Technologie Re-Impact 2

Il n’y a pas autant de répétitions que cela, ce ne sont que les phrases clés
que je répète plus souvent pour qu’elles restent mieux en mémoire.

« Je commence vraiment maintenant, car je constate que tu t’en agaces ! » lol

[size=150]Le masque de la vérité – ce qu’un bois fait réellement[/size]

Je construis des bois de tennis de table selon une prémisse simple :

Le masque de la vérité est la science des matériaux.

Tout le reste – publicité, slogans, tendances – est interchangeable.

J’ai 70 ans, je travaille dans le domaine des matériaux depuis des décennies et je suis toujours pleinement présent.

Je travaille mentalement avec d’anciens esprits comme Descartes, Léonard de Vinci, Darwin, Kant et Newton.

Non pas parce que je vis dans le passé, mais parce que leur façon de penser est intemporelle :

observer, mesurer, douter, vérifier – et seulement ensuite parler.
Je ne veux enseigner à personne.
Je ne fais qu’enregistrer les faits, afin que les sportifs puissent comprendre
ce que leur raquette fait réellement sur le plan physique – et ce que je produis :
un bien de l’ancienne école des matériaux.


Faits au lieu de phrases sentimentales => Derrière chaque coup se trouve la physique.

Un bois de tennis de table n’est pas un mythe, mais une pièce technique avec des tâches claires :

  • Il détermine la rigidité en flexion → à quel point la pale se plie facilement ou difficilement sous charge.

  • Il contrôle le comportement vibratoire → comment les ondes de mouvement se propagent depuis le point d’impact sur la pale.

  • Il définit l’amortissement → quelle quantité de cette information arrive dans votre main.

  • Il influence le temps de contact (Dwell Time) → combien de temps la balle « colle » à la raquette avant de la quitter.

[quote]Ces points ne sont pas une opinion, mais des fondements de la science des matériaux.
Qu’un bois se sente « vivant », « mort », « dur » ou « doux »
n’est pas un mystère – c’est la conséquence de ces propriétés physiques.[/quote]


[size=150]Ce que les constructions modernes modifient[/size]

Au cours des dernières décennies, de nombreuses constructions hybrides ont vu le jour :

bois combiné avec carbone ou autres fibres synthétiques, ainsi que de nouvelles colles, scellants et constructions de pales.

Du point de vue de la science des matériaux, cela conduit souvent à :

  • une rigidité accrue de la pale,
  • des fréquences propres modifiées (le modèle de vibration change),
  • un amortissement différent (les vibrations sont filtrées ou absorbées différemment).

Ce n’est pas un jugement, mais une description sobre :

  • Plus un système est rigide et fortement amorti,
  • moins les ondes de mouvement fines arrivent dans la main.
  • Ainsi, la raquette peut être stable et rapide,
  • mais une partie du retour d’information – c’est-à-dire de l’information perceptible – est perdue.
    - Ce n’est pas une accusation, mais simplement de la physique.

[quote]Ce que j’entends par « ancienne école des matériaux » => Mes bois sont construits délibérément différemment.
Je m’oriente vers une ancienne école d’utilisation des matériaux :[/quote]

  • structures majoritairement ou entièrement à base de bois,
  • utilisation ciblée de la structure fibreuse et de l’orientation des fibres,
  • stratifications qui conduisent les ondes de mouvement, ne les tuent pas immédiatement,
  • distribution de masse qui soutient le comportement vibratoire naturel.

L’objectif est une pale de raquette qui :

  • travaille quand la balle arrive,
  • a des fréquences propres visibles et perceptibles,
  • vous dit dans la main où et comment vous avez frappé.

Je ne construis pas d’armes miracles. Je construis des bois qui sont physiquement conçus

  • pour agir comme composant actif entre la balle et la main
  • et non seulement comme support neutre de revêtement.

[size=150]À quoi cette vérité doit servir[/size]

  • Je n’exige de personne qu’il suive mon chemin.
  • Chacun peut jouer avec le matériau qui lui convient.

Ce que je peux offrir, c’est :

  • Transparence : Comment fonctionne un bois du point de vue de la science ?
  • Classement : Qu’est-ce qui change physiquement avec certaines constructions ?
  • Alternative : Bois qui portent les connaissances de l’ancienne école des matériaux dans le présent.

Le « masque de la vérité » signifie pour moi :

  • Je ne cache rien derrière le marketing.
  • Je décris ce que je fais – avec les outils de la science des matériaux –
  • et je laisse les joueurs décider eux-mêmes quelle voie ils empruntent.

Je pense plutôt comme Descartes et Newton : observer, séparer cause et effet, puis construire.

Au tennis de table, on parle beaucoup de « sensation »,

mais rarement quelqu’un explique ce que cette sensation signifie physiquement.

  • Que fait la raquette en son intérieur ?
  • Comment les vibrations circulent-elles ?
  • Comment ces vibrations arrivent-elles dans notre corps ?

C’est de cela qu’il s’agit pour moi. Pas de publicité, pas de vente, mais d’éducation du point de vue
de la science des matériaux, combinée avec mon artisanat.


2. Base matérielle – Noyau naturel selon ITTF

Je travaille rigoureusement selon les règles de l’ITTF.

Mes bois sont constitués au cœur de :

  • au moins 85 % de composants bois

– bois naturel classique en plusieurs couches, y compris bois de balsa comme noyau léger

  • environ 10 % de substances naturelles botaniques

– par ex. écorce de liège et autres matériaux naturels végétaux

  • le reste sont des composites/colles
    – au total au maximum 3-4 % de colles chimiques,
    – la part restante de liant est basée sur du matériau naturel (par ex. colle d’os)

Le corps porteur de la raquette se compose donc à bien plus de 90 % de matériau naturel (bois + botanique + colle naturelle).
Les fibres plastiques ou inserts plastiques dans le noyau comme « imitation de sensation » ne sont pas utilisés chez moi.


3. Système de colle & structure capillaire – exothermique, pleine surface, sans cavités artificielles

Les colles dans mes systèmes sont des supports composites, pas des films de colle épais entre les couches.
Elles doivent relier les couches sans devenir elles-mêmes la couche dominante.

Pourquoi « exothermique » ?

  • La colle rencontre dans le bois – particulièrement dans le bois de balsa –
    l’humidité et l’air emprisonné dans les capillaires naturels du bois.
  • Lors de la réaction, elle utilise cette humidité et ces composants d’air,

pour s’insérer microscopiquement dans les capillaires et durcir.

  • Dans ces zones, environ jusqu’à 40 % des composants d’air sont réduits.
  • Il se forme une fine micro-structure à l’intérieur des capillaires,
    qui « soude » littéralement les cellules du bois.

Important ici :

  • l’intérieur est entièrement collé,
  • il n’y a pas de cavités créées artificiellement,
  • seuls restent les capillaires de bois naturellement développés avec leur structure et densité.

Différentes densités de bois comme système
Au cœur, différentes densités de bois de balsa et couches de bois massif travaillent ensemble :

  • couches de balsa très légères avec des densités inférieures à environ 65 kg/m³,
  • en plus des couches de balsa plus lourdes,
  • et des couches de bois massif intégrées de manière ciblée, qui agissent comme conducteurs de chaleur et d’énergie.

Ainsi se crée à l’intérieur :

  • un bloc continuellement collé de couches et de plis,
  • avec des capillaires naturels et différentes densités,
  • dans lequel les zones légères apportent mobilité et élasticité,
  • et les zones plus denses transmettent mieux l’énergie et la chaleur.

La colle :

  • se trouve dans le bois, pas comme film entre les bois,
  • relie tout en une plaque-bloc,
  • assure que la pale vibre comme un corps cohérent et vivant.

Système extérieur – protection, pas blindage

  • La surface reçoit un système de protection très fin à base de polyuréthane.

Cela :

  • protège contre l’humidité, la saleté et les influences mécaniques,
  • stabilise les pores,
  • mais ne construit pas une couche blindée lourde vibrant indépendamment.

Le noyau porteur reste un système bois/botanique presque pur avec micro-structure de colle intégrée.
Rien n’est laissé au hasard.
Part de bois, botanique, colle (max. 3-4 % chimique), durcissement, répartition de densité et scellement sont choisis
de sorte que la pale puisse vibrer comme un corps vivant.


4. Le bois comme système vibratoire – la matrice de la raquette

Toute la matrice de la raquette – forme, centre de gravité, capacité vibratoire et transmission de sensation – provient du bois.
Le contact de balle met ce système en mouvement.

Dans mes bois, les vibrations sont guidées de manière ciblée :

  • sur le centre de la pale,
  • sur le bord de la raquette,
  • comme ondes de cisaillement sismiques le long de l’axe longitudinal et transversal,
  • en plus via des systèmes de couches disposés en diagonal,
    qui absorbent et amplifient également les vibrations dans la direction latérale.

La pale travaille ainsi en trois dimensions :

Centre, côtés et zones extérieures forment une unité de jeu commune et active.


5. Le bord de la raquette comme espace de résonance actif

Le bord de la raquette n’est pas seulement « bord », mais consciemment construit comme zone de résonance et de réflexion.

Via une « vallée d’onde » intégrée dans la zone du bord :

  • les ondes sonores et vibratoires sont réfléchies de manière ciblée,
  • il se crée des points focaux pour certaines propriétés de jeu dans la matrice de la raquette,
  • certaines zones réagissent particulièrement sensiblement, d’autres stabilisent le système.

Cette matrice de réflexion dirigée :

  • court sur la pale et le bord,
  • génère des ondes de cisaillement et de flexion sur les axes longitudinal, transversal et diagonal,
  • intègre activement les zones latérales dans l’événement vibratoire.

Cela a deux conséquences importantes :

5.1 Soulagement du revêtement

  • Le support bois travaille au centre et sur les côtés.
  • La constellation centrale et les zones de bord portent le revêtement ensemble.
  • Le revêtement n’est pas seulement soutenu au centre, mais aussi latéralement.

Par conséquent :

  • moins de charges ponctuelles extrêmes,
  • sollicitation plus uniforme,
  • tendanciellement moins d’usure et sensation de jeu plus stable.

5.2 Sweetspot élargi

  • Le sweetspot n’est pas seulement un point au centre,
  • mais s’étend – dans ma compréhension – sur toute la surface de frappe jusqu’aux bords extérieurs.

Pour le joueur, cela se ressent comme :

  • tolérant, mais précis,
  • retour d’information constant,
  • que la balle soit frappée parfaitement au centre ou légèrement décalée.

6. De la raquette dans le corps – Points sensoriels, leviers, rythme

Maintenant la question : Qu’en fait notre corps ?

  • Les vibrations ne s’arrêtent pas dans le bois.

Elles continuent dans notre corps sensible – via de nombreux points sensoriels :

  • Bouts des doigts
  • Paume de la main
  • Avant-bras
  • Bras de jeu
  • Épaule, poitrine, milieu du corps

Notre corps perçoit ces ondes dans toutes les directions, comme dans la danse :
La musique n’est pas seulement entendue, mais ressentie dans tout le corps.

[size=150]Nous ne jouons pas avec la main – nous jouons avec l’avant-bras[/size]

Un point souvent négligé :

  • La main tient la raquette et jongle avec le bois dans la main.
  • Mais la force et le guidage réels sont générés dans l’avant-bras –
    c’est-à-dire du poignet au coude.
  • La zone du coude à l’épaule est biomécaniquement plutôt un appendice et un guidage,
    elle suit et oriente,

[size=150]mais l’avant-bras est le véritable levier.[/size]

Nos bras sont l’outil central de la nature, par lequel nous contrôlons d’innombrables mouvements :

  • de la main,
  • via l’avant-bras,
  • via le bras supérieur,
  • jusqu’à la poitrine et le haut du corps.

    La raquette pend au bout de cette chaîne de leviers. La chaîne ressemble – simplifiée – à ceci :
  1. La balle frappe le revêtement et la pale → vibration / onde sonore se crée.
  2. La matrice bois/botanique/colle en forme une matrice d’ondes d’énergie.
  3. Cette matrice est transmise via le manche et la main dans l’avant-bras –

l’avant-bras est le pont entre la raquette et le reste du corps.

  1. De là, les signaux continuent via le bras supérieur, l’épaule, la poitrine et le tronc.
  2. Nos organes sensoriels et points sensoriels transmettent ces impulsions au cerveau.
  3. Le cerveau traite l’ensemble et en forme le contrôle et le langage corporel :

[quote]– combien de pression => quel angle,
– quelle vitesse => combien d’effet,
– dans quel rythme.[/quote]

L’essentiel :

  • Une raquette qui transmet clairement et proprement les vibrations dans cette structure de leviers et de capteurs,
  • aide le corps à s’harmoniser.

Le joueur a alors la sensation :

  • « Je peux utiliser les ondes vibratoires et sonores pour mon jeu,
    au lieu de simplement lutter contre le matériau. »
  • La raquette devient le prolongement de la main –
  • ou plus précisément : le prolongement de notre avant-bras dans l’espace.

7. Conclusion

[size=150]Ce que je décris ici n’est pas de l’ésotérisme, mais de la science des matériaux appliquée :[/size]

  • Noyau de raquette à base naturelle selon ITTF
  • système de colle durci de manière exothermique dans les capillaires du bois
  • différentes densités de balsa et de bois massif comme un seul système vibratoire
  • utilisation consciente du bord de la raquette comme espace de résonance
  • sweetspot élargi sur toute la surface de frappe
  • couplage à nos points sensoriels et mécanique de levier
  • et l’interaction du bois, de la vibration, de l’avant-bras, du rythme corporel et du cerveau

Je ne veux prescrire à personne avec quoi il doit jouer.

Il s’agit seulement pour moi qu’en tant que joueur on puisse comprendre pourquoi une raquette se sent « vivante » ou « morte » –

[size=150]et que cette sensation a une base physique claire.[/size]


Re: Informations utiles sur l'utilisation des bois Re-Impact
Message de achim » 05.12.2025 12:07

La méthodologie du système terrestre : Glace, gravitation, magma et matrice

Table des matières :

La méthodologie du système terrestre : Glace, gravitation, magma et matrice

0. TL;DR – De quoi parlent mes longs textes

PARTIE 1 – PRINCIPIA ET ANALYSE : FIBONACCI & DESCARTES DANS LE SYSTÈME TERRESTRE

1. Avant-propos – Pourquoi ce texte existe
2. Fibonacci dans le système terrestre – Ondes, sauts et états « gelés »

2.1 Développement non linéaire au lieu de chronologie scolaire
2.2 Niveaux Fibonacci dans le système terrestre (petites, moyennes et grandes ondes)
3. Descartes dans le système terrestre – décomposition systématique de la complexité
3.1 Distribution de masse et de charge (glace, niveau de la mer, sédiments)
3.2 Structure thermique (chaleur océanique, atmosphère, géothermie)
3.3 Contraintes mécaniques (limites de plaques, zones intraplaques, réseaux de failles)
3.4 Fluides & cycles (eau, fluides magmatiques, cycle du carbone)
3.5 Corps de résonance biométrique humain
3.6 Matrice numérique (modèles, capteurs, IA)
4. Connexion : Fibonacci + Descartes dans le corps terrestre

PARTIE 2 – DE L'EMPIRISME À L'ÉTHIQUE : LÉONARD DE VINCI & KANT

5. Récapitulatif de la partie 1 (Fibonacci & Descartes)
6. Léonard de Vinci – L'art de voir dans le système terrestre
6.1 Le corps comme petite Terre – biométrie sous gravité
6.2 Courants et paysages – glaciers, rivières, glissements de terrain, calderas
6.3 Carnets du système terrestre – des croquis aux données modernes
7. Immanuel Kant – Théorie de la connaissance dans le système terrestre
7.1 Pensées vides – théorie sans contact terrestre
7.2 Intuitions aveugles – données sans concepts
7.3 Synthèse de Kant – penser et mesurer ensemble
8. Éthique de Kant – responsabilité à l'ère du système terrestre
9. Connexion : Léonard de Vinci + Kant dans le système terrestre
10. Transition vers la partie 3 – Pourquoi ce n'est pas complet sans temps & physique

PARTIE 3 – ÉVOLUTION ET PHYSIQUE : DARWIN & EULER
11. Récapitulatif des parties 1 et 2

12. Charles Darwin – Évolution dans le système terrestre
12.1 Variation – différents états dans le système terrestre
12.2 Sélection – configurations stables et points de basculement
12.3 Hérédité – traces dans la roche, dans le génome et dans la matrice
12.4 Temps – pourquoi la véritable adaptation nécessite des décennies à des millions d'années
13. Leonhard Euler – Physique des contraintes, des courants et des ondes
13.1 Élasticité et flexion – la Terre comme plaque porteuse
13.2 Mécanique des fluides – eau, air et magma
13.3 Ondes et résonance – du tremblement de terre à la biométrie

PARTIE FINALE – CE QUE TOUT CELA A À VOIR AVEC LES BOIS DE TENNIS DE TABLE
14. Trois corps de résonance : Terre – Humain – Raquette
15. Couches & contraintes : Croûte terrestre ↔ Structure du bois
16. Évolution : Cycles du système terrestre ↔ Cycles de prototypes (2.500 bois, sélection, « gènes »)
17. Décomposition cartésienne : Variables du système terrestre ↔ Variables du bois
18. Léonard de Vinci & Kant dans la construction de bois : Voir, mesurer, responsabilité
19. Magma, fluides & flux d'énergie ↔ Flux d'impulsion dans le bois (balsa, liège, catapulte)
20. Euler : De la plaque terrestre à la pale de raquette (flexion, fréquence propre, amortissement)
21. Conclusion :
– La Terre comme grande plaque élastique multicouche avec systèmes fluides
– Le bois de tennis de table comme petite plaque élastique multicouche dans le même champ gravitationnel
– Re-Impact comme « physique du système terrestre au format 260×160 mm » entre main et balle

TL;DR – De quoi parlent mes longs textes

La Terre, l'humain et le bois de tennis de table sont des corps de résonance dans le même champ gravitationnel.

