je ne crois pas avoir posté à propos de ce grand musicien que j’écoute en boucle et dont je ne me lasse jamais:
Oscar PETERSON, mon pianiste de Jazz préféré de loin, un son et un phrasé toujours magnifiques, des compositions très variées, des improvisations très créatives, et amha les meilleures versions des standards
Derrière je mets Michel PETRUCCIANI, Bill EVANS, mais il y en a plein d’autres
parmi mes tracks préférés d’Oscar:
toutes ses bossa-novas, Nica’s Dream, Little White Lies, Bach’ suite…
On l’a tellement vu tourner par chez nous … que de souvenirs. Qu’il repose en paix.
Je pense aussi au patriarche des Marsalis et à Manu Dibango, tous deux emportés par le covid
Un peu de nostalgie grenobloise, je me suis remis l’album Algeria. J’adore la zic fusion et les paroles qui parleront sûrement à certains , même les plus jeunes.
Malheureusement toujours d’actualité
‹ ›‹ S’ils ont le vin joyeux ils te mettent au placard
S’ils ont le maghrévin tu finis sur le trottoir ›’
Et une autre plus relaxante que j’adore du même album
Et celle-ci aussi
Et puis celle-là…tout l’album n’a pas pris une ride tant les paroles que le reste
J’ai écouté ce groupe avec quelqu’un avec qui j’ai passé la moitié de ma vie. Cela fait plus de trois ans et je pense toujours à elle parfois, tout ce qui s’est passé fait mal au plus profond de mon cœur. Même si j’ai dépassé mon amour pour elle …, il semble que je lutte toujours pour dépasser tout ce qui s’est passé. Ce live est fondamentalement un Rollercoaster d’émotions et de nostalgie à chaque fois que je l’écoute. Je sais que je ne te reverrai plus jamais, mais j’espère que tu es bel et bien vivante…
Dans cet album, SOTL reprend là où The Tired Sounds Of… s’est arrêté en mettant l’accent sur le développement mélodique, déplaçant leurs paysages sonores épiques au-delà du simple drone et frustrant par la suite tous les clichés ambiants typiques associés à leur musique. Peut-être les meilleures références pour ce travail actuel se trouveraient-elles dans la partition du film « Le Mepris » de Georges Delerue, les œuvres orchestrales de Zbigniew Preisner, ou l’enregistrement CSO / Fritz Reiner de 1958 de Hovhaness 'Mysterious Mountain, en particulier le troisième mouvement . Mais en dernière analyse, ces comparaisons sont au mieux superflues, car Stars of the Lid ont créé un univers musical dans lequel elles sont les seules à vivre.