Impact sur le ping avec la fin des contrats aidés

Non pas de mercenaires ni de gros mécènes…

C’est sur que niveau subventions c’est assez intéressant, après il faut aussi s’en occuper et monter des dossiers (ça n’arrive pas tombé du ciel).

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J’avais bien compris, mais cas probablement rare…

On pourra m’objecter que c’est un cas particulier mais je peux te donner au moins un cas d’un club avec un N1, N2, N3 et seulement 2 joueurs payés (et on parle de joueurs N100 ou bien mieux …) et qui sort pas mal de jeunes !
Il reste des joueurs motivés par des challenges sportifs qui veulent choisir leurs clubs !

J’ai aussi connu le cas d’un gars employé par la mairie de son club a 1/2 temps, cantonier ou jardinier, me souviens plus, et salarié pour le reste par son club pour entrainer/coacher/jouer.
C’est dur car il bosse quasi tous les jours, fatigue physique mais, au moins, il mange à sa faim avec la sécurité du cdi mitemps et peut vivre de sa passion.
Et pas besoin de faire du gainage :wink:
Je trouve le système pas mal. Encore faut il convaincre une mairie de se lancer …

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D’autant que ça permet une reconversion facile ensuite, dans les jardins ou dans un bureau ( quand la fatigue se fait sentir ) en passant à temps complet. Autrefois, au temps bénis, il y avait plein d’emplois comme ça dans les clubs ASPTT. Mais ça, c’était à l’époque où les facteurs avaient le temps de discuter et de boire le café avec les usagers.

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Certains clubs font ça avec des boites privées qui cherchent du personnel …pas nécessaire de chercher de l’argent public pour ça !
Comme tu dis, ça demande des efforts, mais c’est un moyen de vivre sa passion !

Nous aussi AVANT nous avions un entraîneur financé pour moitié par la commune (depuis 1980) et depuis 2 ans plus rien (poste supprimé), nada…

Moi je propose un truc bien dans l’air du temps: on crée une société au Luxembourg,qui a pour objet de fournir des entraîneurs aux clubs. Les entraîneurs, eux sont auto entrepreneurs. On leur fournit des clubs, eux en échange nous donnent un pourcentage sur les cours. Gagnant /gagnant, nous on ne paie pas d’impot, ni de charge, eux gagnent peu d’accord, mais bon c’est mieux que rien alors ils ferment bien leur gueule. Toute ressemblance avec un modele economique venere par un jupiterien est purement fortuite…

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Et pourquoi pas en France ? L’Ubérisation de la société est clairement En Marche.

Ça veut dire que dans le futur tous les entraîneurs vont s’appeler Hubert ?

C’est cela !
On pourra en commander un sur la plate-forme et il arrivera dans une heure à vélo.

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Chacun est libre, si il n’est pas content de ses conditions de travail de changer d’employeur dans le cas précis… Un peu facile de toujours remettre la faute sur les autres. Si on veut quelques chose, il faut se bouger pour l’obtenir…

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Euh , je pense que cowboy disait ça de façon ironique … Je ne pense pas qu’il approuve ce qu’il suggère.
Bien au contraire.

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et je crois qu’il a répond sérieusement … ça fout la trouille …

Si c’est le cas tant mieux :wink: De plus, le mode Uber est quand même limite du salariat déguisé…car l’AE ne prospecte pas de lui même ses clients…

Malheureusement, si on n’y prend pas garde, c’est bien vers ce style de société que veut nous conduire notre cher Président. On aime…ou pas.

C,est bien beau mais concretement tu reproche quoi a uber.
Parce que concretement, les seuls perdant la dedans c’est l,etat (moins de charges) et les trafics de licences de taxi (a la base quand meme les licences de taxi etaient gratuites et les compagnies de taxi ont mises en place un systeme ou ils empechent l’emission de nouvelles licences pendant qu’ils revendent des licences non nominatives sur lequel l’etat touche sa cote part).
la concretement le client et le chauffeur uber s’en sortent plutot pareil au taxi. (d,ailleur rien n’empeche les taxi de passer dessus, ca se voit ici

Il y a beaucoup de choses qu’on peut apprécier, mais aussi reprocher à Uber, du moins vu l’état actuel des choses. Mais comme ce n’est pas le sujet…

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Le retour de l’esclavage moderne. Mais la différence, c’est qu’il est consenti par les intéressés eux mêmes.
D"ailleurs, les chauffeurs Uber, les livreurs de pizza, … commencent à s’en apercevoir. C’est pas trop tôt.

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