L'origine de votre pseudo

Attention j’ai dit c cédille et i trait mat

Pour ta remarque sur mes parents,
Non, jamais.
En plus c’est ma mamie qui a choisit, je crois.
Elle a choisit pour ma fille aînée aussi.
Après on lui a dit d’arrêter ses délires.
C’est facile pour elle, elle s’appelle Léa Julie.
Gros bisous Mamie, je sais que tu nous regardes de là-haut et j’espère que tu es fière de nous.
Bon les là je commence à délirer
En plus je bosse.

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Toxicomane, il se caractérise par sa brutalité et sa sauvagerie sans limite. Pourtant sous cette apparence de violence irraisonnée se cache un esprit réellement calculateur, que ses adversaires sous-estimeront de nombreuses fois à leurs dépens.

Il incarne avec d’autres prisonniers tels que Vernon Schillinger un modèle de criminel dont la réhabilitation paraît impossible tant il est incapable de se détourner de ses pulsions, ce qui révèle le caractère irréaliste du projet de Tim Mac Manus avec Emerald City. Il restera aussi, même après sa mort, l’un des plus grands échecs de Kareem Said, ce dernier comprenant que malgré toutes ses tentatives, il n’arrivera jamais à toucher le cœur empli de violence de Simon.

Excellent post de @anon46632588 :+1:
Moi c’est tout bête : The Revenant en référence au film mais surtout au fait que j’ai fait une très très longue pause ping et la photo, bah c’est moi après chaque match…

Tu peux faire un tour dans le sujet des photos de profil aussi. :wink:

Et bah c’est parce que suis le fils de Vlad tout simplement :grin:

Je dois mon pseudo à un illustre joueur de notre équipe nommé James Dubuc, du temps ou je jouais à Champagne sur Seine ( 77 ).

Il était 16 et il battait souvent des gars au-dessus, mais à chaque fois qu’ il contrait sévèrement, il disait en rigolant :

" Ahlala je suis vraiment un calot, je prends des points aux riches et je les redonne aux pauvres, un vrai " Robin des points "… Je suis au fond du seau… "

Et à chaque fois qu’ il le disait c’ était à mourir de rire.

Avec notre entraîneur ( qui faisait aussi partie de l’ équipe ) et moi-même, on était également coutumiers du fait, et c’ est devenu un classique.

Ensuite il y a presque 10 ans je suis revenu à mes sources en Bourgogne, et je n’ ai plus vraiment pensé au " syndrome de Robin des points ".

Jusqu’ à ce que mon président me convainque de reprendre une licence en acceptant quelques unes de mes prérogatives qui me permettent de revendiquer, sur le forum dédié au ping, le doux sobriquet que j’ arbore fièrement.

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