Ben j’aimerais qu’on mette en place le championnat de France des EPHAD d’abord. Histoire de finir en beauté.
Sinon , c’est prévu pour mes 60 ans. 
A écouter jusqu’à bout 
Je le note 
Ah tu as moins de 60 ans ?
Marrant, tu fais plus. 
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Oui c’est normal. En tant que fonctionnaire de catégorie A mais ayant été en catégorie B ( actif ) 15 ans, j’ai bénéficié d’un départ à la retraite à 57 ans à taux plein. J’en profite pour remercier tous les contribuables. Donc, on pourrait penser que je suis plus vieux.
Ah, non, c’est pas ça.
Oui enfin l’intensité d’un match en N3 et d’un match de R1 ou moins…
Non bien au contraire, et c’est ça qui devrait t’alarmer sur ta condition physique. Toi tu crois qu’il faut être un superman pour faire 3 match en régionale, alors qu’en fait il suffit d’une condition très, très trèèèès moyenne… Mais bon si ça doit te rassurer je te laisse le croire.
Ouais ouais. Je demande aussi à voir la tronche de certains en fin de rencontre. M’est avis que certains sont treèèès optimistes sur leur condition physique. Enfin, si ça leur va, je le leur laisse croire…
Pour avoir vu jouer @cowboy à Cognac, il est quand même long à épuiser, surtout qu’il prend quasiment tout en coup droit.
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Ça dépend aussi en partie du jour où la rencontre est jouée. Le vendredi soir en fin de semaine, quand on bosse, c’est plus difficile que le samedi après-midi.
ça dépend de ton âge, de ton poids, du jour de la compète, de ton style de jeu, de ton travail, de ta vie perso, … nous sommes des amateurs avec des conditions physiques diverses.
Donc moi, samedi pour le 4è match j’allais un peu moins vite, j’étais en retard… et je ne suis pas inquiet pour ma santé… je suis dans la moyenne (pour mon âge) d’après ce que je vois autour de moi.
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Je suis en bonne condition physique, je suis jeune et pourtant je fatigue vite aussi. 
À choisir entre faire quatre matches ou moins de trois, je choisirais sûrement moins de trois. En général, ma condition commence à baisser vers le troisième match.
En British League, on fait jusqu’à deux fois deux simples et un double, sur deux jours de suite, mais c’est pas toutes les semaines et c’est le week-end avec une petite pause repas entre les deux. Ça passe mais ça commence à tirer en fin de journée, surtout le dimanche.
En ligue locale, ça peut se passer sur n’importe quel jour de la semaine selon l’équipe qui reçoit, et j’aurais pas envie de jouer quatre matches.
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Bien sur je suis ok avec toi. Je parle pour les gens de mon âge et en dessous, à savoir autour des 45 ans. Je ne sais pas quel âge tu as mais évidemment au dessus de 50 c’est une autre histoire, ça demande encore plus de volonté.
En tout état de cause, on sait tous que rester en forme physique demande de plus en plus de volonté au fur et à mesure qu’on avance dans l’âge. Mais au lieu de dire “3 matches c’est trop pour moi”, je pense qu’il faut tout faire pour que ce ne soit pas le cas. Moi en ce moment je ne fais plus trop attention à moi, je le ressens à la table, donc je vais me reprendre en main, pas me dire “ce serait cool de jouer que 2 matches”.
Je fréquente aussi beaucoup de joueurs qui ont plus de 50 ans, ben ils vont courir, font un peu de muscu, et voilà.
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Qui a dit « je voudrais ne jouer que deux matches » ?
On parle du choix entre 4 matches dont un double et 5 matches dont un double…
pour le commun des mortels je pense que 4 matches dont un double sont largement suffisants et qu’un 5e est de trop.
Je rappelle qu’à 6, on jouait 3 matches et pas forcément le double.
Avancer des généralités autour des tranches d’âge est un exercice délicat. A chaque personne correspond un contexte unique qui nécessite de s’adapter pour la pratique de son sport préféré ; et je n’aborde ci-dessous que le physique, pas l’aspect familial et professionnel.
Je connais un quinqua bluffant au niveau de ses capacités physiques qui joue à fond tous ses matchs sans problème. A ce jour, il n’a jamais connu le moindre problème physique et il se sait privilégié à ce niveau.
A l’inverse, je connais un gars pas encore quadra qui ne tient pas la durée des 4 matchs à son plein potentiel.
Perso, j’ai 47 ans. La volonté de m’entretenir physiquement est là. J’ai la volonté de jouer à fond et de me battre à chacun des 4 matchs en championnat (mes meilleurs atouts car pas particulièrement doué). Cependant, je dois écouter mon corps. Solide pendant 43 ans, j’enchaîne les emmerdes musculo-squelettiques. Alors, même si j’adore ça, aller faire des footings avec mes aponévrosites plantaires et ma cheville en cristal, ça le fait pas. La muscu en salle ? Ça ne vaut le coup qu’avec un programme adapté et un accompagnement qualifié … J’en connais un tas qui se sont bousillés le dos en “voulant faire comme les autres”.
On a tous la volonté de jouer à fond nos 4 matches mais quand le corps te rappelle à l’ordre, ben tu t’adaptes parce que t’as pas le choix.
Pour l’anecdote, on a un jeune numéroté au club qui n’a pas encore 25 ans et dont l’enseignement dans le sport est le métier. Il passe tous ses matchs très bas sur ses jambes à topspinner des deux côtés et à placer ses balles (Il ne frappe pas). Un pongiste très physique. Je peux te dire que 4 matchs lui suffisent à son niveau d’investissement.
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Même si c’est reculer pour mieux sauter ! La compétition est indispensable pour certains mais pas pour d’autres.
il faut savoir s’arrêter. Ce qui ne veut pas dire arrêter de faire du sport et de jouer.
Les rencontres à 14 ne sont pas responsables du fait que tu ne joues que 2 matches en moyenne, c’est le score acquis qui veut ça.
A 6 on jouait au score acquis et je ne jouais aussi que 2 matches en moyenne.
Eh bien, ose… arrête toi ! C’est vrai il faut savoir dire stop, quand on n’est plus capable…
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C’est prévu pour mes 60. Je n’ai pas envie de faire les matchs de trop. Je vais ma consacrer à l’entraînement des jeunes comme entraîneur-relanceur uniquement. Ainsi , je continuerai à jouer et faire du sport sans la frustration de la déchéance en compétition. Je vivrai la compétition mais par procuration et serai sûrement plus utile en faisant ça.
Je n’avance aucune généralité, je dis simplement que c’est aux joueurs à s’adapter à la compet, pas l’inverse, sinon c’est peine perdue.
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