Patrick, c’était la joie de l’envol, la joie de l’entrechat, la joie des tours et des pirouettes, celle d’avoir maîtrisé ce langage de la danse et de devenir ailé, atteindre à ce monde mystérieux d’où il est exaltant, par le mouvement, cette parole, ce langage, de communiquer avec le spectateur, pour lui conter l’ineffable et la beauté, et de rester soi-même, fidèle à la beauté.
Mon petit hommage à Patrick Dupond, devenu une étoile filante.