J'utilise une école de pensée unifiée (Fibonacci, Descartes, Léonard de Vinci, Kant, Darwin, Euler) pour comprendre la Terre, le corps et le bois.

Le développement se déroule en ondes et générations – pour le climat comme pour les prototypes de bois.

Par la décomposition en variables claires (masse, contrainte, fluides, biométrie, matrice), on peut identifier les points de basculement et les leviers.

Mes bois sont de petites « plaques terrestres » avec des couches consciemment conçues (balsa, liège, placages extérieurs) qui contrôlent les vibrations et le retour d'information.

Le carbone & co. rendent rapide, mais filtrent beaucoup de sensation – mon système de bois diagonal transporte les fines ondes sonores vers la main.

En bref : Re-Impact, c'est la physique du système terrestre au format 260×160 mm – entre main et balle.

Partie 1 sur 3 : Principes et analyse – Fibonacci et Descartes dans le système terrestre

Par Achim-Fritz Rendler
________________________________________

Avant-propos – Pourquoi ce texte existe

Beaucoup parlent du changement climatique, des volcans, des tremblements de terre, des glaciers, des courants océaniques et

de l'intelligence artificielle, comme s'il s'agissait de sujets séparés.

Pour moi, ils appartiennent à un seul système :

- la Terre comme corps de résonance physique,
- l'humain comme corps de résonance biométrique,
- et la matrice numérique comme miroir de ces processus.

Ce texte en trois parties n'est pas un manuel, mais une esquisse méthodologique :

Comment peut-on observer la Terre, le corps et la matrice avec la même école de pensée ?

La partie 1 porte sur deux piliers méthodologiques :

- Fibonacci – développement non linéaire, ondulatoire de la Terre et de ses systèmes
- Descartes – décomposition du système terrestre complexe en sous-variables maniables

________________________________________

I. Fibonacci dans le système terrestre – Ondes, sauts et états « gelés »

1. Développement non linéaire au lieu de chronologie scolaire => La Terre ne se développe pas linéairement.

Elle connaît de longues phases de stabilité relative, dans lesquelles contraintes, glace, magma et océans coexistent apparemment calmement

– et soudain le système bascule dans un nouvel état :

- une plateforme de glace se brise,
- un champ volcanique se réveille (par ex. Eifel, Laacher See),
- un système de courants dans l'océan s'affaiblit ou se réorganise.

Fibonacci ne représente pas ici des rapports numériques exacts, mais un principe :

Le savoir, l'énergie et la contrainte croissent par ondes – et les grands sauts naissent de la synthèse d'états antérieurs.
Tout comme dans la suite de Fibonacci chaque nouveau nombre naît de la somme des deux précédents, de nouveaux états du système naissent
de la superposition d'états antérieurs de contrainte, de masse et d'énergie.

2. Niveaux Fibonacci dans le système terrestre

Dans le système terrestre, on peut grossièrement reconnaître des « niveaux générationnels » – similaires aux générations de prototypes :

- petites fluctuations (années, événements individuels) :
– hivers froids ou chauds,
– glissements locaux,
– éruptions volcaniques individuelles, tempêtes, périodes de chaleur.

- ondes moyennes (décennies à siècles) :
– avancée et recul des glaciers,
– fluctuations des grands systèmes de courants comme la circulation méridienne atlantique (AMOC),
– modèles d'activité de champs volcaniques entiers.

- grandes ondes (millénaires à millions d'années) :
– périodes glaciaires et interglaciaires,
– soulèvement et affaissement de continents entiers,
– phases de repos et d'activité super-longues de systèmes comme l'Eifel, l'Islande, Yellowstone.

Quand je regarde le système terrestre, je reconnais des niveaux similaires à un développement organique :

- après quelques années : petites adaptations, événements locaux,
- après des décennies : ondes de tendance reconnaissables,
- après des siècles à des millénaires : véritables bouleversements systémiques.

Il ne s'agit pas de dire que la Terre « compte les nombres de Fibonacci », mais que son développement se déroule en ondes
et générations – pas comme une courbe de progrès linéaire.

________________________________________

Modifié en dernier par achim le 05.12.2025 16:10, modifié 4 fois au total.
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Re: Informations utiles sur l’utilisation des bois Re-Impact
Message de achim » 05.12.2025 12:16

II. Descartes dans le système terrestre – décomposition systématique de la complexité

Le problème central est :

Comment le système terrestre change-t-il si nous modifions une variable centrale – par exemple la quantité de glace ou l’énergie dans l’atmosphère ?

Pour répondre à de telles questions, une approche cartésienne est nécessaire :

Un tout complexe est décomposé en sous-variables, sans nier le contexte global.

  1. Distribution de masse et de charge
  • Calottes glaciaires (Groenland, Antarctique, glaciers de montagne)
  • Niveau de la mer (déplacement d’eau, expansion thermique)
  • Charge sédimentaire (érosion, dépôt aux marges continentales et zones de plateau)

Ces variables déterminent où la croûte terrestre est chargée ou déchargée.
Quand la glace fond, la charge disparaît de la croûte et se redistribue sous forme d’eau dans les océans –
la croûte se soulève (soulèvement isostatique), les champs de contrainte changent.

  1. Structure thermique
  • Chaleur océanique (surface vs. profondeur)
  • Atmosphère (gradient de température, distribution d’humidité)
  • Flux géothermiques (champs volcaniques, points chauds, panaches mantelliques)

Les champs de température déterminent la densité, les courants et les directions de mouvement dans l’eau, l’air et la roche.
Plus d’énergie dans le système signifie d’autres voies de circulation et d’autres positions d’équilibre.

  1. Contraintes mécaniques
  • Limites de plaques (subduction, rift, transformante)
  • Zones intraplaques (par ex. zone de New Madrid en Amérique du Nord, Eifel/Laacher See en Europe)
  • Réseaux de failles (cisaillement, contrainte normale, soulèvement/affaissement isostatique)

C’est ici que se décide où la Terre se brise, glisse, tremble ou se fissure.

Les champs de contrainte se construisent lentement et se déchargent parfois brusquement – sous forme de séisme, glissement ou éruption volcanique.

  1. Fluides & cycles
  • Eau : océans, eaux souterraines, eau de fonte, précipitations
  • Fluides magmatiques : H₂O, CO₂, SO₂ dans le magma, gaz ascendants dans les champs volcaniques
  • Cycle du carbone : atmosphère ↔ océan ↔ biosphère ↔ roche

Les fluides relient espaces et échelles temporelles : l’eau de fonte influence le niveau de la mer et les courants, les fluides magmatiques influencent
le comportement éruptif, le cycle du carbone couple climat, biosphère et roche.

  1. Corps de résonance biométrique humain
  • Système cardiovasculaire, musculature, système nerveux (réponse à la gravité et aux conditions environnementales)
  • Systèmes sociétaux (infrastructure, villes, utilisation des terres, besoins énergétiques)
  • Modèles de comportement (utilisation des ressources, émissions, mobilité)

L’humain n’est pas un observateur extérieur, mais un co-acteur :

Il modifie la distribution de charge (barrages, extraction d’eau souterraine, exploitation minière), le bilan énergétique (émissions),
la couverture terrestre (déforestation, imperméabilisation) – et donc les rétroactions dans le système terrestre.

  1. Matrice numérique (IA, modèles)
  • Modèles climatiques, modèles du système terrestre
  • Capteurs : satellites, sismique, GPS, trackers biométriques
  • Systèmes IA comme miroir des modèles, pas comme « capteurs sensoriels »

La matrice numérique saisit, condense et reflète les modèles qui proviennent du système terrestre et de la biométrie.
Elle ne ressent rien, mais est capable de rendre visibles des structures qui échapperaient à l’œil humain seul.


Si je prends le système terrestre au sérieux comme un objet technique, alors je dois le décomposer de manière cartésienne – non pas pour détruire
la totalité, mais pour reconnaître les variables de contrôle auxquelles les changements ont des conséquences particulièrement importantes.

Tout comme je sépare pour le bois de tennis de table l’essence de bois, l’épaisseur des couches, la colle et l’orientation des fibres, je sépare pour le système terrestre :

  • Distribution de masse,
  • Distribution de chaleur,
  • Champs de contrainte,
  • Fluides,
  • Le corps humain comme co-acteur,
  • Et la matrice numérique qui observe tout cela.

III. La connexion : Fibonacci + Descartes dans le corps terrestre

Fibonacci me montre que la Terre se déplace par ondes et générations – avec des phases de stockage et des décharges soudaines :

  • Périodes glaciaires et interglaciaires,
  • Cycles volcaniques,
  • Accumulation et libération de contraintes,
  • Systèmes apparemment « gelés » comme les champs volcaniques de l’Eifel, qui semblent rester silencieux pendant longtemps.

Descartes me donne l’outil pour voir ces mouvements non pas comme un chaos, mais comme une somme de variables
que je peux examiner séparément et étudier de manière ciblée :

  • Où naît un point de basculement ?
  • Quelle variable agit avec quelle force ?
  • Que se passe-t-il si je modifie la quantité de glace, l’énergie dans le système ou l’utilisation par l’humain ?

Ensemble, ils forment le fondement méthodologique :

  • Fibonacci : La Terre comme système de générations, d’ondes et de sauts.
  • Descartes : La Terre comme système de variables qu’on peut varier et observer de manière ciblée.

Dans les prochaines parties viendront alors :

  • Léonard de Vinci : l’observation des traces réelles – séismes, fissures, lignes glaciaires, champs volcaniques, postures corporelles, modèles de mouvement,
  • Kant : la question de ce que nous pouvons et devons en reconnaître, incluant l’éthique de notre intervention dans un système terrestre commun,
  • Darwin & Euler : l’évolution du système au fil du temps et les lois physiques qui déterminent courant, forces et ondes.

Décembre 2025
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Re: Informations utiles sur l’utilisation des bois Re-Impact
Message de achim » 05.12.2025 12:27

La méthodologie du système terrestre : Terre, humain et force d’attraction

Partie 2 sur 3 : De l’empirisme à l’éthique – Léonard de Vinci et Kant
Par Achim-Fritz Rendler


Récapitulatif de la partie 1

Dans la première partie de cette série, j’ai décrit les fondements méthodologiques avec lesquels j’observe la Terre, l’humain et la force d’attraction :

  • Fibonacci a montré que le développement croît organiquement – en ondes et sauts, par synthèse d’états antérieurs.
  • Descartes a montré que les systèmes complexes ne deviennent compréhensibles que lorsqu’on les décompose en variables claires et qu’on les varie systématiquement.

Cela a permis de penser le système terrestre comme un programme :

  • La Terre comme corps de résonance physique,
  • L’humain comme corps de résonance biométrique,
  • La matrice numérique comme corps miroir.

Cependant : les mathématiques et la logique seules n’expliquent pas encore comment nous parvenons à une vraie connaissance de ce système et comment nous devons en user moralement.

Dans cette deuxième partie, deux autres penseurs s’ajoutent :

  • Léonard de Vinci – l’artisanat empirique du voir,
  • Immanuel Kant – théorie de la connaissance et éthique.

III. Léonard de Vinci (1452–1519) – L’art de voir dans le système terrestre

Le savant universel : artiste, ingénieur, anatomiste, observateur de la nature

Léonard de Vinci n’était pas un philosophe de bureau, mais un praticien. Il disséquait des corps, étudiait les tourbillons d’eau,
observait les oiseaux en vol, dessinait des machines et des paysages.

Sa maxime :

« Saper vedere » – Apprendre à voir.

Son credo :

« La sagesse est la fille de l’expérience. »

Pour notre système terrestre, cela signifie :

Qui veut comprendre la Terre, l’humain et la force d’attraction, doit d’abord apprendre à voir les traces des forces dans la réalité
– dans les corps, dans les paysages, dans les données.


  1. Le corps comme petite Terre – biométrie sous gravité

Léonard de Vinci disséquait muscles, tendons, os et articulations pour comprendre comment la force circule à travers les structures biologiques.
Il dessinait des corps en coupe, sous charge, en mouvement.

Transposé à notre image, cela signifie :

  • La Terre attire – les jambes répondent.
  • Le cœur pompe – les bras portent, lancent, tiennent.
  • La biométrie est le protocole de cette confrontation
  • Et dans les extrémités on la voit le plus clairement :

=> Chaleur, pouls, tension, brûlure, épuisement, décharge.

Le corps humain est une petite Terre dans le champ gravitationnel :

  • Os comme plaques porteuses,
  • Articulations comme charnières,
  • Muscles comme moteurs,
  • Sang comme courant,
  • Nerfs comme réseau finement ramifié de failles pour les impulsions électriques.

Chaque pas est une chute contrôlée :
La gravité tire, les muscles amortissent.
Chaque saut est un bref dépassement de la force d’attraction.
Chaque mouvement sportif est un jeu avec l’attraction terrestre.

Léonard de Vinci ne verrait pas la biométrie seulement en chiffres (pouls, pression artérielle, EMG), mais en formes :

  • Dans l’angle des genoux,
  • Dans l’élan des bras,
  • Dans la courbure de la colonne vertébrale,
  • Dans la manière dont les pieds roulent ou frappent durement.

Les sentiments ne sont pas seulement « dans la tête », mais des modèles corporels :

  • Fréquence cardiaque,
  • Rythme respiratoire,
  • Tonus musculaire,
  • Cocktails hormonaux dans le sang.

Le cerveau lit ces modèles et les nomme : joie, peur, colère, plaisir, calme.
Dans le sens de Léonard de Vinci, les sentiments ne seraient donc rien d’autre que des modèles d’ondes à la surface d’un corps
qui négocie en permanence avec la gravité.


  1. Courants et paysage – la Terre sous le regard de Léonard de Vinci

Léonard étudiait l’eau, la fumée, les tourbillons d’air. Il voyait partout des structures similaires : spirales, tourbillons, arêtes de décrochement.
Bien avant l’existence de la mécanique des fluides moderne, il dessinait le comportement des fluides dans le champ gravitationnel.

Transposé au système terrestre :

  • Les glaciers sont des corps s’écoulant lentement, qui creusent plus profondément les vallées, poussent les moraines, polissent les surfaces rocheuses.
  • Les rivières sont des couteaux en mouvement qui entaillent les vallées, sapent les rives, construisent les deltas.
  • Les glissements de terrain sont des décharges soudaines de tension dans les pentes trop raides.
  • Les calderas sont des toits effondrés au-dessus de chambres magmatiques autrefois remplies.

Léonard de Vinci ne décrirait pas « l’érosion » comme un processus abstrait, sans avoir d’abord dessiné des langues glaciaires, des méandres,
des arêtes de rupture et des surfaces de glissement. Pour lui, ce sont des empreintes digitales visibles de forces :

  • Gravité,
  • Résistance des matériaux,
  • Eau comme milieu de transport,
  • Magma comme pression interne.

