J’aurais besoin de vous avis sur notre situtaion.
Début novembre, une jpueuse n’ayant pas jouée depuis 2 ans et demi nous contacte souhaitant reprendre le ping.
On la licencie le 2 novembre, elle est classée 16 donc numérotée fille.
On décide pour la relancer de la laisser jouer en R2 même si elle un peu juste en niveau.
Elle joue en J4, J6, J7 (elle fait 0, 1 et 2).
Après chaque journée les résultats sont remontés dans SPID sans problème.
Hier je reçois un email de la ligue m’informant que la licence de cette joueuse numérotée ayant été prise après le 31/10 elle n’était pas autorisée à participer au championnat par équipe pour toute la saison et donc que tous ses matchs étaient perdus 2-0.
Notre R2 passe donc de 4ème à 7ème et redescend en R3…
Même si nul n’est censé ignorer le règlement je trouve incompréhensible que notre erreur ne nous ait pas été signalée après la J4, on aurait accepté le forfait et modifier nos compos pour les journées suivantes.
Avez vous déjà entendu parler de litige de ce genre avec SPID ? Existe-t-il des recours ?
Je pense que ce cas de figure ne sera jamais géré dans SPID car ce règlement me parait spécifique à ta ligue. Par curiosité, j’ai regardé le règlement du championnat par équipe au niveau de ma région (IDF) et je n’ai rien trouvé de similaire. Par contre, je suis d’accord avec toi : ton club aurait du être prévenu après la J4. Même si on utilise des outils informatiques pour gérer les compétitions, il y a tout de même des responsables pour chaque division (en chair et en os) qui devraient vérifier les compositions d’équipe après chaque journée pour détecter d’éventuels manquements au règlement.
C’est ce qui se passe d’habitude ! C’est arrivé que nous fassions jouer 2 étrangers dans la même équipe. C’est interdit, la sanction est tombée dans la semaine suivante.
C’est quand même étrange que le règlement considère au même titre numérotés garçons et filles.
On aurait donc pu faire jouer un garçon 1990 mais pas une fille 1603 (1559 mensuel).
N’importe quoi.
Le litige a été signalé tardivement car ils ne sont pas forcément traités journée après journée, la commission sportive peut se réunir tous les 2-3 ou 4 journées par exemple après la J2 et après la J7.
Comme indiqué plus haut c’est bien dans le règlement fédéral donc appliqué à tous les joueurs et joueuses n°.
Je ne connaissais pas et je ne suis pas près de le voir appliquer dans mon club, le mieux classé étant 14. Après, je ne comprends pas la raison d’être de ce point de règlement.
Peut-être pour éviter que certains clubs licencient un joueur (qui n’étais pas prévu initialement) après cette date pour le faire jouer et renforcer une équipe.
Le club de Berneuil Compiègne s’était fait avoir l’année dernière, en alignant un jeune anglais, 16 sur le papier, qui, à la suite de la journée contre Amiens, après avoir battu Indeherberg notamment, s’était vu reclassé numéro 180, classement qu’il ne valait évidemment pas, mais il avait tapé une rute de fou furieux. Et c’était en deuxième phase, donc le règlement avait été appliqué me semble-t-il. Après, ça n’avait pas changé grand chose vu que Amiens avait gagné la rencontre 8/6 de mémoire, donc…
Ça fait partie de ces règles un peu étranges qui s’appliquent à tous les niveaux malgré le contexte différent, alors qu’il aurait mieux valu limiter la règle aux championnats nationaux. Parce que pour une rencontre de R2… mouarf ! La règle en soi n’est pas débile, mais l’appliquer en-dessous de la nationale (ou de la PN à la limite) n’a pas beaucoup de sens.
Par contre à la J7 on joue un gros club de la région qui nous met un N900 en R2 alors qu’il n’a jamais joué dans cette équipe…ça c’est autorisé. Pas très logique tout ça.
Je ne comprends d’ailleurs pas qu’on ne mette pas une limite à ces « sauvetages » abusifs (comme par exemple obliger le joueur le mieux classé d’une équipe à jouer au moins 4 matchs sur les 7 que compte une phase).
@Bloodymary Ça c’est autre chose, mais vu qu’il y a des règles pour imposer un classement minimum à certains niveaux (11 en R1 par exemple) on pourrait imaginer un système qui impose un classement maximum pour certains niveaux (pas de classés 17 et + en départementale par exemple) sauf dérogation (création d’un club ou nombre de mutés exceptionnellement important une année par exemple), ce qui permettrait d’encadrer un peu mieux ces pratiques.
Dommage qu’elles ne s’appliquent pas plus largement…