas ce que disait l’ancien Président des USA.
Ni le nouveau d’ailleurs.
moi je signale a chaque fois maintenant
Qu est que j ai dit mdr. J ai dit qui faut faire attention au vaccin car trop d effet secondaire qu on sais pas faudra attendre 6 ans pour voir les effets secondaires. Donc vaut mieux attendre un traitement qu un vaccin.
Bonne nouvelle ! Le vaccin arrive en 2021. On pourra reprendre une licence pour la saison 21-22 et enfin rejouer sans protocole. Comme à l’époque. Simplement, il faudra une attestation de vaccination obligatoire fournie avec le certificat médical de non contre-indications .
J’aurai tendance à penser la même chose. La mise sur le marché ne pourra apparemment se faire avant plusieurs mois. L’expression « ne pas mettre la charrue avant les bœufs » est appropriée. Mais il y a trop d’argent en jeu sans parler de l’égo de certains scientifiques et je ne parle pas des médias qui en mettent une couche avec leurs « experts permanents ».
En attendant on observe que la prise en charge est de meilleure qualité notamment en évitant au maximum le passage en service de réanimation. Il y a eu de nombreuses découvertes faites par hasard, pourquoi ne pas également y croire.
Par ailleurs je suis un peu inquiet pour les générations futures, car j’ai l’impression que ces « satanés virus » ont la fâcheuse tendance, avec la mondialisation, à montrer le bout du nez de plus en plus souvent.
Ça fait parti du plan.
Sans rire, si vous voulez comprendre la façon de penser de killer. Je vous conseille la chaîne podcast méta de choc, dans sa globalité, et particulièrement les dernières sorties (celles du lien) :
Après ça, vous comprendrez certainement pourquoi la discussion est compliquée.
Édit : pour le contexte, c’est une personne anciennement tenante, notamment de l’idée des enfants indigos, dont elle pensait faire partie.
Sa chaîne est extrêmement bienveillante, et peut être écoutée et par des sceptiques et par des tenants de toute croyance ou théories, sans se sentir froissée ou renforcée. A écouter comme un reportage neutre.
Non mais c’est clair. Ce sont des choses qui nous dépassent complètement et sur lesquelles nous n’avons aucun pouvoir. En discuter ne sert pas à grand chose.
C’est Trump, ta lumière, qui a financé à hauteur de 2 milliards le labo qui le sort (Pfizer)… Alors faudrait se décider sur qui c’est le méchant loup.
Un loup gris, peut être ???
Billard à 12 bandes. Échec en 4 dimensions.
A chaque question, le plan se complexifie. Mais c’est le plan.
C’est le principe du : « pile je gagne face tu perds », où en fait, « face je gagne, mais t’es tombé dans mon piège »
Également : l’ennemi de mon ennemi est mon ami.
Après, si finalement cet ami est également mon ennemi, c’est pas grave, il fallait passer par lui pour le bien
La seule différence, c’est que maintenant les gens en sont conscients. Mais ça ne change rien au plan.
Eh oui, il n’y a pas que l’homme qui sache se défendre et tuer sur cette planète… La fonte des pergélisols, l’empiètement sur les forêts tropicales, l’exploitation déraisonnée des sous-sols, des océans (etc…) nous réservent de vilaines surprises. Je ne suis pas sûr que nous, les vétérans, soyons capables de contribuer à inverser cette tendance, parce que instruits, éduqués et inféodés (consciemment ou pas) à l’idéologie de croissance économique et de consommation.
Les jeunes semblent s’emparer de ce sujet, mais ça a tendance à virer au conflit de générations. Bref, très vaste sujet
Oula que nenni !! Tu as pensé a toutes ces générations de vers qui vont consommer de la marchandise avariée ?
Après le virus mangeur de poumons on va avoir une attaque de vers géants mangeurs d’hommes…
yuck
il faut des oiseaux géants pour bouffer ces vers
Peut-être aussi qu’il y a de plus en plus de gens qui prennent l’avion pour un oui ou pour un non ou qui ne peuvent envisager des vacances à moins de 1500kms…
Article Courrier International
Décryptage.
Covid-19 : Sept questions sur le vaccin de Pfizer et BioNTech
Publié le 10/11/2020 - 16:18
Les logos de BioNTech et de Pfizer supperposés, en photo d’illustration, le 10 novembre 2020. PHOTO / Dado Ruvic / REUTERS
Le résultat provisoire annoncé le 9 novembre quant à l’efficacité du vaccin est sensationnel. Mais des questions demeurent. Ce n’est donc pas le moment de vous débarrasser de vos masques.
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L’annonce des laboratoires américain Pfizer et allemand BioNTech le 9 novembre a fait l’effet d’une bombe. Selon les résultats préliminaires de la troisième phase d’essai clinique, leur candidat vaccin contre le Covid-19 serait efficace à 90 %. Un résultat spectaculaire dont la presse du monde entier s’est fait l’écho. Et certains pays, comme le Japon, le Royaume-Uni, le Canada ou encore l’Union européenne ont d’ores et déjà conclu des accords d’approvisionnement pour se procurer des doses du précieux élixir, selon la Nikkei Asia .
