Je suis d’accord avec ça… Faut enfoncer le clou avec ce qui fonctionne.
On ne peut qu’être d’accord avec ça. Cependant, la difficulté ne vient pas de le compréhension mais de la mise en oeuvre de ces principes. Ca participe aussi au fait d’être à tel classement plutôt qu’à celui du dessus.
J’ai longtemps pensé comme ça, mais en fait… c’est justement un aspect purement lié au travail. J’ai découvert que des joueurs beaucoup plus faible (un en particulier) de mon club était très fort sur les fins de manche et il m’a dit : c’est la seule chose que je sais entrainer. J’ai un service qui va bien (court mou dans le coup droit), alors je le fais et la balle qui revient j’envoie “un pain plein de jus” (= top rotation) dans le revers de l’adversaire.
Le type étant un peu défenseur, tout comme je l’étais m’a dit : regarde Matthew Syed, sur les fins de sets, il attaque tout le temps.
Là j’ai eu le déclic… j’ai réfléchi à quel service marchait le mieux dans ceux que j’avais et depuis je fais quasi toujours la même chose en fin de manche. La seule exception, c’est quand j’ai repéré un service/enchaînement où l’adversaire a du mal, parce qu’alors c’est ça que je fais.
@archeo
Toi aussi, tu peux te choisir un service et réfléchir à quoi faire juste derrière. Et tu le travailles à chaque séance. Tu fais des matchs ? Très bien, force toi à faire ton enchainement en fin de manche. Tu fais des exercices plus dirigés ? Très bien, profites-en pour travailler ton schéma. T’es tout seul ? Très bien , prends un panier de balles et travaille ce service.
Certains joueurs qui mènent en faisant le jeu se détache et la font quelques erreurs ( une ou deux ) et la patatraque tout s’écroule ils ne jouent plus et laissent l’initiative à l’adversaire et font les mauvais choix. Du coup perte du set ou bien souvent du match. Le problème réside dans le fait d’admettre de faire des fautes ( on croit que c’est plus la bonne tactique ) or c’est la bonne tactique le bon engagement et c’est normal que l’on fasse des fautes. Donc ayez toujours confiance dans votre jeu il vous le rendra.
Deuxième cas : certains joueurs surjouent pendant 90% du match et tout à coup plus rien sur la table. Grrrr que c’est frustrant. En général il faut être lucide et reconnaître que le gars en face a gardé le même rythme et qt qu’il a fait quelques petites modifications que l’on a pas vu. Donc bien joué à lui.
De plus il y a deux manières de voir les fins de set qui s’opposent. Les deux sont vrais suivant son caractère et son style de jeu. Soit on assure en essayant de controler l’adversaire soit on essaye de finir le point en prenant. Des risques. Et la tout est question de confiance. Certains joueurs ont des tactiques spéciales fin de set et de match au service ou au retour suivant ce sûil veulent mettre en avant.
Apres certains vous diront que vos mauvais choix sont aussi dû à un manque d’hydratation qui peut faire que votre corps pioche et donc ne vous laisse pas assez serein pour faire les bons choix. C’est pas faux. Il faut le prendre en compte.
Pour ma part il y a beaucoup de mental la dedans.
Je joue régulièrement contre un collègue qui est moins bien classé que moins mais sur une vingtaine de match je gagne toujours au 5eme set. Je ne sais pas pourquoi lui non plus mais pour l’instant sa c’est verifié à chaque fois.
Pour moi aussi en match j’ai des periodes ou je gagne souvent au 5eme et à d’autres moment ou c’est le contraire.
Pour les fois ou je perds je crois me mettre trop la pression par rapport aux points (licence) que je risque de perdre. Surtout si mon adversaire est moins bien classé que moi et qu’il m’emmène au 5eme, la c’est la panique.
Le mental, le mental…
Un petit article multisport concernant la préparation mentale Sur lepape.com
Une tentative de résumé de ce que j’en ai retiré (bon je concède que ce ne sont que des généralités mais ca ne fait pas de mal).
En gros, ils ne détaillent pas les méthodes mais apportent qqs principes sur
des points relatifs à l’optimisation des ressources nécessaires à la bonne mise en place des schémas de préparation mentales.
Ils parlent d’approche ‘quantitative’, ‘qualitative’ et ‘de timing’.
-
Quantitative : la prep mentale ne doit pas phagocyter les ressources et avoir un effet contraire en amenant à un état de fatigue mentale important.