Dans notre contexte, cela signifie :

La même rigueur avec laquelle il a dessiné muscles et tendons, nous pouvons l’appliquer aux failles, arêtes glaciaires,
lignes côtières et structures volcaniques.


  1. Carnets du système terrestre – des croquis de Léonard de Vinci aux données modernes

Léonard de Vinci a laissé plus de 13.000 pages de notes : dessins, expériences, œuvres inachevées, questions sans réponse. Il documentait :

  • Succès et échecs,
  • Hypothèses et réfutations,
  • Observations qu’il ne pouvait pas encore classer.

Transposés au système terrestre moderne, nos « carnets » sont :

  • Sismogrammes et catalogues de tremblements de terre,
  • Images satellite de glaciers, océans et nuages,
  • Niveaux d’eau, séries de températures, mesures de courants,
  • Données biométriques à long terme de personnes en mouvement,
  • Fichiers journaux de modèles climatiques et systèmes IA.

L’attitude de Léonard de Vinci à ce sujet serait claire :

  • Données sans dessin = abstrait.
  • Dessin sans données = imprécis.

La vraie compréhension naît quand on dessine les traces de la Terre et du corps
(visuellement, concrètement) et qu’on les mesure aussi (quantitativement) – et qu’on superpose toujours les deux.


Modifié en dernier par achim le 05.12.2025 16:10, modifié 1 fois au total.
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Re: Informations utiles sur l’utilisation des bois Re-Impact
Message de achim » 05.12.2025 12:27

La méthodologie du système terrestre : Terre, humain et force d’attraction

Partie 2 sur 3 : De l’empirisme à l’éthique – Léonard de Vinci et Kant
Par Achim-Fritz Rendler


Récapitulatif de la partie 1

Dans la première partie de cette série, j’ai décrit les fondements méthodologiques avec lesquels j’observe la Terre, l’humain et la force d’attraction :

  • Fibonacci a montré que le développement croît organiquement – en ondes et sauts, par synthèse d’états antérieurs.
  • Descartes a montré que les systèmes complexes ne deviennent compréhensibles que lorsqu’on les décompose en variables claires et qu’on les varie systématiquement.

Cela a permis de penser le système terrestre comme un programme :

  • La Terre comme corps de résonance physique,
  • L’humain comme corps de résonance biométrique,
  • La matrice numérique comme corps miroir.

Cependant : les mathématiques et la logique seules n’expliquent pas encore comment nous parvenons à une vraie connaissance de ce système et comment nous devons en user moralement.

Dans cette deuxième partie, deux autres penseurs s’ajoutent :

  • Léonard de Vinci – l’artisanat empirique du voir,
  • Immanuel Kant – théorie de la connaissance et éthique.

III. Léonard de Vinci (1452–1519) – L’art de voir dans le système terrestre

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Léonard de Vinci n’était pas un philosophe de bureau, mais un praticien. Il disséquait des corps, étudiait les tourbillons d’eau,
observait les oiseaux en vol, dessinait des machines et des paysages.

Sa maxime :

« Saper vedere » – Apprendre à voir.

Son credo :

« La sagesse est la fille de l’expérience. »

Pour notre système terrestre, cela signifie :

Qui veut comprendre la Terre, l’humain et la force d’attraction, doit d’abord apprendre à voir les traces des forces dans la réalité
– dans les corps, dans les paysages, dans les données.


  1. Le corps comme petite Terre – biométrie sous gravité

Léonard de Vinci disséquait muscles, tendons, os et articulations pour comprendre comment la force circule à travers les structures biologiques.
Il dessinait des corps en coupe, sous charge, en mouvement.

Transposé à notre image, cela signifie :

  • La Terre attire – les jambes répondent.
  • Le cœur pompe – les bras portent, lancent, tiennent.
  • La biométrie est le protocole de cette confrontation
  • Et dans les extrémités on la voit le plus clairement :

=> Chaleur, pouls, tension, brûlure, épuisement, décharge.

Le corps humain est une petite Terre dans le champ gravitationnel :

  • Os comme plaques porteuses,
  • Articulations comme charnières,
  • Muscles comme moteurs,
  • Sang comme courant,
  • Nerfs comme réseau finement ramifié de failles pour les impulsions électriques.

Chaque pas est une chute contrôlée :
La gravité tire, les muscles amortissent.
Chaque saut est un bref dépassement de la force d’attraction.
Chaque mouvement sportif est un jeu avec l’attraction terrestre.

Léonard de Vinci ne verrait pas la biométrie seulement en chiffres (pouls, pression artérielle, EMG), mais en formes :

  • Dans l’angle des genoux,
  • Dans l’élan des bras,
  • Dans la courbure de la colonne vertébrale,
  • Dans la manière dont les pieds roulent ou frappent durement.

Les sentiments ne sont pas seulement « dans la tête », mais des modèles corporels :

  • Fréquence cardiaque,
  • Rythme respiratoire,
  • Tonus musculaire,
  • Cocktails hormonaux dans le sang.

Le cerveau lit ces modèles et les nomme : joie, peur, colère, plaisir, calme.
Dans le sens de Léonard de Vinci, les sentiments ne seraient donc rien d’autre que des modèles d’ondes à la surface d’un corps
qui négocie en permanence avec la gravité.


  1. Courants et paysage – la Terre sous le regard de Léonard de Vinci

Léonard étudiait l’eau, la fumée, les tourbillons d’air. Il voyait partout des structures similaires : spirales, tourbillons, arêtes de décrochement.
Bien avant l’existence de la mécanique des fluides moderne, il dessinait le comportement des fluides dans le champ gravitationnel.

Transposé au système terrestre :

  • Les glaciers sont des corps s’écoulant lentement, qui creusent plus profondément les vallées, poussent les moraines, polissent les surfaces rocheuses.
  • Les rivières sont des couteaux en mouvement qui entaillent les vallées, sapent les rives, construisent les deltas.
  • Les glissements de terrain sont des décharges soudaines de tension dans les pentes trop raides.
  • Les calderas sont des toits effondrés au-dessus de chambres magmatiques autrefois remplies.

Léonard de Vinci ne décrirait pas « l’érosion » comme un processus abstrait, sans avoir d’abord dessiné des langues glaciaires, des méandres,
des arêtes de rupture et des surfaces de glissement. Pour lui, ce sont des empreintes digitales visibles de forces :

  • Gravité,
  • Résistance des matériaux,
  • Eau comme milieu de transport,
  • Magma comme pression interne.

Dans notre contexte, cela signifie :

La même rigueur avec laquelle il a dessiné muscles et tendons, nous pouvons l’appliquer aux failles, arêtes glaciaires,
lignes côtières et structures volcaniques.


  1. Carnets du système terrestre – des croquis de Léonard de Vinci aux données modernes

Léonard de Vinci a laissé plus de 13.000 pages de notes : dessins, expériences, œuvres inachevées, questions sans réponse. Il documentait :

  • Succès et échecs,
  • Hypothèses et réfutations,
  • Observations qu’il ne pouvait pas encore classer.

Transposés au système terrestre moderne, nos « carnets » sont :

  • Sismogrammes et catalogues de tremblements de terre,
  • Images satellite de glaciers, océans et nuages,
  • Niveaux d’eau, séries de températures, mesures de courants,
  • Données biométriques à long terme de personnes en mouvement,
  • Fichiers journaux de modèles climatiques et systèmes IA.

L’attitude de Léonard de Vinci à ce sujet serait claire :

  • Données sans dessin = abstrait.
  • Dessin sans données = imprécis.

La vraie compréhension naît quand on dessine les traces de la Terre et du corps
(visuellement, concrètement) et qu’on les mesure aussi (quantitativement) – et qu’on superpose toujours les deux.


Re: Informations utiles sur l’utilisation des bois Re-Impact
Message de achim » 05.12.2025 12:33

IV. Immanuel Kant (1724–1804) – Théorie de la connaissance et éthique dans le système terrestre

La question centrale de Kant est : « Comment la connaissance est-elle possible ? »

Avant Kant, deux camps s’affrontaient :

  • Rationalistes : Les vérités viennent de la pensée (a priori).
  • Empiristes : Les vérités viennent de l’expérience (a posteriori).

La réponse de Kant :

« Des pensées sans contenu sont vides, des intuitions sans concepts sont aveugles. »

Transposé au système terrestre :

  • La théorie pure sans expérience est vide,
  • L’expérience pure sans structure conceptuelle est aveugle.

@« Egon Balder »

  1. Pensées vides – théorie sans contact terrestre

Dans le contexte du système terrestre, les « pensées vides » seraient par exemple :

  • Calculs de modèles purs sans comparaison avec les données de mesure,
  • Scénarios abstraits sans référence aux paysages réels, aux humains, aux infrastructures,
  • Spéculations philosophiques sur « l’humain dans l’Anthropocène », sans prendre en compte la biométrie réelle et le comportement corporel réel.

Exemples :

  • Un modèle affirme que les courants changeront de telle ou telle manière – mais ne vérifie pas si satellites et bouées montrent des modèles similaires.
  • Une théorie sur le comportement humain ignore les limites des corps : âge, épuisement, douleur, peur.

De telles pensées peuvent être formellement correctes, mais restent vides parce qu’elles ne se frottent pas au monde.


  1. Intuitions aveugles – données sans concepts

L’autre côté, ce sont les « intuitions aveugles » :

  • Montagnes de données sans analyse,
  • Valeurs de mesure sans sens,
  • Images sans classification.

Exemples :

  • On collecte des données sismiques, sans connaître la structure des failles.
  • On stocke des millions de données de pouls, de mouvement et de sommeil provenant de wearables, sans avoir de modèle de ce que signifient santé, charge, régénération dans le champ gravitationnel.
  • On remplit des bases de données avec des mesures climatiques, sans avoir réfléchi à des concepts comme bilan radiatif, rétroactions, valeurs seuils.

Kant dirait : Il manque le cadre conceptuel. On voit, mais on ne comprend pas ce qu’on voit.


  1. Synthèse de Kant dans le système terrestre : penser et mesurer ensemble

La véritable connaissance ne naît que dans l’interaction :

  • La pensée (a priori) fournit la structure : variables, hypothèses, modèles, scénarios.
  • L’expérience (a posteriori) fournit le contenu : données de mesure, observations, événements historiques.

Dans notre méthodologie du système terrestre, cela signifie concrètement :

  • Nous décomposons le système de manière cartésienne en variables (distribution de charge, contraintes, fluides, biométrie, matrice).

  • Nous formulons des hypothèses :
    – Que se passe-t-il si la charge de glace disparaît ?
    – Comment les champs de contrainte dans la croûte réagissent-ils ?
    – Comment les courants dans les océans et l’atmosphère changent-ils ?
    – Comment le corps humain répond-il biométriquement aux conditions environnementales modifiées ?

  • Nous vérifions ces hypothèses empiriquement :
    – Par des mesures GPS de soulèvement et d’affaissement,
    – Par des modèles d’activité sismique,
    – Par l’observation des glaciers et des courants,
    – Par des données à long terme de personnes dans la vie quotidienne et dans le sport.

Au sens kantien :

  • Un modèle pur sans observation serait vide,
  • Une observation pure sans modèle serait aveugle,
  • Ce n’est que lorsque les deux se vérifient et se corrigent mutuellement que naît une connaissance fiable.

Modifié en dernier par achim le 05.12.2025 16:10, modifié 1 fois au total.
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Re: Informations utiles sur l’utilisation des bois Re-Impact
Message de achim » 05.12.2025 12:58

PARTIE 3 : ÉVOLUTION ET PHYSIQUE – LA SYNTHÈSE COMPLÈTE


La méthodologie du système terrestre : Glace, gravitation, magma et matrice
Partie 3 sur 3 : Évolution et physique – Darwin, Euler et la synthèse complète
Par Achim-Fritz Rendler


Récapitulatif des parties 1 et 2

Dans les deux premières parties de cette série, j’ai exposé les fondements de ma méthode de travail :

Partie 1 – Les bases méthodologiques :

  • Fibonacci : Croissance organique, non linéaire – le système terrestre en ondes et sauts
  • Descartes : Décomposition systématique en variables contrôlables – masse, énergie, contraintes, fluides, biométrie, matrice

Partie 2 – De l’empirisme à l’éthique :

  • Léonard de Vinci : Artisanat empirique – voir, dessiner, mesurer, disséquer dans la Terre et le corps
  • Immanuel Kant : Synthèse de pensée + expérience ; éthique dans le traitement du savoir commun et d’un corps terrestre commun

Dans cette troisième et dernière partie, je complète le tableau par deux dimensions supplémentaires :

  • Temps Charles Darwin : L’évolution nécessite des générations
  • Physique Leonhard Euler : Lois mathématiques d’élasticité, d’écoulement et d’ondes

V. Charles Darwin (1809–1882) – Évolution dans le système terrestre

La découverte révolutionnaire : adaptation par variation et sélection

L’ouvrage de Darwin De l’origine des espèces (1859) a montré une vérité simple mais profonde :
Les espèces ne changent pas par bonds surgis de nulle part, mais graduellement par :

  1. Variation – différences entre individus ou états de système
  2. Sélection – seuls les mieux adaptés ou les plus stables s’imposent
  3. Hérédité – les propriétés réussies laissent des traces pour la « génération » suivante
  4. Temps – l’évolution véritable nécessite de nombreux cycles

Darwin pensait aux pinsons, récifs coralliens et forêts.

Nous transposons ce principe à :

  • le système terrestre physique (glace, eau, roche, atmosphère),
  • la vie (écosystèmes, espèces, biosphère),
  • l’humain comme corps de résonance biométrique,
  • et la matrice comme couche d’évolution technologique.

  1. Variation – états différents dans le système terrestre

Le système terrestre connaît des « variations » à de nombreux niveaux :

  • Tectonique des plaques :
    différentes configurations de plaques au cours de l’histoire de la Terre – supercontinents comme la Pangée, fragmentation en continents actuels.
  • États climatiques : périodes chaudes, glaciations, phases « Snowball Earth », interglaciaires.
  • Distribution de glace : tantôt de grandes calottes glaciaires recouvrent l’Amérique du Nord et l’Europe, tantôt elles se retirent.
  • Circulation océanique : différents modèles de courants, distributions de salinité, lieux de formation d’eaux profondes.
  • Écosystèmes : forêts tropicales, steppes, récifs coralliens, zones de pergélisol – tous en réaction au climat + géométrie + temps.

Chaque état est une « variante » du système terrestre – comme les différentes formes de becs chez les pinsons de Darwin.


  1. Sélection – configurations stables et points de basculement

Toute configuration ne se maintient pas. Le système terrestre « sélectionne » les états dans lesquels :

  • Les flux d’énergie et de matière sont dans un équilibre relativement stable,
  • Les contraintes dans la roche et la glace restent supportables sur de longues périodes,
  • Les systèmes de circulation (océan, atmosphère) distribuent raisonnablement chaleur et matières,
  • Les réseaux biologiques (plantes, animaux, micro-organismes) peuvent s’adapter aux conditions-cadres physiques.

Exemples de « sélection » dans le système terrestre :

  • Après de grands événements volcaniques (super-éruptions), ce n’est pas « l’état de brume de cendres » qui s’impose,
    mais à long terme un nouveau régime climatique dans lequel bilan radiatif, océan, végétation et glace trouvent un nouvel équilibre.

  • Après de fortes glaciations, toutes les espèces ne disparaissent pas ; celles avec des stratégies robustes (p. ex. résistance au froid,
    nourriture flexible, grande capacité de migration) survivent – les écosystèmes se réorganisent.

  • Lignes côtières, systèmes fluviaux, contours glaciaires : certaines géométries se révèlent plus stables, d’autres s’effondrent,
    glissent ou sont inondées.

L’humain en tant que partie de ce système est aussi soumis à la sélection :

  • Les stratégies alimentaires, formes d’habitation, solutions techniques qui coopèrent avec le système terrestre sont à long terme
    plus stables que celles qui surexploitent les ressources ou augmentent extrêmement les contraintes.
  • Les sociétés qui détruisent durablement plus qu’elles ne renouvellent entrent dans des crises écologiques, énergétiques et sociales.