Interrogé par Science , le chercheur Peter Hotez préfère néanmoins attendre encore un peu avant de déboucher le champagne. “Membre d’une équipe de chercheurs travaillant à l’élaboration d’un vaccin contre le Sars-CoV-2, le virus à l’origine du Covid-19, Peter Hotez se fait le porte-voix de nombreux scientifiques quand il déclare qu’en dépit de cette ‘apparente bonne nouvelle […], il est toujours difficile de lire entre les lignes d’un communiqué de presse’, surtout lorsqu’on ne dispose pas des données sur lesquelles il repose”, rapporte la revue scientifique.
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En effet, il n’existe pour le moment aucune publication scientifique qui permet de décrypter ces résultats, les données brutes n’étant pas publiques. Il est uniquement possible de s’appuyer sur le protocole déposé avant le démarrage de l’essai pour savoir ce qui a été mis en place ainsi que sur la bonne parole des laboratoires, relayée dans leur communiqué de presse.
Par ailleurs, Jesse Goodman, ancien responsable scientifique à l’agence américaine du médicament (FDA), dont il a également dirigé le service des vaccins, avant de rejoindre l’université Georgetown, prévient dans Science : “Il reste de nombreuses questions à résoudre.” Voici les principales.
Ce vaccin protège-t-il contre toutes les formes de la maladie, légères et sévères ?
Difficile à dire pour le moment. Le communiqué ne donne aucun détail sur la nature des infections contre lesquelles le vaccin protège . Lorsqu’on fait ce genre d’essai, on compare le nombre de malades dans le groupe à qui l’on a injecté un placebo au nombre de malades dans le groupe vacciné. Et il est intéressant de regarder la répartition des infections (combien sont sévèrement malades ou seulement légèrement) afin de bien comprendre contre quoi le vaccin protège.
“On aimerait voir au moins quelques cas graves de Covid-19 dans le groupe placebo , prévient dans Nature Paul Offit, spécialiste des vaccins à l’Université de Pennsylvanie qui siège au comité consultatif de la FDA, qui évaluera le vaccin le mois prochain, parce que cela indiquerait que le vaccin est susceptible de prévenir [l’apparition] de tels cas”.
On ne sait pas non plus si le vaccin réduit le risque d’hospitalisation ou même de décès, fait remarquer Maria Elena Bottazzi, codirectrice du Texas Children’s Hospital Center for Vaccine Development, interrogée par Business Insider.
En outre, l’étude n’a pris en considération que les personnes qui présentaient des symptômes et qui avaient été testées positives. “Ce qui signifie qu’il n’est pas clair si le vaccin protège également contre les cas asymptomatiques”, ajoute Business Insider.
Empêche-t-il de transmettre le virus ?
Un vaccin qui bloquerait la transmission du virus permettrait en effet d’en finir rapidement avec la pandémie. Pour cela, il faudrait notamment qu’il prévienne aussi les cas asymptomatiques ou les formes très légères de la maladie. Et ce n’est pas gagné.
Dans Nature, Florian Krammer, virologue à l’Icahn School of Medicine de Mount Sinai à New York, qui est également l’un des 43 538 participants à l’essai, estime qu’ “il sera difficile de déterminer si le vaccin de Pfizer, ou d’autres dans la dernière phase des essais, peuvent obtenir un tel résultat, car cela obligerait à tester systématiquement les participants aux essais”. Il ajoute : “On ne peut pas faire ça avec 45 000 personnes.”
En résumé, on ne sait pas si le vaccin empêche la transmission. Dans ce contexte, prévient Business Insider dans un autre article : ne jetez pas vos masques à la poubelle ! “J’espère que les gens ne vont pas s’imaginer que [ce vaccin] sera la solution miracle pour tous”, s’inquiète Maria Elena Bottazzi.
Le vaccin est-il efficace pour toutes les catégories de personnes ?
Là encore, les données manquent pour pouvoir se prononcer. “On ne sait pas comment [le vaccin] fonctionne chez les personnes âgées”, note Science. Il faudrait aussi s’assurer que le vaccin protège les personnes souffrant d’autres maladies par exemple, mais aussi qu’il est efficace chez les minorités qui sont les plus touchées notamment aux États-Unis.
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Combien de temps protège-t-il ?
“Va-t-il être efficace quelques mois, comme le vaccin contre la grippe ? Est-ce que ça va être comme la rougeole ou la variole où l’immunité est permanente ?” se demande, dans le Wall Street Journal, Gregory Poland, directeur du groupe de recherche sur les vaccins de la Mayo Clinic.
S’il est encore trop tôt pour le dire, il est probable que la protection du vaccin ne dure pas plusieurs années compte tenu de l’état des connaissances actuelles sur la réponse du système immunitaire au Sars-CoV-2.