-
qualitative : pas de recette miracle, pour certains il faut se booster, pour d’autre il faut tempérer.Par contre un point qui paraît intéressant est ce côté qu’ont les “athlètes” à adopter des routines qui leur permet de facilement switcher de la prep mentale à la tâche elle même, je cite :
“En d’autres termes, une fraction de seconde suffit à basculer dans la
tâche ; donnant parfois l’impression de ne pas avoir été ailleurs
l’instant d’avant. Sans transition. Pourquoi ? Car ils ont appris à identifier les éléments sur lesquels porter leur attention en pleine épreuve, comme en période d’avant-match. Pas de recherche en mémoire inutile. Droit au but.” -
timing : la prep mentale au bon moment et en bonne quantité :
" A chercher à trop longtemps (et) tout contrôler, la dimension anxiogène
de la préparation peut prendre le pas sur son caractère ergogénique et
amener à des situations décontextualisées (colère, caractère asocial…).
Alors, à défaut d’atténuer progressivement votre stress initial, vous
introduisez le cercle vicieux d’inefficacité entre efforts et fatigue et
vous vous éloignez à grands pas des dimensions rassurantes et
apaisantes recherchées. Le lâcher-prise est ici une étape nécessaire. " -
pour finir, c’est une évidence mais ca ne fait pas mal à être rappelé :
il faut se connaître “a connaissance de vous-même dans le but d’optimiser
votre préparation. Comment voulez-vous apprendre à identifier et
comprendre la façon dont vous fonctionnez vis-à-vis d’une intervention
si votre schéma d’action est fondé sur son instauration (logique
descendante) mais n’en autorise pas l’écoute (logique ascendante) ?”
et enfin la conclusion qui tue mais n’en reste pas moins vraie :
“En résumé, des rappels simples peuvent vous guider quant à l’utilisation
de votre prépa mentale. Quoi ? Quand ? Jusqu’à quand ? Et…à quelle fin ?
***Le plaisi***r !”
Le physique relève de qualités innées, mais se travaille et permet à tous de progresser.
Je suis préparateur mental et BE2 en tennis de table; et à ce titre je prétends qu’il en est de même pour les qualités mentales.
Les sportifs de haut-niveau font tous preuve de compétences mentales fortes (plus ou moins). Certains se sont fait aider pour les développer, d’autres les ont apprises seul.
Selon moi, on pourrait résumer le travail mental en 2 parties :
- La connaissance des fondamentaux de la performance (fixation d’objectifs pertinents, pensée positive, comportements)
- Apprentissage de techniques, qui conduisent à développer des habiletés mentales (relaxation, imagerie mentale, mise en place de routine de performances…)
Si vous avez des questionnements sur votre cas personnel, n’hésitez pas à me les poser.
Vous trouverez un contact sur mon site :mental-haut.jimdo.com
Aujourd’hui fini un match de la pire façon possible. Je joue un gars tres largement à ma portée. Sans trop bien jouer je gagne les deux premiers sets sans trop de probleme. Puis je me pourris tout seul je demande à
Mon coéquipier qui arbitre ce que je devrais mieux faire et je commence à jouer petit bras et laisser l’autre revenir. La belle je reviens positif et tourne à 5-4. Mais Je commence à nouveau à déjouer avec des fautes au service. Il mène 9-7 service à suivre je fais deux beaux points gagnants puis troisième service faute du set, peut être huitieme dans le match… Et dernier point je sers mal et troisième balle complètement à la masse …
Bon c’était un match sans trop d’enjeu et sinon sur le reste de la journée j’ai bien joué, mais c’est un peu énervant…
moi j’ai fait pire que tous on mené 7/3 en partie je joue mon matche (au passages c’était tous des défenseurs a picots longs ) je gagne 2 set à zéro et, puis patatras je perd un puis deux puis trois, set, j’ai bien pris un temps mort mais j’ai plus jouer, le pire c’est que mes partenaires on tous perdu sèchement et on fait 7/7 trop les boules un set pour peut être le maintien en d1, mais au goal-average on est devant eux reste c’'est pour sa que j’ai créer un post sur comment à mieux jouer les défenseurs. Mais bon j’ai quand même fait une perf a plus 13 points je suis quand même content, disons que c’est l’expérience qui rentre. Souvent je craque en fin de set mais soit je met 3/0 soit je suis mené 2/0 et je gagne 3/2 et quelquefois je mène 2/0 et je perd, la plus part je gagne 3 /0 sauf contre plus fort ou c’est plus accroché.