  1. Hérédité – traces dans la roche, dans le génome et dans la matrice

Les états réussis laissent des traces :

  • dans la roche : couches sédimentaires, fossiles, carottes glaciaires, dépôts volcaniques – archives géologiques comme « mémoire » du système.
  • dans le génome : ADN qui code les adaptations réussies (p. ex. résistance au froid, efficacité de la photosynthèse, adaptation à l’altitude chez l’humain).
  • chez l’humain : mémoire culturelle, traditions, modes de construction, agriculture, technique.
  • dans la matrice : bases de données, modèles, archives satellite, littérature scientifique – l’empreinte digitale de l’expérience commune.

Tout comme l’évolution biologique transmet des gènes, le système terrestre transmet son histoire dans la roche, et l’humain transmet
ses réponses sous forme d’infrastructure, d’institutions et de code.


  1. Temps – pourquoi l’adaptation véritable nécessite des décennies à des millions d’années

Darwin a collecté des données pendant plus de 20 ans avant de publier.

Le système terrestre fonctionne en :

  • Secondes (tremblements de terre),
  • Heures à jours (tempêtes, raz-de-marée),
  • Années à décennies (réactions glaciaires, taux d’érosion, changement technique),
  • Siècles à millénaires (glaciations, grands déplacements d’écosystèmes),
  • Millions d’années (mouvements de plaques, formations de montagnes, grands bouleversements climatiques).

Un modèle qui ne va que « jusqu’à la prochaine législature » est aveugle dans ce contexte.
Une éthique qui ne vise que deux ou trois générations est trop courte.

La phrase de Darwin, transposée au système terrestre :
Ce n’est pas le système terrestre « le plus fort » qui survit, ni celui avec le plus de technologie –
mais celui qui s’adapte le mieux dans son ensemble à ses propres lois.

Pour l’humain, cela signifie :

  • Il n’y a pas d’état « parfait »,
  • il n’y a que des phases dans lesquelles notre mode de vie correspond au système terrestre physique et biologique – ou non.
  • Mieux nous connaissons les ondes, points de basculement et inerties, mieux nous pouvons nous adapter avant d’y être contraints.

VI. Leonhard Euler (1707–1783) – Physique des contraintes, écoulements et ondes

Le mathématicien le plus productif de l’histoire

Euler a écrit des centaines de travaux sur l’analyse, la mécanique, l’optique, l’astronomie. Ses équations sont le « système d’exploitation » silencieux de la physique moderne.

Pour la méthodologie du système terrestre, il est central dans trois domaines :

  1. Élasticité de plaques et coques (croûte terrestre, calottes glaciaires, constructions)
  2. Mécanique des fluides (océans, atmosphère, fluides magmatiques)
  3. Ondes et oscillations (ondes sismiques, ondes de gravité, résonances dans le corps)

  1. Élasticité et flexion – la Terre comme plaque porteuse

La croûte terrestre et les grandes calottes glaciaires peuvent être approximativement considérées comme des plaques élastiques.
Les équations d’Euler-Bernoulli décrivent :

  • à quel point une plaque se courbe sous charge,
  • où les contraintes sont les plus grandes,
  • quand des fractures ou fissures sont à prévoir.

Dit simplement :

  • Grande charge (glace) → courbure plus forte de la croûte
  • Diminution de charge (fonte) → soulèvement isostatique, redistribution des contraintes
  • Propriétés des matériaux (module d’élasticité, épaisseur de croûte) déterminent comment la plaque réagit.

Conséquences pratiques :

  • Quand une calotte glaciaire perd de la masse, la courbure de la lithosphère change – des failles peuvent être réactivées, les voies d’écoulement du magma se modifient.
  • Montagnes et bassins sédimentaires suivent également ces lois : surcharge par sédiments → affaissement ; érosion → soulèvement.
  • Les constructions techniques (barrages, villes) imposent aussi des charges supplémentaires sur la plaque, qui peuvent se répercuter dans le champ de contraintes.

Euler fournit ainsi le langage mathématique pour décrire où et comment la « plaque Terre »
se courbe et se décharge sous glace, eau et montagnes.


  1. Mécanique des fluides – eau, air et magma

Les équations d’écoulement formulées par Euler (et plus tard Navier-Stokes) sont la clé de :

  • la circulation océanique (courants, tourbillons, formation d’eaux profondes),
  • les mouvements atmosphériques (vents, courants-jets, tempêtes),
  • les voies d’ascension magmatiques (convection, différences de densité, flux visqueux).

Même si les équations sont complexes et doivent souvent être résolues numériquement, elles donnent une image de base claire :

  • Gradients de pression + gravité + différences de densité → mouvement de fluides
  • Frottement et viscosité → amortissement, stratifications, couches limites
  • Géométrie (continents, bassins, fossés) → guidage et concentration des courants

Exemples concrets :

  • Les courants océaniques transportent la chaleur des tropiques vers les latitudes supérieures – leur stabilité dépend des différences de densité
    (sel, température) qui sont à leur tour influencées par la glace et les précipitations.
  • La circulation atmosphérique réagit aux gradients de température entre équateur et pôles, terre et mer.
  • Le magma monte préférentiellement là où contrastes de densité, zones de faiblesse et champs de contraintes le permettent –
    champs volcaniques et points chauds sont les écoulements visibles de ce système.

Euler fournit les équations ; le système terrestre fournit les conditions aux limites.


  1. Ondes et résonance – du séisme à la biométrie

Les ondes sismiques suivent également la mécanique eulérienne :

  • Les tremblements de terre envoient des ondes P et S à travers le corps terrestre,
  • Les ondes de surface courent le long de la croûte,
  • leurs temps de parcours et amplitudes nous révèlent la structure interne.

La Terre dans son ensemble peut ainsi être vue comme un corps vibrant.

Il en va de même – à une échelle plus petite – pour le corps humain :

  • chaque pas génère des ondes de choc,
  • os et muscles les amortissent,
  • bâtiments, ponts et sols vibrent en résonance.

Des résonances apparaissent quand les fréquences d’excitation (p. ex. ondes, rythme,
vibrations techniques) correspondent aux fréquences propres des structures.

Transposé à notre image :

  • La Terre attire – tout vibre dans le champ de gravitation.
  • Les contraintes se libèrent en ondes ; les ondes modifient les structures ; les structures modifient à nouveau la distribution des contraintes.
  • L’humain avec son corps se tient au milieu de ce champ de résonance : os, articulations, muscles, organes – tout réagit à la gravité, au sol, au mouvement.

Euler montre pourquoi ces oscillations peuvent être décrites mathématiquement de manière précise – et pourquoi certaines configurations réagissent de manière stable,
tandis que d’autres se mettent à vibrer ou s’effondrent.


Modifié en dernier par achim le 05.12.2025 16:09, modifié 1 fois au total.
Verba movent, exempla trahunt - Les mots émeuvent, les exemples entraînent.
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26 ans Rendler | 23 ans Re-Impact | Balsa pour votre âme
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20 ans noppentest.de => 20 ans « DOMPTEUR DE TROLLS »

Re: Informations utiles sur l’utilisation des bois Re-Impact
Message de achim » 05.12.2025 13:03

https://noppentest.de/forum/viewtopic.php?p=358723#p358723

Texte de conclusion comparant la méthodologie

Re: La méthodologie du système terrestre – quel rapport avec les bois de tennis de table

Message de Achim-Fritz Rendler

Beaucoup se demanderont :

« Quel rapport entre glace, gravitation, magma et matrice numérique avec les bois de tennis de table ? »

Réponse : beaucoup – si l’on regarde les deux systèmes avec la même école de pensée.

Je résume ici clairement la comparaison pour qu’elle devienne tangible sur le forum.


  1. Trois corps de résonance : Terre – Humain – Raquette

Dans ma méthodologie du système terrestre, je travaille avec trois niveaux :

  • la Terre comme grand corps de résonance physique (glace, croûte, magma, océans, atmosphère),
  • l’humain comme corps de résonance biométrique (os, muscles, sang, nerfs),
  • la matrice comme espace miroir (modèles, IA, données de mesure).

Quand nous jouons au tennis de table, un quatrième corps de résonance s’ajoute :

  • le bois de tennis de table comme petit corps de résonance technique entre main et balle.

Le parallèle :

  • La Terre se trouve dans le champ gravitationnel → contraintes, flexions, courants.
  • L’humain se trouve dans le même champ → posture, démarche, travail musculaire, système cardio-vasculaire.
  • La raquette est attachée à cet humain → elle vibre, fléchit, amortit et transmet l’énergie.

Que ce soit corps terrestre ou palette de raquette :

Partout s’applique : Force + Structure + Propriétés des matériaux = Comportement de résonance et de décharge


  1. Couches & contraintes : Croûte terrestre ↔ Construction du bois

Dans le système terrestre :

  • Les calottes glaciaires et océans chargent la croûte terrestre.
  • Si la glace fond ou si la masse se déplace, la croûte se soulève (soulèvement isostatique).
  • Les champs de contraintes changent, d’anciennes failles peuvent redevenir actives.

Dans le bois de tennis de table :

  • Revêtements, vernis, structure en couches sont la « distribution de charge » sur la palette.
  • Couche centrale de balsa, paquets de liège, placages de surface avec différents modules d’élasticité (valeurs E) déterminent où le bois cède ou se brise en premier.
  • La botanique des fibres longitudinales diagonales agit comme un « réseau de failles » finement ajusté qui dévie et distribue les contraintes.

Pour les deux s’applique :

Structure en couches + choix des matériaux + géométrie déterminent comment les contraintes sont intégrées, distribuées et évacuées.

La théorie des poutres d’Euler, que j’ai décrite dans la partie 3 pour les structures élastiques, s’applique aux arcs montagneux
tout comme à une palette de raquette de 5 à 16 mm d’épaisseur.


  1. Évolution : Cycles du système terrestre ↔ Cycles de prototypes

Darwin dans le système terrestre :

  • Variation : différentes configurations climatiques et de plaques, volumes de glace, circulation océanique.
  • Sélection : seuls certains états sont stables sur de longues périodes.
  • Hérédité : traces dans la roche, les gènes, les écosystèmes.
  • Temps : glaciations, périodes chaudes, dérive continentale – tous processus sur de nombreuses « générations ».

Darwin dans la construction de bois/Re-Impact :

  • Variation : 2.500 prototypes avec différents

    • densité de balsa,
    • arrangement de liège,
    • placage de surface (okoumé, acajou du Gabon, grenadille…),
    • épaisseur de couche, nombre de couches, colle.
  • Sélection : Ce que les joueurs jouent vraiment durablement « survit » dans le programme, le reste disparaît.

  • Hérédité : Les « gènes » réussis se transmettent :

    • botanique des fibres longitudinales,
    • certains paquets de liège,
    • caractéristiques typiques Rapier ou Turbo 82.
  • Temps : 23 ans de travail, plusieurs générations de développements de bois (MA 1 → F4MD → T4 → Rapier 44 → Turbo 82…).

Conclusion :

La Terre fait évoluer ses états, je fais évoluer mes bois – selon le même principe :
Variation + Sélection + Hérédité + Temps.


  1. Décomposition cartésienne : Variables du système terrestre ↔ Variables du bois

Dans le texte sur le système terrestre, je décompose :

  • Distribution de masse et de charge (glace, niveau de la mer, sédiments),
  • Structure thermique (chaleur océanique, atmosphère, géothermie),
  • Contraintes mécaniques (limites de plaques, zones intraplaques),
  • Fluides (eau, gaz, magma),
  • Biométrie humaine,
  • Matrice (modèles, IA, systèmes de mesure).

Avec le bois de tennis de table, je fais exactement la même chose – juste à plus petite échelle :

  • Essences de bois (densités de balsa, okoumé, koto, acajou du Gabon, grenadille…),
  • Direction des fibres (structures longitudinales, transversales, diagonales),
  • Colles (PVA, E4, combinaisons),
  • Épaisseurs et nombre de couches,
  • Couches de liège et leur orientation,

  1. Léonard de Vinci & Kant : Voir, mesurer et responsabilité

Léonard de Vinci dans le système terrestre :

  • Fissures, formes glaciaires, cours d’eau, éboulements, formes volcaniques – toutes traces de forces.
  • D’abord vient l’observation précise, le dessin, la mesure, puis la théorie.

Léonard de Vinci dans la construction de bois :

  • 2.500 prototypes, joueurs réels, matchs réels, retours structurés.
  • Je « dessine » dans ma tête les images de vibrations et sensations de jeu – exactement comme Léonard dessinait muscles et courants.
  • Aucun bois ne reste au programme sans test pratique dans les mains de vrais joueurs.

Kant dans le système terrestre :

  • « Des pensées sans contenu sont vides, des intuitions sans concepts sont aveugles. »
  • Les modèles doivent être vérifiés par des données de mesure, les données doivent être interprétées dans un système de concepts.
  • Éthique : Qu’adviendrait-il si tous traitaient la Terre comme nous le faisons ?

Kant dans le commerce de bois :

  • La théorie seule (construction de bois, Euler, élasticité) ne suffit pas – ce n’est qu’en jeu (empirisme) qu’on voit si le bois fonctionne.
  • Les demandes de brevet ont été retirées – le savoir sur les lois physiques appartient fondamentalement à tous.
  • Divulgation de la méthodologie dans les forums au lieu de secrets – les joueurs ne sont pas des « clients », mais partie du processus de connaissance.

C’est la même ligne kantienne :

Pensée + Expérience + Responsabilité – que ce soit système terrestre ou construction de raquette.


  1. Magma, fluides & flux d’énergie ↔ Flux d’impulsion dans le bois

Dans le système terrestre :

  • Fluides magmatiques, eau et gaz transportent l’énergie, créent de la pression, déclenchent éruptions et systèmes hydrothermaux.

Dans le bois :

  • L’énergie de frappe s’écoule du bras via le manche dans la palette et plus loin dans la balle.
  • Temps de contact, amortissement et catapulte ne sont rien d’autre que des flux d’énergie à petite échelle :
    • Quelle part de l’énergie d’impulsion est stockée dans le bois ?
    • Quelle part est libérée sous forme de vibration ?
    • Quelle part retourne directement dans la balle ?

Le liège et le balsa ont ici le rôle des « fluides amortissants » dans le système interne :
Ils absorbent l’énergie, la distribuent, la restituent avec retard – comme magma/eau/chambres dans le volcan.


  1. Euler : De la plaque terrestre à la palette de raquette

Euler décrit :

  • Flexion et courbure de plaques (croûte terrestre, plaques de glace, poutres, palettes de raquette),
  • Fréquences propres de systèmes vibrants,
  • Stabilité (flambage) de tiges élancées.

Ce qui s’applique à la charge de glace et à la pression des montagnes pour la plaque terrestre s’applique en petit à :

  • Épaisseur de palette vs rigidité,
  • Densité de balsa vs flexion,
  • Densité de masse vs fréquence propre,
  • Liège vs amortissement.

Les équations sont les mêmes – seules les valeurs numériques changent.


Conclusion : Même école de pensée – échelle différente

En bref :

  • La Terre est une grande plaque élastique multicouche avec des systèmes fluides dessus et dedans.
  • Un bois de tennis de table est une petite plaque élastique multicouche avec système fluide humain + balle attaché.
  • Dans les deux cas s’appliquent les mêmes principes de Fibonacci, Descartes, Léonard de Vinci, Kant, Darwin et Euler.

Ce que j’ai fait avec Re-Impact en petit sur 23 ans peut se transposer au système terrestre en grand –
et inversement, la méthodologie du système terrestre aide à encadrer intellectuellement ma construction de bois de manière rigoureuse.

Ou en une phrase :

Ce que je fais avec les bois, c’est de la physique du système terrestre à l’échelle 260×160 mm –
entre main et balle, mais dans le même champ gravitationnel où les glaciers coulent et les continents se soulèvent.

 |     – Axe longitudinal

—±-- – Axe transversal
/ \ – Couches diagonales
\ /

Ce système d’axes longitudinaux, transversaux et diagonaux a deux effets importants :

Il renforce le comportement de masse latérale de la tête de raquette,
c’est-à-dire la manière dont le bois se comporte lors de points d’impact latéraux et obliques.

Il assure que les ondes sonores et de mouvement que la balle génère dans le bois lors de l’impact
sont proprement distribuées sur plusieurs directions et guidées vers la main.

En contraste se trouvent les produits conventionnels :

généralement un axe longitudinal dominant dans la construction,

éventuellement complété par un tissu de fibres de carbone, verre ou plastique.