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“Il y aura une chance de répondre à cette question si l’essai se poursuit encore pendant plusieurs mois”, insiste dans Nature Rafi Ahmed, immunologiste à l’université Emory à Atlanta. Il va donc falloir encore patienter pour s’assurer que la protection dure au moins quelques mois.
Est-il sans danger ?
“Jusqu’à présent, souligne Science, l’essai n’a révélé aucun problème de sécurité majeur.” Les différentes phases d’un essai clinique permettent de s’assurer de l’innocuité de produit injecté. Et la phase III, la dernière, doit justement prendre en compte suffisamment de personnes pour vérifier si d’éventuels effets secondaires relativement rares ou peu dérangeants émergent.
Même après leur homologation les vaccins nécessitent une évaluation minutieuse, parfois appelée “phase IV”. Car, les effets indésirables peuvent être trop rares pour être détectés au cours de l’essai clinique, mais ils peuvent être suffisamment graves pour rendre le vaccin impropre à une utilisation généralisée.
“Il est également important de continuer à surveiller ceux qui ont reçu le vaccin pendant des années”, indique Bloomberg. Certains effets indésirables peuvent également mettre beaucoup de temps avant d’être repérés. Un suivi à long terme d’autant plus nécessaire, que la technologie d’ARN messager utilisée dans ce vaccin n’a encore jamais été déployée chez l’homme auparavant.
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Est-ce quand même une bonne nouvelle ?
Bien sûr ! Susanne Hodgson, de l’Institut Jenner de l’université d’Oxford, qui fait des recherches sur les vaccins, et qui a parlé au New Scientist des essais de vaccins contre le Covid-19 en général – et non de Pfizer en particulier – assure d’ailleurs :
Même un vaccin partiellement efficace pourrait avoir un impact vraiment significatif sur le cours de la pandémie.”
Quel est le calendrier avant que la commercialisation du vaccin Pfizer/BioNTech soit possible ?
La phase III va se poursuivre, mais l’entreprise Pfizer a d’ores et déjà annoncé qu’elle allait demander à la FDA une autorisation d’utilisation d’urgence autour de la troisième semaine de novembre. Il s’agit de la période à laquelle les participants auront été suivis pendant deux mois en moyenne, comme le requiert l’agence américaine du médicament.
Si elle est accordée, cette procédure permettra d’accélérer le processus d’homologation puis la production. De l’autre côté de l’Atlantique, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déjà reçu des informations de la part Pfizer/BioNTech en cours d’examen, “mais pas les données de l’essai clinique”, fait savoir le site Medical Xpress. Elles sont nécessaires pour que l’EMA rende un avis sur lequel s’appuiera la Commission européenne pour donner son accord à la mise sur le marché de ce vaccin.
En attendant, Pfizer et son acolyte ont annoncé qu’elles seraient en mesure de produire 50 millions de doses du vaccin en 2020 et jusqu’à 1,3 milliard de doses en 2021. “Mais elle n’a pas encore déterminé comment ces doses seront réparties entre les pays”, précise Business Insider .
“Et si les chercheurs veulent consulter les données relatives aux essais cliniques du vaccin de Pfizer, ils comprennent que des compromis sont inévitables”, conclut Nature. “Actuellement, nous avons besoin d’un vaccin qui fonctionne”, souligne Florian Krammer, et ce même si le produit n’est pas efficace plus de quelques mois ou s’il n’empêche pas la transmission du virus. Il insiste :
Nous en avons besoin pour amorcer un retour à la normale.”
C’est du grand n’importe quoi cette histoire… Un communiqué de presse, aucun détail, aucune publication, aucune info précise et c’est le gros emballement…
Il n’en reste pas moins passionnant sur le plan scientifique et une lueur d’espoir.
Mais pourquoi avoir choisi le communiqué de presse avant la communication des résultats scientifiques ?
Et hop, Airbus +23%, Boeing +22% … Bah ouai faut transporter le vaccin par avion dans des containers a -80 deg… Logique
Et pis, tout le tourisme va repartir… Quand, bah… demain…
Pfizer , seulement +7%, aller comprendre…
C’est parfaitement logique, on en a dejà parlé plus tôt. Pfizer n’a pas eu son activité éco ravagée par la pandémie. Et ce vaccin va leur faire du pognon, mais sans changer énormément leurs perspectives de benefs etc. Les compagnies aériennes en mode ultra ralenti actuellement, ça peut tout changer pour elles… Et le business du transport du vaccin elles s’en foutent totalement
Logique mon cher Watson
N’empêche, j’ai zappé sur les chaînes d’info entre 18h30 et 20h00. Hystérie par ici, hystérie par là… Un téléspectateur a calmé un plateau TV et ses invités avec la question suivante : ne craignez-vous pas que l’emballement autour de ce vaccin, dont on ne sait rien, provoque un nouveau relâchement et un redémarrage épidémique ?
Plutôt sage et pertinente cette interrogation, non ?