Nous en Rhône-alpes quand j’étais gamin et qu’on jouait à 6 (sur 2 tables), le côté sympa du truc c’est qu’il y avait du monde sur le banc pour encourager (aujourd’hui souvent, en l’absence de spectateurs, ça fait un peu vide…). Et au moins il y avait une stratégie de compo alors qu’aujourd’hui c’est au petit bonheur la chance et ça c’est vraiment dommage.
Le système « à 4 » peut-être plus adapté aux contraintes d’aujourd’hui devrait au moins voir le meilleur joueur de chaque équipes bloqué en position 1 et le moins bon en position 4 je trouve.
tartineenrevers
(Grand Cru Classé mais pas 1855/ Tibhar H-5 / CD Rakz7 1.8/ RV Rakz7 soft 1.8)
#622
Oui, moi je n ai joué qu a 6, et j en garde de bon souvenirs. Ca permt d encourager, de souffler entre les matches, de conseiller les jeunes, etc …
Par contre ton dimanche etait quasiement flingue par le ping.
On partait vers 7h ou 7h30 et souvent retour milieu d aprem … donc il faut quand meme aimer le ping. Je crois qu on avait moins de truc a faire a l epoque (niveau loisir) et la vie du club prenait une place importante.
Ça permettait aussi, de plus facilement incorporer un jeune dans l’équipe (gagné à 5 sur 20 matchs ou à 3 sur 14 matchs c’est pas pareil)
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tartineenrevers
(Grand Cru Classé mais pas 1855/ Tibhar H-5 / CD Rakz7 1.8/ RV Rakz7 soft 1.8)
#624
oui d ailleurs on a avait souvent deux jeunes (dont moi) par equipe. Tu commencais en B et l annee d apres tu jouais en A, apres equipe au-dessus en B, etc…
Ca permettait d avoir un noyau dur de l equipe et d integrer des nouveaux joueurs.
Ca c’est clair, d’autant que si je me souviens bien il n’y a que deux doubles… donc un joueur « faible » ne fait perdre au pire que 3 pts/20 vs 3 ou 4 pts sur 14…
Et puis la progression pouvait aussi se faire au sein de la même épique, en passant de « en bas » à « en haut » :). Toujours en limitant le risque car tu pouvais garder un double fort (à la fois niveau des joueurs et paire « habituée »)
Je suis un inconditionnel de la formule à 6 qui ressemblait beaucoup plus à l’esprit d’équipe.
De plus celui qui n’aime pas jouer les doubles n’était pas obligé de le faire.
Pour les voitures, on n’est rarement à 4 dans la voiture (contraintes géographiques) et même parfois on se retrouve à 3 voitures.
Tu pouvais également sortir au restau plus facilement, à 4 si tu as un jeune qu’il et un autre qui est de sorti tu sort les chandelles ?
Enfin la liste est longue…
Tout à fait, la convivialité était tout autre, bien meilleure à 6.
On partageait vraiment la rencontre avec toute l’équipe.
A 4, tu joues, t’arbitres ou tu vas pisser (ou fumer une tige pour les accrocs…) !
Plus le temps pour échanger avec tes équipiers, suivre leurs matchs ou les encourager.
Dans mon secteur ( maine et loire ) j’entend souvent dire qu’on perd des joueurs parce qu’ils n’ont pas envie de ce lever si tôt le dimanche matin . Heureusement quand même que dans notre secteur , chaque équipe prévois une pause avec bouffe après les doubles . Ca permet une très bonne ambiance et ça participe à prendre plus de plaisir sont dimanche matin Bon aller , on perd 20 minute , mais et alors ? 20 minute à discuter , rigoler , pause clop avec l’adversaire avec qui on vient de jouer , du coup on parle revêtement bois et autre . J’ai cru entendre qu’ils voulaient arrêter ça . Ce serais dommage , et puis connaissant bien la mentalité du département , même si on nous oblige à arrêter , on continuera
Je pense pas que ce sois si compliqué à installer . Contacter les club alentour et en discuter avec euh , ça pourrais ce faire . C’est la FFTT ( je crois que ça s’appel comme ça , ceux qui gère le tennis de table en générale ) qui à voulu qu’on arrête . Les club prévois de quoi boire et manger , et si l’adversaire ne veut pas alors on fais pas , on oblige personne . Mais en général au contraire , les gens sont très heureux d’en faire , comme tu dit c’est convivial . Je pensais que c’étais partout pareil avant que les joueurs de mon club me disent que ça ne ce faisais plus dans les autres département .
Pour compléter ma réflexion concernant les équipes de 6, j’ai le sentiment qu’avec les équipes de 4 on a commencé à perdre des compétiteurs ce qui parait logique sur un raisonnement purement mathématique (imaginons une équipe foot qui passe à 9, de volley qui passe à 4,… automatiquement le nombre de licenciés s’en fait ressentir).