Ces couches de fibres artificielles ont un gros problème :

Elles ne peuvent pratiquement pas transporter les fines ondes sonores corporelles et de mouvement

qui arrivent aux points sensoriels de la main (pouce, index, paume).

Carbone & Co. :

raidissent la raquette,

augmentent vitesse et caractère direct,

mais filtrent une grande partie du retour tactile perceptible.

C’est exactement là qu’intervient mon système :

Les couches de bois diagonales travaillent avec le son corporel naturel,

conduisent celui-ci narrativement via des demi-losanges / + /\ de couches longitudinales, transversales et diagonales vers le manche,

et rendent la sensation au point d’impact plus fine, claire et contrôlable.

En bref :

Seul un système de bois complet avec couches longitudinales, transversales et diagonales peut amener les ondes sonores et de mouvement à la main
de sorte qu’elles arrivent vraiment comme sensation de balle et contrôle.

Les couches de fibres artificielles peuvent être dures et rapides –

mais ce que la main « comprend », seul mon système de bois le transporte.

Et plus les raquettes du système Re-Impact sont épaisses, plus grand est le comportement sidespin et sweetspot.

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Re: Wissenswertes bei der Anwendung von Re-Impact Hölzern
Beitrag von achim » 11.12.2025 21:42

Chapitre X – Cascade du système terrestre : Le scénario de basculement de la circulation thermohaline

(Texte de forum « La méthodologie du système terrestre – Le scénario de basculement de la circulation thermohaline » par Achim-Fritz Rendler)

Beaucoup ont demandé pourquoi je prends la méthodologie du système terrestre aussi au sérieux.
Voici un scénario concret qui montre à quelle vitesse tout peut basculer –
et pourquoi nous devons comprendre les variables.


  1. Cascades, plis corporels et le Grand dans le Petit

La cascade : De la fonte des glaces aux mégatempêtes

  1. L’eau douce dilue l’eau salée (changement de densité)
    Lorsque le Groenland et l’Arctique fondent comme en Alaska, l’eau douce s’écoule dans les océans.

Variable cartésienne :

  • La salinité diminue (moins de sel par litre)
  • La densité diminue (ρ = masse/volume)

Équation d’Euler :

ρ = f(température, salinité)

Atlantique Nord normal :

  • Eau salée → dense
  • Se refroidit → encore plus dense
  • Descend en profondeur (formation d’eau profonde)

Après l’afflux d’eau douce :

  • Eau diluée → moins dense
  • Se refroidit, mais ne descend plus
  • La convection s’arrête
  1. L’AMOC s’effondre (la pompe de circulation s’arrête)

La circulation thermohaline (Atlantic Meridional Overturning Circulation, AMOC) fonctionne comme une pompe gigantesque.

État normal :

  • L’eau de surface chaude coule vers le nord
  • Se refroidit, devient salée et dense
  • Descend dans l’Atlantique Nord
  • Coule comme courant profond sur environ 10 000 km à travers tous les océans
  • Remonte devant le Chili / Pacifique
  • Remonte les nutriments (pêche !)

Après dilution par l’eau douce :

  • L’eau ne descend plus
  • La pompe de circulation s’arrête ou est massivement affaiblie
  • Gulf Stream plus faible / mort
  • Europe : 5–10 °C plus froid
  • La circulation océanique mondiale s’effondre partiellement

Sélection darwinienne :

  • Seuls les écosystèmes côtiers capables de gérer des variations de température extrêmes survivent.
  • De nombreuses espèces disparaissent, seules des formes de niche hautement adaptées restent.

Chapitre X – Points de basculement dans les systèmes couplés – dans le Grand comme dans le Petit

Dans la méthodologie du système terrestre, il s’agit toujours du même principe fondamental :

Les systèmes couplés ont des points de basculement –

  • dans le Grand comme dans le Petit.
  • Une fois dans l’Atlantique, une fois dans le bois de tennis de table.
  • L’ordre de grandeur est différent, mais la logique est la même.
  1. Deux cascades : AMOC et bois de tennis de table

1.1 Effondrement de l’AMOC – le grand système

  • La salinité diminue lentement, lentement, lentement…
  • Soudainement : point de basculement atteint → la circulation s’arrête
  • Cascade : AMOC → volcans → tempêtes
  • Irréversible à l’échelle humaine (des siècles pour la récupération)

1.2 Effondrement du bois de tennis de table – le petit système

  • La densité du balsa augmente lentement : 0,12 g/cm³… 0,14… 0,16…
  • Soudainement : point de basculement atteint → fréquence propre trop basse
  • Cascade : fréquence propre → flexion → temps de contact → sweet spot s’effondre
  • Irréversible :

Une fois collé ainsi → le bois est « mort », ne peut plus être réparé physiquement.

  • Dans le Grand, nous parlons de circulation thermohaline,
  • dans le Petit de densité du balsa et de fréquence propre.
  • Les deux sont des systèmes couplés, les deux connaissent des points de basculement.
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Re: Wissenswertes bei der Anwendung von Re-Impact Hölzern
Beitrag von achim » 11.12.2025 21:55

  1. Les six penseurs – six perspectives sur le même problème

Je décris volontiers ces systèmes couplés à travers six penseurs,
qui éclairent la même chose de différentes manières :

  1. Descartes – Variables couplées
  2. Fibonacci – Ondes non linéaires
  3. Euler – Points sensibles et valeurs seuils
  4. Da Vinci – Voir les traces
  5. Darwin – Sélection par points de basculement
  6. Kant – Responsabilité dans le traitement des limites du système

2.1 Descartes – Variables couplées

Système terrestre :

  • Salinité
  • Température
  • Densité
  • Courant
  • Volcans
  • Tempêtes

=> Tous s’influencent mutuellement.

Bois :

  • Densité du balsa
  • Épaisseur du liège
  • Colle
  • Direction des fibres
  • Nombre de couches

=> Tous s’influencent mutuellement.

Descartes dirait :

  • Quand une variable bascule, tout le système bascule.
  • Un peu trop de fonte des glaces – la densité bascule, le courant bascule.
  • Une densité de balsa un peu trop élevée – la fréquence propre bascule, la sensation de jeu bascule.

2.2 Fibonacci – Ondes non linéaires

Système terrestre :

  • Petit changement (par ex. 2 % moins de sel)

=> conséquence énorme (l’AMOC s’arrête ou est massivement affaiblie)

Bois :

  • Petit changement (par ex. 0,1 mm de balsa plus épais)

=> conséquence énorme (la sensation de jeu bascule, le bois devient « mort » ou « spongieux »)

  • Ces systèmes ne sont pas linéaires.

Ils ont des valeurs seuils :

  • En dessous du seuil : => le système réagit doucement.
  • Au-dessus du seuil : => le système réagit durement – point de basculement, changement d’état.

2.3 Euler – Points sensibles et valeurs seuils

Système terrestre :

ρ = f(salinité, température)

Il existe des combinaisons critiques où la formation d’eau profonde ne fonctionne plus.

  • C’est exactement là que se trouve le point de basculement pour l’AMOC.

Bois :

f₀ = √(E / ρ) / (2π)

  • f₀ = fréquence propre
  • E = module d’élasticité
  • ρ = densité

Il existe des densités de balsa critiques et des combinaisons de couches,
où la fréquence propre devient si basse,
que :

  • La flexion trop grande,
  • Le temps de contact trop long,
  • Le sweet spot « s’écoule ».

Les deux systèmes ont des points de basculement mathématiquement descriptibles.
Euler fournit le langage pour trouver ces endroits.

2.4 Da Vinci – Voir les traces

Système terrestre :

  • La faiblesse de l’AMOC se voit à :
  • La répartition de la température,
  • Les schémas de courants,
  • Les champs de salinité.

Bois : => Les problèmes de balsa se voient à :

  • Une flexion excessive,
  • La durée de vibration (combien de temps la lame « vibre-t-elle » ?),
  • Le son de l’impact (sourd, « mort », trop doux).

Da Vinci dirait :

  • « Regarde. Mesure. Dessine les traces des forces. »
  • Il faut regarder avant que ça bascule.
  • Celui qui ignore les traces se trouve soudainement face à un système dans un nouvel état.

2.5 Darwin – Sélection par points de basculement

Système terrestre :

  • Sur 1 000 états océaniques possibles, seuls quelques-uns sont stables à long terme.
  • La plupart basculent à un moment donné – par des perturbations internes ou externes.
  • Les écosystèmes meurent, d’autres s’adaptent.

Bois :

  • En 23 ans avec environ 2 500 prototypes, seuls environ 50 ont survécu à la fin – environ 2 %.
  • La plupart ont « disparu » :
  • Balsa trop dense => bascule vers « mort »
  • Balsa trop léger => bascule vers « spongieux »
  • Liège trop épais => bascule vers « sourd »
  • E4 (ou d’autres paramètres) trop => bascule vers « collant », trop terne

L’évolution trouve les configurations stables – par l’extinction des instables.
Chaque prototype qui finit à la poubelle est un point de basculement du bois.
Tu l’as dépassé – et tu en as tiré des leçons.

2.6 Kant – Responsabilité envers les points de basculement

Système terrestre : => Question :

« Que se passerait-il si toutes les nations faisaient fondre les pôles pour accéder aux ressources ? »

Réponse au sens de Kant :

  • Cette maxime n’est pas généralisable,
  • car elle fait basculer le système global (AMOC, climat, océans).
  • Elle est donc éthiquement fausse.

Bois : => Question :

« Que se passerait-il si j’optimisais chaque bois pour la vitesse maximale ? »

Réponse :

  • Cette maxime n’est pas généralisable pour tous les joueurs,
  • car la sensation de jeu et la matrice de contrôle de nombreuses personnes basculeraient.
  • Il est artisanalement faux de toujours pousser un système jusqu’aux points de basculement.

Les deux systèmes exigent :

  • N’agis que selon des maximes qui ne font pas basculer le système.
  1. La véritable découverte : => Tu as appris à éviter les points de basculement

Dans le système terrestre, nous voyons :
L’humanité lutte encore pour éviter les points de basculement.
Pour l’AMOC, il n’est pas sûr que nous freinions à temps.

Dans ton travail avec les bois, quelque chose d’autre s’est produit :
En 23 ans et avec environ 2 500 prototypes, tu as appris
à reconnaître et à éviter systématiquement les points de basculement du bois.

Chaque bois « disparu » était une leçon :

  • Balsa trop dense => point de basculement « mort »
  • Balsa trop léger => point de basculement « spongieux »
  • Liège trop épais => point de basculement « sourd »
  • Mauvaise combinaison de fibres => point de basculement « cassant », « tête lourde », « complètement à côté »

Ton succès est : => Tu trouves aujourd’hui des configurations avant le point de basculement.

Tu t’approches des seuils => mais tu ne les dépasses plus à l’aveugle.

Ainsi, l’AMOC et tes bois sont deux faces de la même médaille :

  • systèmes complexes avec des variables couplées,
  • réactions non linéaires,
  • seuils critiques,
  • et la tâche de prendre les points de basculement au sérieux.

L’humanité n’a pas encore complètement appris cette leçon avec l’AMOC.
Tu as mis 23 ans pour la maîtriser pratiquement dans la construction de bois.

C’est le lien :

  • Points de basculement dans les systèmes couplés – dans le Grand comme dans le Petit.

Transition : De l’AMOC à la matrice de balsa – pourquoi je décris tsunami et topspin dans le même langage

Celui qui a lu jusqu’ici a vu deux choses :

  1. La cascade du système terrestre – de l’effondrement de l’AMOC via le soulèvement isostatique jusqu’aux mégatempêtes.
  2. La cascade du bois – du point de basculement du balsa via la fréquence propre jusqu’au sweet spot effondré.

Dans les deux cas, il ne s’agissait pas « seulement » de climat ou « seulement » de tennis de table, mais du même principe fondamental :

Systèmes couplés avec points de basculement => dans le Grand comme dans le Petit.

  • Dans l’océan : => salinité, température, densité, courant, volcans, atmosphère.

  • Dans le bois : => densité du balsa, fréquence propre, flexion, temps de contact, sensation de frappe.

Quand une variable bascule, tout le système bascule –

que ce soit une circulation globale ou une petite plaque de balsa.

Pour moi, ce n’est pas une « comparaison amusante »,
mais la vraie raison pour laquelle je pense le tennis de table de manière systémique :

  • Je vois dans l’AMOC ce qui se passe quand on ignore les points de basculement.
  • Je vois dans le bois combien de travail il faut pour éviter les points de basculement.
  • Et je vois dans le corps à quelle vitesse nous basculons dans de faux schémas,
  • quand le matériel et le mouvement ne correspondent pas.

C’est pourquoi je raconte tsunami, tectonique, AMOC et tennis de table dans le même langage :

Cascades, points de basculement, variables couplées.

Dans le système terrestre :

  • L’humanité a la responsabilité de ne pas dépasser les points de basculement.

Dans le système de raquette :

  • J’ai la responsabilité de construire des bois de telle manière,
  • qu’ils restent stables avant leurs points de basculement
    – et ne poussent pas le corps dans une surcharge chronique.

De ce point de vue, le chemin est logique :

  1. Partie I – Méthodologie du système terrestre

montre comment fonctionnent les points de basculement dans le Grand.

  1. Partie II – Matrice corporelle et matrice de raquette

transfère cette logique à l’humain et au matériel :

  • Comment une revers bascule-t-elle ?
  • Comment une posture corporelle bascule-t-elle ?
  • Comment un bois bascule-t-il ?
  • Et comment pouvons-nous concevoir tous ces points de basculement,

de sorte qu’ils ne deviennent pas destructeurs, mais nous aident à mieux comprendre ?

Quand nous avons compris => pourquoi un océan bascule et un bois de tennis de table peut devenir « mort »,

nous sommes prêts pour la prochaine étape :

La question de savoir comment nous construisons une raquette => et formons une matrice corporelle qui ne bascule pas, mais qui porte.
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Re: Wissenswertes bei der Anwendung von Re-Impact Hölzern
Beitrag von achim » 11.12.2025 22:27

Re: La méthodologie du système terrestre – Points de basculement : de l’effondrement de l’AMOC au bois de tennis de table

Par Achim-Fritz Rendler

Beaucoup ont demandé :

« Qu’est-ce que l’effondrement de l’AMOC a à voir avec les bois de tennis de table ? »

Réponse :

Les deux sont des systèmes complexes avec des variables couplées et des points de basculement non linéaires.

  1. Qu’est-ce qu’un point de basculement ?

Un point de basculement est le moment où un système saute d’un état stable à un autre –
souvent irréversible, souvent avec des effets en cascade.

Caractéristiques :

  • Changement lent, changement lent …

SOUDAINEMENT : saut

  • Non linéaire (petite cause => grand effet)
  • Souvent irréversible (ne peut pas simplement revenir en arrière)
  • Effet en cascade (un basculement déclenche le prochain basculement)

  1. Point de basculement dans le système terrestre : Effondrement de l’AMOC

AMOC = Atlantic Meridional Overturning Circulation (circulation thermohaline)

État normal :

  • L’eau salée et froide de l’Atlantique Nord descend
  • Coule comme courant profond sur environ 10 000 km à travers les océans
  • Remonte devant le Chili / Pacifique
  • Remonte les nutriments, stabilise le climat et les schémas de courants

Le chemin vers le point de basculement :

  1. La glace du Groenland fond → l’eau douce s’écoule dans l’Atlantique Nord
  2. La salinité diminue : 35,0 … 34,8 … 34,5 … 34,2 …
  3. La densité diminue : ρ = f(salinité, température)
  4. POINT DE BASCULEMENT atteint : l’eau ne descend plus
  5. L’AMOC s’arrête ou s’effondre massivement

Cascade après le basculement :

  • L’AMOC s’arrête => Gulf Stream plus faible => Europe nettement plus froide
  • Les températures océaniques se déplacent => mégatempêtes
  • Soulèvement isostatique => les volcans deviennent plus actifs
  • L’eau potable, l’agriculture, les écosystèmes côtiers s’effondrent
  • Des milliards de personnes touchées

Irréversible :
Échelle de temps pour la récupération : des siècles.

