La convivialité, c’est à tout un chacun de la créer, amha.
On peut y trouver de la convivialité dans un gros club (avec certaines personnes) et ne rien trouver dans un petit club où chacun reste cloîtré dans son propre monde…
Après ces considérations, tout dépend aussi ce que l’on entend par « convivialité ».
Prenons par exemple mon frère et moi, nous sommes tous deux inscrits dans 2 mêmes clubs cette année pour avoir plus d’horaires d’entraînement (plus par rapport à nos disponibilités hebdomadaires, variables d’une semaine à l’autre, que pour accumuler les heures d’entraînement). Nos ressentis ne sont pas les mêmes : lui préfère le club où tout le monde joue avec tout le monde mais sans possibilité de faire des séances de services ou de panier de balles, aucun répit, aucune discussion en dehors des tables, moi je préfère l’autre club qui offre ces possibilités d’entraînement plus personnalisé avec, certes, une certaine notion de clans et je me suis créé « un entourage immédiat » (terme que j’utilise au détriment du mot clan).
Si tu ne joues pas avec plus faible que toi, jamais cette personne ne progressera et c’est donc egoïste… On a tous appris à jouer avec quelqu’un de meilleur.
Ca ne m’embête pas de jouer moins bon que moi, au contraire, ça me fait plaisir de faire progresser les autres
Dans les grands clubs, c’est plus rare. On reste en clan avec les gens de son niveau. C’est plus froid… Donc moins de convivialité.
Je le répète, je n’ai pas parlé de Courbevoie car leur tarif est bien élevé pour juste jouer en loisir mais j’y ferai bien un essai.
Mon entourage immédiat (en dehors de mes potes coéquipiers) est essentiellement composé de joueurs plus faibles que moi plus un légèrement plus fort. C’est juste une question d’avoir les mêmes délires, etc. De temps en temps je me frotte aux plus forts du club pour voir où je me situe niveau technique, rythme et sensations.
Sinon, je joue en Isère (club de taille moyenne 7 équipes engagées) et en Ardèche (club de taille moyenne mais licence loisirs).