voilà, lire attentivement les règles du jeu permet de répondre avec arguments à la question 
Perso je comprends pas trop ceux qui veulent absolument arrêter le point systématiquement.
Dans la plupart des salles, cela se voit et s’entend si la balle touche la lumière (bruit et trajectoire anormale).
Peut être que dans certaines salles en fonction de la taille des lumières cela peut prêter a question.
Et puis, l’adversaire qui veut faire passer la balle par dessus la lumière risque de souvent faire la faute et toucher la lumière ou le plafond, et si la balle passe sans rien toucher, l’adversaire prend une grosse mine derrière 
Perso, un adversaire qui fait passer sa balle au dessus de la lumière ne me génera pas, pas plus que s’il faisait une balle haute juste en dessous de la lumière.
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Je suis d’avis que le jeu doit continuer, pour la plupart des arguments déjà évoqués mais je vais ajouter une autre source, le “manuel à l’usage des officiels de match”, édité par l’ITTF à destination des arbitres internationaux.
Voici ce qui est dit à la page 15 :
“9.6 La balle étant en jeu, elle demeure en jeu jusqu’au moment où l’échange est déclaré à rejouer ou se termine par l’attribution d’un point. La balle n’est pas considérée comme n’étant plus en jeu uniquement parce qu’elle est passée au-dessus du niveau des dispositifs d’éclairage, sans les toucher. Par contre, n’est plus en jeu une balle qui franchit le camp ou la ligne de fond d’un joueur sans avoir touché son camp après avoir été frappée la dernière fois par son adversaire.”
Ce qui pour moi éclaircit le règlement, qui est quand même assez mal rédigé dans l’ensemble, il faut le dire.
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Euhhh non ne le prend pas mal mais la reponse ici n’est pas argumentee…aucune regle ou article n’est mentionné, au contraire c’est une absence de precision sur la zone dans laquelle on doit jouer qui donne lieu à une deduction/interpretation. La preuve en est que la fin du raisonnement a pour solution une apreciation de l’arbitre. Sauf qu’un arbitre doit faire appliquer des regles bien definies, sur la base d’ecrits…
La on est bien d’accord ca clos le debat, et c’est noir sur blanc 
voila le message de xcping clos le débat sans contestation.
Et faut avouer que le truc est quand même bien plus clair que le reglement , sujet a interprétation sur énormément de pts
Le règlement fftt est inspiré du règlement ittf qui est beaucoup plus long et plus précis, cf le « near vertically » concernant la verticalité du lancé de balle au service.
Sans la précision du règlement ittf la seule possibilité est le balle à remettre à l’appréciation de l’arbitre mais il faut une raison valable.
Euh pas toujours, voici un cas qui m’est arrivé il y a 3 ou 4 ans : sur une balle de set , mon adversaire est en défense , je fais une grosse frappe et en retour il fait une énorme tranche . La balle monte, monte ( le plafond du gymnase est très haut), lui et moi on perd la balle de vue avec l’éclairage… dépité il commence à se diriger vers sa serviette comme si le set était perdu et je commence à faire pareil . Et là , la balle retombe sur mon coté de table et vu que je n’étais plus tout à fait en position à la table et bien je ne peux reprendre la balle correctement et je perds le point…On était tous les 2 comme des cons , surpris , l’arbitre également ! ça nous à fait bien fait rigoler tellement c’était énorme mais j’ai perdu le set (et par la suite le match) car j’ai eu du mal à me remettre dedans… Bref comme quoi une balle haute n’est pas toujours facile à frapper.
Là, il n’y a pas eu de gêne, on a juste perdu la balle des yeux …
Desolé, mais ce que tu dis n’est pas très clair non plus…
Pas tout à fait car la réponse à la question que j’ai posé initialement est “ni l’un, ni l’autre”
La bonne réponse est “C’est l’arbitre qui doit prendre une décision” (le JA devant intervenir uniquement s’il observe que l’arbitre ne connaît pas les règles : par exemple, si le JA entend la balle toucher l’éclairage et que l’arbitre ne l’a pas entendu, le JA ne doit pas intervenir.’… mais si le JA voit que l’arbitre a remis le point, il peut intervenir en lui rappelant que le doute n’est pas autorisé à l’arbitrage : il peut dans la foulée lui donner l’ordre de prendre une décision sans l’influencer sur sa propre estimation)
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