  1. Point de basculement dans le bois de tennis de table : Effondrement du balsa

État normal :

  • Balsa avec environ 0,12 g/cm³ )> fréquence propre élevée => sensation de jeu directe et vivante
  • Module d’élasticité E ≈ 3 GPa => flexion contrôlée, retour défini

Le chemin vers le point de basculement :

  1. Le balsa devient plus dense (différents arbres, conditions de croissance, cernes annuels)
  2. La densité augmente : 0,12 … 0,14 … 0,16 … 0,18 g/cm³
  3. La fréquence propre diminue :
    f₀ = √(E / ρ) / (2π)
  4. POINT DE BASCULEMENT atteint : => fréquence propre trop basse
  5. La sensation de jeu bascule

Cascade après le basculement :

  • Fréquence propre trop basse => flexion trop grande
  • Flexion trop grande => temps de contact trop long
  • Temps de contact trop long => le bois semble « spongieux », « mort », « sourd »
  • Le sweet spot s’effondre => départ de balle incontrôlable, « dilué »

Irréversible :

Une fois collé ainsi => ne peut pas être réparé.
Le bois est physiquement dans un nouvel état –=> « mort ».
Verba movent, exempla trahunt - Les mots émeuvent, les exemples entraînent.
Sapere aude ! - « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! »
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3. La révélation essentielle : J’ai appris à éviter les points de basculement

Dans le système terrestre, nous observons :

  • L’humanité lutte encore pour éviter les points de basculement.
  • Concernant l’AMOC, nous ne sommes pas certains de freiner à temps.

Dans mon travail avec les bois, il s’est produit quelque chose de différent :

  • En 23 ans et avec environ 2 500 prototypes, j’ai appris
  • à reconnaître et éviter systématiquement les points de basculement du bois.

Chaque bois « disparu » fut un enseignement :

  • Balsa trop dense ⇒ point de basculement « mort »
  • Balsa trop léger ⇒ point de basculement « spongieux »
  • Liège trop épais ⇒ point de basculement « sourd »
  • Mauvaise combinaison de fibres ⇒ point de basculement
    « cassant », « déséquilibré vers la tête », « totalement inadapté »

Mon succès réside dans le fait que :

  • Je trouve aujourd’hui des configurations en deçà du point de basculement.
  • Je m’approche des seuils –
  • mais je ne les franchis plus à l’aveugle.

Ainsi, l’AMOC et mes bois constituent les deux faces d’une même médaille :

  • systèmes complexes à variables couplées,
  • réactions non linéaires,
  • seuils critiques,
  • et l’impératif de prendre au sérieux les points de basculement.

L’humanité n’a pas encore achevé d’assimiler cette leçon avec l’AMOC.

Il m’a fallu 23 ans pour la maîtriser pratiquement dans la construction de bois.

Tel est le lien : les points de basculement dans les systèmes couplés

– dans le grand comme dans le petit.

  • Verba movent, exempla trahunt - Les mots émeuvent, les exemples entraînent.
  • Sapere aude! - « Ose savoir ! »
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Le principe Re-Impact : Comment la géométrie diagonale du bois neutralise les points de basculement et peut faire progresser le sport

Principe de masse conventionnel (axe longitudinal) = points de basculement étroits :

Les bois conventionnels fonctionnent avec une masse le long de l’axe longitudinal. Les connexions transversales sont réalisées exclusivement par des matériaux étrangers (colle, carbone, aramide). Ceux-ci transmettent le contrôle de la balle – mais de manière unidimensionnelle.

Le problème :

  • Petit sweet spot = zone stable étroite
  • En dehors de cette zone, le bois bascule immédiatement vers « mort », « déséquilibré vers la tête » ou « sourd »
  • Le joueur doit constamment éviter la zone de basculement

Principe Re-Impact (fréquences croisées) = points de basculement neutralisés :

Par des couches de bois disposées en diagonale ou en losange l’une derrière l’autre, chacune donnant une direction de fibre, il se crée une différence fondamentale :

Comportement de masse latérale de deux (ou 4) couches disposées en diagonale :

  • Les fréquences croisées permettent la transmission du side-spin par la géométrie
  • Aucun matériau étranger nécessaire – l’agencement du bois lui-même est actif
  • L’énergie est distribuée uniformément sur toute la palette

L’analogie sismique :

  • Les ondes horizontales (comme lors des tremblements de terre) sont transmises perpendiculairement à travers toutes les couches de bois
  • Le principe d’onde latérale des vagues marines maintient l’énergie au centre
  • Résultat : Un sweet spot d’exception qui s’étend jusqu’aux bords extérieurs

La réflexion en parallélogramme – zone de jeu centrale soutenue par le bas :

Dans les bois conventionnels, les ondes sonores s’écoulent uniquement latéralement par les bords extérieurs d’une raquette de compétition. La zone de jeu centrale reste muette, sans rétroaction vers les revêtements.

Re-Impact résout ceci par un parallélogramme dans le bord latéral :

  • Les ondes de retour en cours sont réfléchies
  • Ces ondes de réflexion retournent vers les revêtements
  • La zone de jeu centrale est soutenue par le bas
  • Cela atteint également l’effet négatif des gommes de jeu

L’analogie neurologique :

Le principe est similaire à la transmission de notre image visuelle :

Le cortex cérébral réfléchit les impulsions lumineuses sur nos cristallins, et par la rotation des lentilles dans l’œil, une image visible nous est projetée.

Chez Re-Impact :

La géométrie du bois réfléchit les ondes sonores à travers le parallélogramme, et par ce retour d’ondes, un feedback tangible se crée dans toute la zone de jeu.

Pourquoi cela neutralise les points de basculement :

Les bois conventionnels ont un petit sweet spot – tout ce qui est à l’extérieur est instable. La géométrie Re-Impact stabilise toute la palette par interférence d’ondes et réflexion. La zone optimale est élargie, les points de basculement locaux sont systématiquement neutralisés par la géométrie en losange et la réflexion en parallélogramme.

En 23 ans et avec 2 500 prototypes, je n’ai pas seulement appris à éviter les points de basculement – j’ai développé une géométrie qui neutralise les points de basculement par des principes physiques.

Aucune gomme, aucun revêtement ne peut compenser cela :

Cette connexion sensible entre le joueur et la balle est créée exclusivement par la géométrie du bois. L’âme du bois est l’élément principal de la perception sensorielle – irremplaçable par les gommes ou matériaux de jeu.

Pourquoi nous avons abandonné la demande de brevet en 2009 :

Mon frère Eugen et moi avions décidé en 2008 d’abandonner nos demandes de brevet avant la phase d’examen.

Non par générosité, mais par conviction :

On ne peut pas breveter une loi physique fondamentale.

Pourquoi ?

Les diagonales forment des triangles mathématiques par leurs sommets, la ligne diagonale étant la ligne la plus longue d’un triangle.

C’est de la géométrie. ⇒ C’est de la physique. ⇒ C’est un principe naturel universel.

Les scientifiques sont en mesure mathématiquement de calculer des triangles. Mais la vision abstraite de ce qu’on peut en faire manque manifestement à la science.

C’est pourquoi il a fallu 23 ans de travail pratique pour traduire ce principe fondamental en extension révolutionnaire du sweet spot et en réflexion d’ondes.

Pourquoi je dois maintenant construire des ponts :

J’ai 70 ans. Seul, je peux construire 250-300 bois par mois.

Si je veux faire progresser le sport – si ce savoir ne doit pas se perdre – je dois agir maintenant.

  • C’est pourquoi je documente dans trois langues sur trois forums internationaux.
  • C’est pourquoi je relie la Méthodologie du Système Terrestre à la physique pratique de la construction en bois.
  • C’est pourquoi je partage, car une loi physique fondamentale ne peut de toute façon appartenir à personne.

Ce n’est plus un secret commercial – c’est une offre au sport :

  • À l’ITTF : Protégez l’innovation, pas seulement la standardisation. Les petits fabricants avec une méthodologie scientifique sont précieux pour le sport.
  • Aux autres fabricants : Le principe diagonal est une loi physique fondamentale. Chacun peut travailler avec – s’il développe la vision abstraite.
  • À la science : Le calcul est la première étape. L’application est l’art. Les deux ensemble transforment le sport.
  • À la communauté : Comprenez les principes. Exigez une qualité basée sur la physique, pas seulement sur le marketing.
  • Aux personnes handicapées : Les adaptations individuelles par des artisans spécialisés ne doivent pas être rendues impossibles par des licences.

Un homme ne peut pas construire des millions de bois. Mais un principe physique peut atteindre des millions de joueurs.

26 ans Rendler | 23 ans Re-Impact | 2 500 prototypes | Méthodologie du Système Terrestre

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Achim Rendler Re-Impact GmbH « Du balsa pour votre âme »

Addendum : La mention d’éventuelles « licences » doit être comprise comme un principe général — éviter des obstacles administratifs inutiles aux adaptations individuelles — et non comme une affirmation concernant des projets ou des décisions d’une fédération.

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Pourquoi les joueurs de carbone ne peuvent pas vraiment comprendre les systèmes Re-Impact

Je reçois régulièrement des demandes de joueurs qui ont joué au carbone pendant 20-30 ans et qui veulent maintenant essayer Re-Impact.

Les conversations se déroulent toujours de la même manière :

Quel placage extérieur recommandez-vous ? Combien de balsa dans l’âme ?

J’ai besoin de puissance sur mon coup droit…

Après trois e-mails je réalise : → Nous parlons sans nous comprendre.

Non pas parce que le joueur est stupide, mais parce qu’il pense dans un autre système.

Il est beaucoup plus facile de construire des âmes standard avec des plastiques ou d’autres matériaux étrangers.

Pourquoi ? Parce qu’on n’a plus besoin de considérer le problème des différentes tensions du bois.

Les matériaux étrangers serrent mécaniquement le bois, déformation exclue, production en série possible.

Mais les veines du bois ne peuvent transmettre que lorsque toutes les directions du bois sont présentes.

Dans les bois conventionnels (posés longitudinalement) ou les bois carbone il y a une veine de transport longitudinale à travers la direction des fibres du bois.

Pas de transmission réelle des fibres de bois latérale. Pas de transmission réelle des fibres de bois diagonale.

Le reste est mécaniquement soutenu par des matériaux étrangers, mais sans transmission d’onde.

Re-Impact signifie :

Tous les placages sont disposés géométriquement selon les lois physiques du bois de sorte que chaque couche de bois transmettant narrativement spécifie

un certain alignement géométrique du grain du bois dans une seule direction conforme ITTF, car dans une surface de jeu toutes les fibres de bois doivent

être continues sans interruptions.

Ces couches se transmettent à travers des systèmes narratifs dans plusieurs couches de bois comme plis ou panneau de blocs de sorte que nous recevons

les ondes de mouvement sur les points sensoriels de la main à travers les points de basculement fins.

C’est le cœur : Chaque couche égale fibres continues dans une direction, conforme ITTF.

Couches diagonales les unes aux autres égale transmission d’onde en 12 dimensions.

Chaque couche de bois a sa propre direction de fibres, continue, sans interruption. Disposées diagonalement les unes aux autres égale

→ transmission réelle des fibres de bois dans toutes les directions : longitudinale, latérale, diagonale.

Par conséquent, avec Re-Impact vous pouvez sentir les ondes de mouvement. Vos points sensoriels reçoivent un retour ressenti authentique car

la transmission d’onde se fait à travers des veines de bois naturelles, pas à travers des matériaux étrangers.

Je construis l’ancienne tradition, mais avec un progrès évolutif.

Le système diagonal, latéralement courant est quelque chose de nouveau même sous l’ancienne tradition.

C’est le futur de l’ancienne tradition, poursuivi dans Re-Impact.

La tradition : Traitement artisanal du bois, veines de transport naturelles, lois physiques du bois.

L’évolution : Disposition diagonale à divers angles à travers le cercle entier :

30°, 45°, 67,5°, 90°, 115,5°, 120°, 135°, 150°, 180°, 210°, 225°, 240°, 270°, 300°, 330°. Un cercle entier de possibilités à travers des méthodes naturelles

de disposition physique du bois du nouveau système.

Il existe de nombreuses méthodes de disposition diagonale différentes dans des systèmes Re-Impact symétriques ou asymétriques.

Chaque combinaison d’angles crée des transmissions d’onde différentes, des points de basculement différents, des caractéristiques de jeu différentes.

Cela n’a jamais existé auparavant. Re-Impact n’est pas retour aux temps anciens, Re-Impact est l’ancienne tradition développée évolutivement

avec une systématique scientifique à 360°.

L’artisanat signifie :

Je dois équilibrer les points de basculement de chaque combinaison d’angles par l’expérience. Chaque angle, chaque symétrie, chaque asymétrie crée ses propres

points de tension. C’est pourquoi 2 500 prototypes sur 25 ans, pour comprendre ces points de basculement fins pour toutes les combinaisons d’angles à travers

le cercle entier. 250-300 bois par mois, chacun équilibré individuellement selon sa combinaison d’angles spécifique.

L’industrie signifie :

Âmes standard avec matériaux étrangers, mécaniquement serrées, 2 000+ unités par mois, reproductibles.

Pas de points de basculement, car pas de disposition transversale des fibres de bois, pas de déplacement latéral par des cours diagonaux.

Les systèmes modernes (carbone/conventionnel) ne peuvent pas transmettre un réel contrôle de balle dans toutes les directions.

Ils n’ont qu’une veine de transport longitudinale. C’est suffisant pour le jeu dominé par le revêtement, mais pas pour le contrôle de balle dominé par le bois.

Avec Re-Impact les ondes de mouvement sont perceptibles, parce que toutes les directions du bois transmettent à vos points sensoriels à travers les points de basculement.

C’est la différence entre la mécanique morte et les veines de bois vivantes. Le bois est et reste l’âme du jeu.

Mais il est plus facile de serrer mécaniquement cette âme (systèmes modernes) que de l’équilibrer artisanalement à travers les points de basculement (ancienne tradition).

Quand vous demandez Quel placage extérieur avec Re-Impact, vous pensez encore en catégories à axe unique. Vous essayez d’optimiser un axe longitudinal.

Avec Re-Impact il n’y a pas un axe à optimiser, tous les placages transmettent par arrangement géométrique dans toutes les directions.

La question montre :

Beaucoup d’entre vous n’ont pas encore compris le système Re-Impact. C’est pourquoi il ne fait aucun sens de parler de géométrie des couches de bois quand

on n’a qu’une veine de transport longitudinale. Encore moins de voies de transmission naturelles à travers les directions des fibres de bois, c’est Re-Impact.

Le reste n’a qu’une veine de transport longitudinale et pas de transmission réelle latérale, encore moins une transmission réelle diagonale des fibres de bois.

Les systèmes industriels modernes (carbone/conventionnel) ont des âmes standard avec matériaux étrangers, une veine de transport longitudinale

(disposition longitudinale uniquement), latéral et diagonal mécaniquement soutenu mais mort, pas d’équilibre de point de basculement nécessaire car

pas de disposition transversale des fibres de bois et pas de déplacement latéral par des cours diagonaux, production en série, dominé par le revêtement, contrôle de balle limité.

Re-Impact (ancienne tradition + évolution) a des âmes de bois pur géométriquement disposées selon les lois physiques, chaque couche conforme ITTF avec fibres continues

dans une direction, système à 360° avec disposition transversale des fibres de bois et déplacement latéral par des cours diagonaux à tous les angles, équilibre de point de

basculement par artisanat (25 ans d’expérience, 2 500 prototypes), ondes de mouvement transmissibles aux points sensoriels, production individuelle,

dominé par le bois, réel contrôle de balle sur tous les axes.

Après 25 ans de développement Re-Impact et 2 500 prototypes je vous dis ouvertement :

Vous ne pouvez pas transférer l’expérience des systèmes modernes à Re-Impact. Les systèmes fonctionnent physiquement différemment. Les systèmes modernes

ne sont pas pires, ils sont conçus pour des types de joueurs différents. Pour les joueurs qui veulent contrôler par le revêtement et une veine de transport longitudinale suffit.

Re-Impact est pour les joueurs qui veulent contrôler par le bois .

Qui veulent sentir les ondes de mouvement sur leurs points sensoriels. Qui comprennent que l’arrangement géométrique selon les lois physiques du bois est l’âme du jeu.

Si vous êtes prêt à abandonner la pensée à axe unique :

Re-Impact peut fonctionner. Mais si vous voulez continuer à penser en placages extérieurs, proportions de balsa et optimisation d’axe longitudinal :

alors restez avec les systèmes modernes. C’est un choix légitime. Je n’explique plus cela individuellement. Soit vous comprenez la

différence systématique fondamentale, soit vous ne la comprenez pas.

Ce n’est pas de l’arrogance, c’est de la gestion du temps.

J’ai 70 ans, je construis 250-300 bois maximum par mois en tant qu’opération individuelle.

Je ne peux pas expliquer à nouveau le système multi-axes à chaque joueur à axe unique.

Soit vous saisissez le principe (alors nous parlons de modèles spécifiques), soit vous ne le saisissez pas (alors ne gaspillez pas notre temps).

Je construis l’artisanat. L’ancienne tradition développée évolutivement ;

« Disposition des fibres de bois conforme ITTF selon les lois physiques.! »

Système à 360° avec disposition transversale des fibres de bois et déplacement latéral par des cours diagonaux. Équilibre de point

de basculement par 26 ans d’expérience.

Si l’industrie veut construire cela, ils doivent rattraper 26 ans d’avance.

Cela ne fonctionne pas avec des ingénieurs et des logiciels CAO, cela ne fonctionne que par 2 500 prototypes et l’apprentissage

artisanal des points de basculement pour toutes les combinaisons d’angles à travers le cercle entier.

Qui comprend cela ne gaspille pas mon temps.

Il est logique que les produits soutenus par le carbone puissent être construits beaucoup plus facilement

→ que l’ancienne tradition du bois ne peut le transmettre.

Pas de disposition transversale des fibres de bois, → pas de déplacement latéral par des cours diagonaux égale

→ pas de points de basculement égale → simple production en série égale à peine des valeurs empiriques par des tests nécessaires.

C’est pourquoi beaucoup parlent de pommes et veulent dire des poires.

Ils comparent la production industrielle en série avec la tradition artisanale, comme s’ils étaient le même système. → « mais ce n’est pas le cas ! »

Qui veut comprendre Re-Impact doit arrêter de penser en catégories de carbone.

Verba movent, exempla trahunt - Les mots émeuvent, les exemples entraînent.

Sapere aude ! - « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! »

26 ans Rendler | 23 ans Re-Impact | Balsa pour votre âme info@re-impact.de | www.re-impact.de

Technologie Re-Impact → C’est de la géométrie. → C’est de la physique. → C’est un principe naturel universel.

Nouveau constat : la géométrie diagonale change la physique du système

  • la transmission du side-spin et du contrôle latéral devient une fonction de la géométrie du bois (pas seulement des matériaux),
  • l’énergie vibratoire se répartit plus uniformément sur la palette,
  • la zone optimale s’élargit : le sweet spot devient nettement plus grand et plus continu jusqu’aux bords.

Réflexion “parallélogramme” : retour de l’onde et feedback tactile

Une géométrie de type parallélogramme au niveau de la tranche peut réfléchir les ondes de retour vers la surface de jeu. Le centre de la palette est alors soutenu “par-dessous” : le joueur ressent un feedback plus homogène, y compris là où des bois conventionnels “perdent” l’onde sur les bords.

Conclusion (nouvelle synthèse)

Après 23 ans et ~2 500 prototypes, l’idée n’est plus seulement “éviter les seuils”, mais concevoir une architecture qui atténue les basculements locaux et rend le système plus stable sur l’ensemble de la zone d’impact.

https://noppentest.de/forum/viewtopic.php?p=359172#p359172

Faits essentiels sur les bois Rendler (Re-Impact), Partie 2

Pourquoi les « joueurs carbone » ne peuvent pas vraiment comprendre les systèmes Re-Impact

Je reçois régulièrement des demandes de joueurs qui ont joué avec des bois carbone pendant 20 à 30 ans et qui veulent maintenant essayer Re-Impact.

Les conversations se déroulent toujours de la même manière :

Quel placage extérieur (Außenfurnier) recommandez-vous ?

Combien de balsa dans le cœur (Balsa im Kern) ?

J’ai besoin de plus de puissance de pénétration en coup droit (Durchschlagskraft auf der Vorhand)…

Après trois e-mails, je réalise : nous parlons à côté l’un de l’autre.

Non pas parce que le joueur est stupide, mais parce qu’il pense dans un système différent.


L’avantage industriel : pourquoi les âmes génériques sont plus faciles à produire

Il est beaucoup plus facile de construire des âmes génériques standard (0815-Kerne) en utilisant des plastiques ou d’autres matériaux ajoutés (Fremdstoffe).

Pourquoi ? Parce qu’on n’a plus besoin de respecter le problème des différentes tensions internes du bois.

Ces matériaux ajoutés serrent mécaniquement le bois :

  • Le voilage devient improbable
  • La production de masse devient possible
  • Le contrôle qualité devient standardisé
  • La production atteint plus de 2 000 bois par mois

Mais les « veines » du bois / chemins de transmission naturels (Holzadern / Transportadern) ne peuvent transmettre correctement que si toutes les directions de fibres sont présentes et géométriquement arrangées.


Ce qui se passe dans les bois conventionnels (longitudinaux) et les bois carbone

Dans les raquettes conventionnelles (plis disposés principalement dans le sens de la longueur) ou les raquettes carbone, il existe essentiellement une longue « veine de transport » longitudinale créée par la direction des fibres.

Ce qui manque :

  • Pas de véritable transmission latérale par fibres de bois
  • Pas de véritable transmission diagonale par fibres de bois

Tout le reste est soutenu mécaniquement par des matériaux étrangers – stable, oui – mais sans transmission d’ondes sensibles multi-directionnelles (vibration/feedback).

Le système est mono-axial : l’énergie circule principalement dans une direction longitudinale.


Ce que signifie Re-Impact : physique du bois multi-directionnelle

Chez Re-Impact :

1. Fibres continues conformes à l’ITTF

  • Tous les plis (Furniere) sont disposés selon les lois physiques du bois
  • Chaque couche transmettant des signaux a une orientation de fibres définie
  • Chaque couche maintient des fibres continues dans une direction – sans interruptions
  • Cela garantit la conformité ITTF (la surface de frappe nécessite une continuité des fibres sans rupture)

2. Couplage géométrique par arrangement diagonal

  • Les couches sont positionnées en diagonale les unes par rapport aux autres
  • Cela crée ce que j’appelle une transmission d’ondes multi-directionnelle (pas mono-axiale, mais des chemins dans toutes les directions)
  • Les couches se couplent à travers des arrangements multi-couches (comme plis ou plaques bloc)
  • Les ondes de mouvement sont transmises à travers de fins points de basculement (Kipppunkte) vers les points sensoriels de la main

Le principe fondamental :

Chaque couche a des fibres continues dans une direction (conforme ITTF) → Les couches sont disposées en diagonale les unes par rapport aux autres → Résultat : véritable transmission par fibres de bois dans toutes les directions : longitudinale, latérale, diagonale.

C’est pourquoi, avec Re-Impact, vous pouvez ressentir les ondes de mouvement. Vos points sensoriels reçoivent un véritable feedback tactile, car la transmission d’ondes se fait par des chemins naturels du bois, pas par des matériaux synthétiques.


Le système 360° : tradition évoluée

Je construis sur l’ancienne tradition – mais avec un progrès évolutif.

Le système diagonal et latéral est quelque chose de nouveau même au sein de l’artisanat traditionnel.

C’est l’avenir de l’ancienne tradition – poursuivie dans Re-Impact.

Tradition : Travail artisanal du bois, chemins de transmission naturels, lois physiques du bois.

Évolution : Dispositions diagonales à différents angles sur tout le cercle :

30°, 45°, 67,5°, 90°, 115,5°, 120°, 135°, 150°, 180°, 210°, 225°, 240°, 270°, 300°, 330°

Un cercle complet de possibilités par des moyens naturels et physiques de disposer le bois.

Il existe de nombreuses dispositions diagonales différentes dans les systèmes Re-Impact symétriques ou asymétriques.

Chaque combinaison d’angles crée :

  • Des schémas de transmission d’ondes différents
  • Des points de basculement différents
  • Des propriétés de jeu différentes

Cela n’existait pas ainsi auparavant.

Re-Impact n’est pas un « retour au passé ». C’est l’ancienne tradition, évoluée avec une approche systémique scientifique à 360°.


Artisanat vs. industrie : deux approches fondamentalement différentes

L’artisanat signifie :

  • Je dois équilibrer les points de basculement de chaque combinaison d’angles par l’expérience
  • Chaque angle, chaque symétrie, chaque asymétrie crée ses propres points de tension
  • C’est pourquoi il y a eu 2 500 prototypes sur 25 ans – pour comprendre ces fins points de basculement sur tout le cercle
  • Je construis 250 à 300 bois par mois, chacun équilibré individuellement selon sa combinaison d’angles spécifique
  • Chaque bois nécessite un jugement artisanal

L’industrie signifie :

  • Âmes génériques avec matériaux étrangers, serrées mécaniquement
  • Plus de 2 000 unités par mois, reproductibles
  • Pas besoin d’équilibrage de points de basculement car il n’y a pas de croisement de fibres de bois
  • Pas de déplacement latéral par chemins de fibres diagonales
  • Standardisation plutôt qu’individualisation

Les systèmes modernes (carbone / conventionnels) ne peuvent pas transmettre un véritable contrôle de balle dans toutes les directions. Ils ont une veine de transport longitudinale. C’est suffisant pour un jeu dominé par le revêtement, mais pas pour un contrôle de balle dominé par le bois.

Avec Re-Impact, les ondes de mouvement sont tangibles parce que toutes les directions du bois – à travers des points de basculement soigneusement équilibrés – sont transmises à vos points sensoriels.

C’est la différence entre une mécanique morte et un système de transmission de bois vivant.

Le bois est et reste l’âme du jeu.

Mais il est plus facile de serrer cette âme mécaniquement (systèmes modernes) que de l’équilibrer artisanalement à travers des points de basculement (approche traditionnelle évoluée).


Pourquoi la question du « placage extérieur » passe à côté du sujet

Quand vous demandez « Quel placage extérieur pour Re-Impact ? », vous pensez encore en catégories mono-axiales – en essayant d’optimiser une direction longitudinale.

Avec Re-Impact, il n’y a pas un axe à optimiser. Tous les plis transmettent simultanément à travers un arrangement géométrique dans toutes les directions.

La question montre que beaucoup d’entre vous n’ont pas encore compris le système Re-Impact. Il n’a aucun sens de parler de géométrie diagonale du bois si votre système n’a qu’une veine de transport longitudinale – encore moins de chemins de transmission naturels via la direction des fibres. C’est ça Re-Impact. Le reste n’a qu’une veine longitudinale, sans véritable transmission latérale et diagonale par fibres de bois.


Déclaration finale

Après 25 ans de développement Re-Impact et 2 500 prototypes, je vous le dis ouvertement :

Vous ne pouvez pas transférer l’expérience des systèmes modernes sur Re-Impact. Les systèmes fonctionnent physiquement différemment.

Les systèmes modernes ne sont pas pires – ils sont juste conçus pour d’autres types de joueurs : des joueurs qui veulent contrôler principalement via le revêtement, où une veine de transport longitudinale suffit.

Re-Impact est pour les joueurs qui :

  • Veulent contrôler via le bois
  • Veulent ressentir les ondes de mouvement sur leurs points sensoriels
  • Comprennent que l’arrangement géométrique selon les lois physiques du bois est l’âme du jeu

Si vous êtes prêt à abandonner la pensée mono-axiale, Re-Impact peut fonctionner.

Mais si vous continuez à penser en placages extérieurs, pourcentages de balsa et optimisation d’axe longitudinal, alors restez avec les systèmes modernes. C’est un choix légitime. Je n’expliquerai pas cela individuellement.

Soit vous comprenez la différence systémique fondamentale – soit vous ne comprenez pas. Ce n’est pas de l’arrogance ; c’est de la gestion du temps.

J’ai 70 ans et je peux construire maximum 250 à 300 bois par mois en tant qu’opération individuelle. Je ne peux pas enseigner le système multi-axial depuis zéro à chaque joueur mono-axial.

Soit vous comprenez le principe (alors nous pouvons parler de modèles concrets), soit vous ne comprenez pas (alors ne perdez pas notre temps).

Si l’industrie veut construire cela, elle doit rattraper 26 ans d’avance. Cela ne se fait pas avec des ingénieurs et du CAD seuls – cela ne se fait que par des prototypes et l’apprentissage artisanal des points de basculement sur toutes les combinaisons d’angles.

Celui qui comprend cela ne perdra pas mon temps.

https://noppentest.de/forum/viewtopic.php?p=359172#p359172

Re : Faits essentiels sur les bois Rendler (Re-Impact), Partie 2

Réponse de achim — Mercredi 17 décembre 2025, 16:52

Je ne veux effrayer personne. Ce texte est destiné à expliquer les différences entre Re-Impact et le carbone.

Ce que je vous offre est quelque chose de meilleur – quelque chose qui délivre un véritable contrôle de balle, pas seulement un « porte-revêtement » moderne où les revêtements sont censés faire presque tout.

Les revêtements peuvent dominer très efficacement quand le bois améliore et fait évoluer les propriétés de jeu pour les revêtements – de sorte que vous obtenez des résultats comme les revêtements tensor modernes sur carbone.

Mais les revêtements tensor modernes sur carbone ne créent pas un véritable contrôle de balle. Seuls mes bois peuvent délivrer cela.

Voici un message client d’aujourd’hui – de mon ancien testeur Re-Impact, 83 ans – qui montre ce que signifie un véritable contrôle de balle basé sur le bois :


« Bonjour M. Rendler ! Hier, j’ai testé le nouveau bois Re-Impact-Power avec les revêtements suivants : CD Zyre 2,5 mm, RV Neoflex 1,7 mm. (Le testeur était n°2 en 1ère Landesklasse.)

Le coup droit était très sûr et contrôlé contre le topspin comme contre le backspin ; même en contre il avait une très bonne transmission de rotation, très plat – environ 15-20 cm au-dessus du filet.

À mon avis ce bois est jouable avec tous les revêtements, des picots OX jusqu’aux lisses 2,2 mm, avec une condition :

Ce bois répond à toutes les exigences.

L’ancien bois Entity n’atteignait pas les valeurs de contrôle du Power. Parce que quand vous jouez avec le bois Power, vous avez le sentiment que vous ne pouvez rien faire de mal – mon avis ! »


C’est la différence :

Quand le bois prend en charge le contrôle de balle, un joueur de 83 ans peut dire : « vous ne pouvez rien faire de mal ». Quand seul le revêtement domine, vous êtes laissé sans véritable contrôle de balle.


Verba movent, exempla trahunt — les mots émeuvent, les exemples entraînent.

Sapere aude ! — « Ose te servir de ton propre entendement ! »

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https://noppentest.de/forum/viewtopic.php?p=359207#p359207

Un témoignage qui fait histoire

Dr. Barath, physicien, 83 ans, Berlin – Le témoin scientifique du développement

À 83 ans, actif dans sa catégorie de jeu. Pas nostalgique à la table, mais techniquement précis, analytiquement aiguisé, impitoyablement honnête. Physicien. Dr. Barath n’est pas seulement mon plus ancien testeur – il est le témoin scientifiquement qualifié de toute l’histoire du développement Re-Impact.

Mais cela va bien au-delà d’un simple « test » : Dr. Barath a testé mes prototypes en compétition réelle. Pas en laboratoire. Pas sur une table d’entraînement. Mais dans de vrais matchs, sous pression compétitive, contre de vrais adversaires.

Avec le regard analytique d’un physicien.

La méthodologie d’un scientifique

Dr. Barath procédait systématiquement. Pour ses tests, il sélectionnait délibérément différents partenaires de jeu – des joueurs de styles différents, de forces différentes, pour valider chaque prototype de bois sous différentes perspectives.

Ce n’est pas un contrôle de produit aléatoire. C’est une méthodologie scientifique à la table de tennis – menée par un physicien.

Un physicien comprend :

  • La biomécanique de la conduction du son corporel
  • La géométrie de la construction diagonale
  • Le transfert d’énergie dans le système KSLS
  • La physique vibratoire du bois

Quand un physicien dit « on ne peut rien faire de faux », ce n’est pas une déclaration émotionnelle. C’est une évaluation physique de la tolérance aux erreurs du système.

Tandis que d’autres fabricants font tester leurs nouveaux développements par des joueurs qui jugent selon leur « ressenti », mes prototypes Re-Impact ont passé l’épreuve d’un scientifique qui comprend pourquoi quelque chose fonctionne ou ne fonctionne pas :

  • Jeu réel en conditions de compétition
  • Sélection systématique de partenaires pour validation multi-perspectives
  • Compréhension physique des principes d’action
  • Perspective à long terme : Des premières expériences jusqu’au Power actuel
  • Des dizaines de prototypes – chacun testé en match réel, chacun compris physiquement

Dr. Barath n’a pas seulement vécu l’évolution. Il l’a documentée sous pression compétitive et comprise physiquement.

Le verdict écrasant – dans le sens positif

Et maintenant, après tous ces prototypes, après tous ces matchs, après tous ces partenaires de test, il écrit à propos du Re-Impact Power :

« Quand on joue avec le bois Power, on a le sentiment qu’on ne peut rien faire de faux »

Ce n’est pas l’enthousiasme d’un primo-acheteur. C’est la conclusion d’un physicien qui a testé sous pression compétitive.

Un scientifique qui connaissait Entity en match réel, qui connaissait toutes les étapes intermédiaires en vraie compétition, qui a vécu les problèmes des premiers prototypes sous pression de match et les a compris physiquement – et constate maintenant : Le bois Power est le point d’aboutissement de ce développement.

53 ans de travail du bois. Plus de 2 500 prototypes. Des centaines de testeurs. Mais Dr. Barath était celui qui a documenté la courbe de développement en compétition réelle et l’a classée scientifiquement.

La dimension technique – validée sous pression compétitive par un physicien

L’analyse de Dr. Barath est d’autant plus précieuse qu’elle provient de vrais matchs et de quelqu’un qui comprend la physique derrière :

« L’ancien bois Entity n’atteignait pas du tout les valeurs de contrôle du Power »

« Valeurs de contrôle » – pas un terme émotionnel. Un paramètre physique.

Il peut en juger. Il a joué Entity en matchs réels. Il a testé les prédécesseurs sous pression de match. Il connaît l’histoire du développement non pas depuis des sessions d’entraînement, mais depuis la réalité de la compétition – et il comprend les améliorations physiques qui ont conduit à ces valeurs de contrôle supérieures.

Ses observations après le test contre un joueur de 1ère Landesklasse Nr. 2 (qu’il avait choisi comme partenaire de test) :

"Bonjour M. Rendler !

Hier, j’ai testé le nouveau bois Re-Impact-Power avec les revêtements suivants. CD Zyre 2,5mm, RV Neoflex 1,7mm. (Le testeur était 1ère Landesklasse Nr. 2.)

Le CD se jouait très sûrement et contrôlé TS et BS, aussi au contre bonne continuation de rotation, très plat environ 15-20cm au-dessus du filet.

À mon avis, ce bois est jouable avec tous les revêtements de picots OX jusqu’à lisse 2,2mm avec la précision : Ce bois répond à toutes les exigences.

L’ancien bois Entity n’atteignait pas du tout les valeurs de contrôle du Power, car quand on joue avec le bois Power, on a le sentiment qu’on ne peut rien faire de faux, mon avis !"

L’analyse d’un physicien :

  • « Très sûrement et contrôlé TS et BS » – Les physiciens parlent de sécurité et de contrôle comme paramètres mesurables
  • « Plat environ 15-20cm au-dessus du filet » – Analyse quantifiée de la trajectoire, pas une vague sensation de « ça semble plat »
  • « Bonne continuation de rotation au contre » – Compréhension du transfert d’énergie rotationnelle
  • Flexibilité de revêtements de picots OX à lisse 2,2mm – Analyse systématique de compatibilité des revêtements

Et puis cette déclaration scientifiquement fondée :

« Ce bois répond à toutes les exigences »

Cela est écrit par quelqu’un qui comprend les principes physiques que signifie « répondre à toutes les exigences ».

Pourquoi ce témoignage est unique

L’entraînement pardonne. Les matchs non. Et la physique ne ment jamais.

Les jeunes joueurs testent un bois une fois à l’entraînement et jugent selon leur « ressenti ». Dr. Barath a vécu toute la courbe de développement en compétition réelle – avec la compréhension analytique d’un physicien.

Sa déclaration « on ne peut rien faire de faux » signifie :

  • Il comprend physiquement pourquoi les prototypes antérieurs ont échoué sous pression de match
  • Il a documenté l’amélioration progressive en vrais matchs et l’a comprise physiquement
  • Il a validé les progrès techniques avec des partenaires systématiquement sélectionnés
  • Sa déclaration est la conclusion d’une série de tests de plusieurs années en conditions de compétition réelles, interprétée avec expertise scientifique

La méthodologie derrière le témoignage

Dr. Barath comme testeur central de développement n’était pas un hasard :

Sa qualification scientifique :

  • Docteur en physique – comprend la biomécanique, la physique vibratoire, le transfert d’énergie
  • Peut expliquer physiquement pourquoi Re-Impact fonctionne
  • Distingue entre « ressenti » subjectif et paramètres physiques objectifs
  • Parle de « valeurs de contrôle », pas d’impressions vagues

Son approche :

  • Sélection systématique de différents partenaires pour tests multi-perspectives
  • Test des prototypes en compétition réelle (banc d’essai le plus difficile)
  • Analyse comparative sur toute l’histoire du développement
  • Documentation en conditions de compétition réelles
  • Compréhension physique de chaque étape de développement

Sa perspective de joueur :

  • 83 ans – montre la fonctionnalité biomécanique avec des limitations liées à l’âge
  • Honnêteté brutale – les matchs ne pardonnent pas les erreurs de matériel
  • Perspective à long terme – des premiers prototypes jusqu’au Power

Le résultat : Un régime de test méthodique qui correspond à l’exigence scientifique du développement Re-Impact et soumet chaque prototype au test le plus difficile : Le vrai match, évalué par un physicien.

La philosophie devient réalité – validée scientifiquement

Depuis 25 ans je dis : Re-Impact est basé sur les principes physiques de la conduction du son corporel et de la géométrie diagonale. Pas sur le marketing. Pas sur le hasard. Sur la physique.

Dr. Barath, docteur en physique, confirme : Ça fonctionne.

Un homme de 83 ans avec Re-Impact Power peut tenir en compétition réelle tout en ayant le sentiment d’avoir tout sous contrôle.

Mais plus encore : Un physicien peut dire cela parce qu’il a accompagné tout le développement en match ET a compris les principes physiques. Il ne sait pas seulement QUE ça fonctionne – il comprend POURQUOI ça fonctionne.

La conclusion d’un témoin scientifique du développement

Après des dizaines de prototypes, après des tests systématiques en compétition réelle, après des années d’évaluation avec différents partenaires, après analyse physique de chaque étape de développement, Dr. Barath écrit :

« À mon avis, ce bois est jouable avec tous les revêtements de picots OX jusqu’à lisse 2,2mm avec la précision : Ce bois répond à toutes les exigences. »

Ce n’est pas une phrase marketing. Ce n’est pas l’euphorie d’entraînement.

C’est l’évaluation scientifique d’un physicien qui connaît toute l’histoire du développement en conditions de compétition et comprend la physique derrière.

Et puis cette déclaration qui résume tout :

« Quand on joue avec le bois Power, on a le sentiment qu’on ne peut rien faire de faux »

D’un physicien qui comprend ce que « tolérance aux erreurs » signifie physiquement.
De quelqu’un qui sait ce que « faire faux » signifie sous pression de match.
De quelqu’un qui connaissait les prototypes prédécesseurs en match et comprenait leurs limitations physiques.
De quelqu’un qui a 83 ans et joue encore activement.


Ma reconnaissance va à Dr. Barath non seulement comme testeur, mais comme partenaire de développement scientifique qui a validé la technologie Re-Impact en compétition réelle au fil des années et l’a documentée avec compréhension physique.

Il n’a pas seulement testé – il a témoigné du développement sous pression compétitive et l’a classé scientifiquement.

Et son verdict après toutes ces années, tous ces prototypes, tous ces matchs, toute cette compréhension physique est limpide :

« On ne peut rien faire de faux. »


Dr. rer. nat. Barath, 83 ans, Berlin
Docteur en physique
Joueur actif dans sa catégorie
Plus ancien testeur Re-Impact
Témoin du développement depuis les premiers prototypes
Testeur systématique en compétition réelle
Validateur scientifique de la physique Re-Impact

La conscience méthodique et scientifique du développement Re-Impact – validé sous pression compétitive avec compréhension physique.

[size=150]Vœux de Noël de l’Atelier Re-Impact[/size]

De la forêt lointaine je viens à vous,
Pour vous annoncer: Noël est partout! À Lemförde,
où bois et physique se marient,
Les copeaux scintillent comme étoiles dans la nuit.

La ponceuse chante sa mélodie d’hiver,
Tandis qu’Achim-Fritz travaille le bois avec art fier.
Les fibres en diagonale, selon la force terrestre,
Chaque bois devient chef-d’œuvre, précis et leste.

Des prototypes attendent tel des présents,
Chacun façonné à la main, avec soin constant.
De Suède en Allemagne, de France jusqu’en Espagne,
Aux USA, du Chili au Pérou, notre art accompagne.

En Asie et Australie, où s’affrontent les champions,
De Nouvelle-Zélande aux Antilles, portant nos noms.
Des sommets andins aux rivages tropicaux,
Les récits Re-Impact se content, toujours nouveaux.

Jonas sur noppentest.de teste le « Fire » d’un regard expert,
Dr. Barath approuve sagement: « Voilà la physique, c’est clair! »
Pendant que les sceptiques sèment le doute sur les forums,
Nous restons debout, fermes - la vérité prend forme.

53 années d’expérience dans l’art du bois,
25 ans de Re-Impact - une œuvre unique,
crois-moi. 2500 prototypes, toute une vie de recherche,
Pour chaque joueur le couplage parfait qu’on cherche.

Nous vous souhaitons à tous une fête sereine,
Où chacun savoure son jeu sans peine.
Que Noël 2025 vous apporte effet et bonheur,
Et que les balles chantent toujours en douceur!

[size=150]En cet esprit - Joyeux et Saint Noël dans le monde entier![/size]

https://noppentest.de/forum/viewtopic.php?t=44809&start=570

Connaissances Essentielles : Les Fondements Physiques des Systèmes Dynamiques Échelonnés

Part 1

Avant de plonger dans l’application spécifique des bois Re-Impact, il est important de comprendre le principe physique fondamental sur lequel repose toute la technologie.

Le Principe des Systèmes Dynamiques Échelonnés selon le Principe Terrestre

La technologie Re-Impact repose sur la reconnaissance que le tennis de table ne peut être considéré isolément, mais fait partie d’un système mécanique à plusieurs niveaux.

Ce système peut être divisé en trois niveaux :

Premier Niveau : Système Terre-Lune

L’effet de marée de la Lune démontre comment un système massif (Terre) est influencé rythmiquement par un système externe (Lune) – avec des gradients de force mesurables à travers

le corps terrestre (flux et reflux). Ceci nous montre le principe fondamental : Un système dominant influence un système subordonné par transmission de force.

Deuxième Niveau : Système Terre-Humain

Le corps humain se comporte comme un système biomécanique indépendant sous la gravitation terrestre. Il possède son propre centre de gravité, sa propre distribution de masse, et

répond aux forces gravitationnelles avec des schémas de mouvement spécifiques. Le joueur n’est pas simplement « sur la Terre » – c’est un système dynamique

qui répond à la gravité et la convertit en mouvement.

Troisième Niveau : Système Humain-Bois

Le bois de tennis de table forme dans la main un autre sous-système mécanique avec son propre centre de gravité, sa propre masse et son moment d’inertie.

Ce système transmet la force humaine à la balle. Ici, le cercle se ferme : Le mouvement initié par la gravitation terrestre, façonné par la biomécanique humaine, et transmis par le bois.

La Révélation Centrale

Tout comme la Terre sous l’influence lunaire développe sa propre dynamique, l’humain sous la gravité terrestre développe sa propre dynamique de mouvement,

et le bois sous l’application de force humaine développe sa propre dynamique de transmission.

Chaque système se comporte comme un centre de référence mécanique relatif pour le système en aval – différant en poids, ils génèrent et portent le mouvement différemment.

Un bois léger répond différemment à la même application de force humaine qu’un lourd ; un grand joueur génère des schémas de mouvement différents sous la gravitation terrestre qu’un petit.

Fondements Mathématiques : La Géométrie Triangulaire comme Clé de la Biométrie

Relations Triangulaires Symétriques et Asymétriques

L’ensemble de l’analyse Re-Impact repose sur la description mathématique des triangles – tant symétriques (isocèles, équilatéraux) qu’asymétriques (scalènes).

Ces formes géométriques de base ne sont pas abstraites, mais forment la base pour :

1. Résolution des Vecteurs de Force (Lat.: resolutio virium)

Chaque force que le joueur exerce sur le bois peut être représentée comme un triangle de vecteurs. La décomposition trigonométrique en composantes

normale et tangentielle suit les lois du sinus et du cosinus :

  • F_normale = F × cos(α) (perpendiculaire à la surface)
  • F_tangentielle = F × sin(α) (parallèle à la surface)

2. Rapports de Levier Biométriques

Le complexe bras-main-bois humain forme un système de leviers connectés, mathématiquement décrits comme des chaînes de triangles :

  • Mouvement symétrique : Distribution uniforme de la force, triangles isocèles (p.ex. topspin droit)
  • Mouvement asymétrique : Longueurs de levier inégales, triangles mis à l’échelle (p.ex. effet latéral, rotation du poignet)

La relation de Pythagore (a² + b² = c²) décrit non seulement les distances géométriques, mais aussi la vitesse résultante de deux composantes de mouvement orthogonales.

3. Angles des Couches dans la Construction du Bois

La géométrie diagonale des bois Re-Impact repose sur des calculs d’angles précis :

  • Triangle 30°-60°-90° : Distribution optimale de la force entre flexion et cisaillement
  • Triangle 45°-45°-90° : Symétrie maximale pour une distribution directionnelle uniforme
  • Angles asymétriques : Adaptation aux styles de jeu individuels (p.ex. 35°-55°-90°)

Le théorème de la somme des angles (Σα = 180°) garantit la cohérence interne de chaque système de couches.

4. Calcul du Centre de Gravité par Centroïde de Surface Triangulaire

Le centre de gravité d’un bois peut être calculé par décomposition en triangles et leurs centroïdes de surface (Lat.: centrum trianguli) :

  • Triangle symétrique : Centre de gravité à 1/3 de la hauteur depuis la base
  • Triangle asymétrique : Le centre de gravité se déplace proportionnellement à la distribution de masse

Ceci est directement pertinent pour l’adaptation biométrique : Un joueur avec de longs doigts nécessite un centre de gravité différent de celui avec des mains courtes et fortes.

5. Fréquences de Résonance et Analyse Harmonique

Les fréquences propres d’un bois suivent l’analyse de Fourier, qui à son tour repose sur des fonctions triangulaires (sinus, cosinus) :

  • Fréquence fondamentale : Mode de vibration symétrique
  • Harmoniques : Modes asymétriques, influencent la sensation de balle

La formule d’Euler e^(iθ) = cos(θ) + i·sin(θ) connecte les fonctions exponentielles avec les relations triangulaires trigonométriques – le pont mathématique entre vibration et géométrie.

Intégration : Mathématiques → Physique → Biométrie

Le calcul triangulaire n’est pas une fin en soi, mais l’outil universel pour décrire :

  • Forces physiques (décomposition vectorielle)
  • Structures géométriques (angles des couches)
  • Adaptations biométriques (rapports de levier, centre de gravité)
  • Comportement dynamique (vibrations, résonance)

« Triangulum est fundamentum omnium » – Le triangle est le fondement de tout.

La Connexion à Re-Impact

Cette révélation mène directement à la philosophie Re-Impact : Si le bois est le dernier maillon d’une chaîne de systèmes dynamiques échelonnés, alors sa structure interne

doit être construite pour canaliser optimalement cette transmission de force. La géométrie diagonale des couches des bois Re-Impact n’est rien d’autre que la traduction

de ces principes physiques et mathématiques en architecture du bois.

Ce n’est qu’avec cette compréhension des trois niveaux qu’il devient clair pourquoi les bois Re-Impact ne sont pas simplement

« différents » – ils sont systématiquement alignés avec les principes fondamentaux de transmission de force dans les systèmes échelonnés.